Actions

Work Header

L'enfant de death

Summary:

nous suivons l'histoire de Hadrien Magnus Death âgé de 11 ans , fils de la mort, il a les cheveux blanc au yeux bleu née le 29/07/1980 , il a un grand frère Henry Christopher Death et une grande sœur qui es la jumelle de henry Talia Rosalie death et le prénom de leur père et Christopher Magnus Death bien sur la mort

toute la famille a les cheveux blanc au yeux bleu a part la mort qui a les yeux noir.

Hadrien vas commençai sa rentrée a Poudlard et va faire des rencontre .
bref je suis nul pour les résumer

Notes:

vous pouvez la trouver la fanfiction sur wattpad

bonne lecture

Chapter 1: la lettre

Chapter Text

Manoir Death

Hadrien, dix ans, réfléchi dans quelle école où il va étudier la magie

"Je ne sais pas, le choix et dure, je suis bloqué sur Durmstrang, beauxbâtons Ilvermony ou Poudlard " mon père me sourit.

" Henry et Talia pourront t'aider pour ton choix" je secoue la tête " non, ils vont me disputer. "

Père prit la liste et regarde attentivement " Beauxbâtons ça serait non pareil pour Durmstrang" en lèvent les yeux vers moi.

Je hoche la tête " alors ça sera entre Ilvermony et Poudlard " Ilvermony non ça ne me tente pas Poudlard alors ? " Je vais choisir Poudlard " père hoche la tête en signe d'accord "bien, je vais envoyer un courrier au directeur de Poudlard" en se levant et partie dans son bureau et je décide d'aller dans la bibliothèque pour rejoindre mon frère et ma sœur.

Une fois dans la bibliothèque ma sœur demande " père a dit que tu devais choisir dans quelle école tu irais ?"

"Oui, j'ai choisi Poudlard" Henry et Talia hoche tous deux la tête, Henry parla " Poudlard hein ! tu as bien choisi" puis il continua à lire son livre.

Talia me sourit et continua aussi son livre, je me dirige vers le canapé et pris un livre sur la table.

(Saut dans le temps)

L'être de Poudlard

Nous étions en train de manger notre petit-déjeuner quand un hibou apporta une lettre pour moi.

Père me sourit " ouvre la lettre Hadrien" je hoche la tête en ouvrant la lettre.

École de sorcellerie

Cher M. Death.

Nous avons le plaisir de vous informer de votre inscription a bien considéré, bienvenue à Poudlard au premier septembre Hadrien Magnus Death.

Directeur severus Snape-prince

Vous trouverez la liste des fournitures scolaires ci-dessous.

Directeur adjoint
barty croupton Jr

* 1 baguette magique
* 1 chaudron modèle standard taille 2
* 1 boîte de fioles en verre ou cristal
* 1 télescope
* 1 balance en cuivre
* Des robes scolaires noires
* Un chapeau pointu
* Livre scolaire (métamorphose...)
* Chaussures en peau de dragon

* Vous avez le droit de prendre un hibou ou un chat ou un crapaud

* Les premières années n'ont pas le droit d'avoir leur balai

Heureux, je sors de ma chaise et je fais un bref câlin à mon père " vu ta réaction, ils ont accepté" je hoche la tête enthousiaste.

Henry et Talia vont vers moi et me prennent dans leur bras " allons chercher tes fournitures scolaires" dit Henry contant.

Je regarde père " D'accord, mais d'abord, on termine le petit-déjeuner" on a répondu " oui père" tous les trois. "

Petit-déjeuner fini tout le monde s'habille avec les robes de sorcier
" Nous allons transplaner à Diagon Alley " Père m'a tendu son bras.

Je le pris, c'était bizarre, j'entends deux pop sonores, Talia et Henry sont arrivés avec leur portillon.

" Bons, on commence à acheter les robes scolaires d'abord" en dirigeant vers le magasin de vêtements.

Entrant dans le magasin, une vendeuse se retourne vers nous et dit " bonjour Poudlard " j'ai hoché la tête " bien, tu pourras attendre à côté du jeune homme" je marchai jusqu'au garçon.

Père dit quelle chose a Henry et Talia
Ensuite, partie de la boutique, père vient se tenir derrière moi et dit " j'ai envoyé Henry et Talia à chercher tes autres fournitures scolaires, il en profite aussi pour acheter leur fourniture scolaire ".

Le jeune homme à côté moi se tourna vers moi et dit " toi aussi, tu vas à Poudlard en première année".

" Oui et tu es ?"

" Je suis navré pour mon impolitesse, j'aurais dû me présenter, je m'appelle Harry Potter" en tendant la main, je souris en la prenant, " Hadrien Death".

La porte de la boutique s'ouvre, deux adultes rentrent " maman papa. "Cria Harry.

Harry Potter se tourne vers moi" voici mes parents Lily Potter et James Potter maman papa voici Hadrien Death et son père. "

Père se présente à son tour toute se serrant la main du père de Harry " bonjour Lord Potter, Lady Potter, je suis Christopher Death."

" Bonjour aussi Lord Death" dit Lord Potter maladroitement

La gérante revient avec des sacs.
" Voici vos robes M. Potter cela fera un total de dix 10 galions" Lord Potter donne l'argent.

" Merci heureux de vous avoir rencontré Lord Death"

" J'espère te voir dans le train " dit Harry Potter avant de partir avec ses parents.

" Alors maintenant, c'est à nous et vous êtes ? "

" Je suis Hadrien Death" la gérante hoche la tête " D'accord allons prendre tes mesures."

Une fois les mesures faites la gérante partie chercher les robes, au bout de dix minutes et revient avec les robes " voilà tout et là ça fera 10 galions M. Death" père à donner les galions puis nous sommes partis de la boutique.

Dehors, Henry et Talia viennent vers nous en souriant "son bon, on a récolté tout le reste des fournitures, il nous reste plus que l'animal et la baguette" dit Talia.

"Et si nous allons te chercher un hibou "Henry proposa, je me retourne vers père pour son autorisation,

Il soupire " alors, allons chercher un hibou alors "en partant vers l'animalerie.
Une dans l'animalerie, un hibou attire mon attention.

Blanc et avec taches noires ses yeux magnifiques rouges " je vais prendre celui-là " en prenant la cage.
"Tu es un mâle. Je vais t'appeler Hadès " hua de joie.

Père glousse un peu et Henry et Talia rie aussi, le vendeur nous regarda bizarrement.

En reprenant leur esprit père à la paye et nous sommes partis chercher ma baguette.

Une fois arrivait dans la boutique Ollivander ". Bonjour, ha, vous deviez être Hadrien, tu es venu chercher ta baguette "j'acquis et Ollivander évite de regarder mon père dans les yeux, père souri narquoisement et amuser par l'attitude de Ollivander.

"Bras de baguette s'il vous plaît "

"Droitier", je lui réponds et commençai à mesurer et il est parti chercher des baguettes.

Au bout de la quatrième fois était la bonne " plume de phénix noir et cape de détraquer" la baguette et noire aux niveaux du manche il y a du doré.

Nous payons Ollivander et nous sommes parties de la boutique.

" Est-ce qu'il nous reste des choses à faire " je dis

"Non, on a tout et vous deux " père se tourna vers les jumeaux

"Non, on a pis nos fournitures scolaires en même temps de celui d'Hadrien" dit Talia en montant un sac qui doit contenir nos fournitures scolaires.

Bien rentrons à la maison " nous sommes partis de Diagon Alley

Chapter 2: Poudlard

Notes:

il commence enfin sa rentre va-t-il faire des rencontre et se faire des ami

bonne lecture

Talia et henry sont a Ilvermony

(See the end of the chapter for more notes.)

Chapter Text

Jour de la rentrée

Le mois et passer et la rentrer arrive, je m'habille un pantalon noir, chemise blanche et j'enfile des chaussettes noires et des bottes en peaux de dragon et je descends pour prendre mon petit-déjeuner.

En entrant dans la salle, père bois sont café tout en lisant le journal " bonjour" je dis d'un ton joyeux. "

Henry et Talia dirent tout" bonjour " et reprirent leur déjeuner.

Je m'assois et commençai à manger tranquillement père posa le journal et dit" est-ce que tout le monde a préparé ses affaires d'école " " oui père " tous les trois à cœur

Père hocha la tête " bien mangée, on va déposer Hadrien à King's cross en premier " les jumeaux acquis tous les deux.

Une fois, tout le monde préparé, on transplanera à king's cross

Tous les parents et enfants sont rassemblés, parlent de tout et n'importe quoi, résonnant dans tout le quai, il y avait des têtes de toutes les couleurs, blond, roux... Eh bien d'autres

Je me retourne en souriant vers mon père et Henry et Talia " je vais partir avant que le train ne parte sans moi, on se revoit aux vacances de Yule (Noël)" en allant faire un câlin au trois.

"Oui, à Yule, mon fils prend bien soin de toi et causse pas de problème et n'oublie pas d'envoyer des lettres " je hoche la tête est Henry et Talia me tamponne tous les deux la tête" à Yule petit frère " fut leur réponse et disse aussi au revoir à père avant de prendre leur porte loin et moi en direction du train

Je dépose mes affaires là où il y a plein de valises d'autre élève, je prends mon sac à dos avec moi et je monte dans le train.

Le train était plein d'élèves de tout âge, je cherche un endroit où m'installe quand mon prénom fut appelé" Hadrien " je me retourne, c'est Harry.

"Viens avec nous " dit Harry.

"Non ses bons, je ne veux pas vous déranger "

"Tu ne vas pas nous déranger, on n'est que deux, allez viens " tout en incitent.

"Bon d'accord " Harry me sourit ravi, je rentre dans le compartiment, un garçon roux avec des taches de rousseur me regarde de haut en bas, je pose mon sac sur le siège vide en face d'eux et je me présente " bonjour, je suis Hadrien Death

Le garçon roux fut à son tour de se présenter" je suis Ronald Weasley, tu peux m'appeler Ron, je suis le meilleur ami de Harry ici présent " un sifflet sonner tout le monde se précipite au niveau des fenêtres pour saluer une dernière fois à leur proche, je vois mon père, il me sourit et je lui souris en retour.

Le train quitté le quai, on peut voir le paysage passe à travers la vitre, Harry parla en premier.
" « Les présentations sont faites, parlons d'autre chose " propose Harry.

On parlait de Quidditch et de ce qu'on aime. On racontait aussi des blagues tout en rigolant dans des histoires dites, mais cela n'a pas duré longtemps, car la porte s'ouvre et une fille dit " excuse-moi, vous n'aurez pas vu un crapaud nommé Trévor Neville l'a perdu". "

Elle rentre sans frapper et un bonjour même se présenter Harry se levait et parla '' non, on n'a pas vu de crapaud, oh salut Neville ".

" Salut " ce fut la réponse timide de Neville

Ron furieux auprès de la fille mal polie " tu aurais pu frapper et présenter d'abord "

"OK désolé, j'étais mal poli, je m'appelle Hermione Granger, je voulais à tout prix aider Neville a récupéré son crapaud "

Je réponds "pourquoi tu n'as pas demandé à un des préfets de le retrouver. "

"Je n'avais pas pansé" marmonne Hermione.

"Neville vient dans notre compartiment, bien sûr Granger, tu peux venir," dit Harry, Neville hoche la tête.

"D'accord, on revient, dit Hermione avant de partir.

Ron regarda Harry avec étonnement et furieux " pourquoi tu les invites à venir. "

'' Parce que Neville, je le connais aussi longtemps que toi, il est calme et c'est aussi mon ami et pour Granger, elle pourrait aussi être une bonne amie alors apprenons à la connaître." Ron, résigné, décide de plus parler.

Neville et Hermione son arrivée peu de temps avant l'arrivée de la dame du chariot "bonjour les enfants voulait vous quelque chose ".

Ron, Harry et Neville, on prit des chocos grenouille et d'autre bonbon moi et Hermione, nous avons notre propre déjeuner sur nous.

Tout le monde parlait de ce qui aime ou pas, par exemple Neville adore les plantes ou alors Hermione adore les livres, le temps passa vite, un préfet vient toquer à la porte et l'ouvre.
"M'était votre uniforme, on va arriver et nous avons trouvé votre crapaud " en la donnant à Neville qui le remercie en retour le préfet part et Hermione aussi pour se changer dans les toilettes des filles.

Le train ses arrêtés, je prends mon sac et on descendit tous les cinq, un professeur parla '' les premières années par ici '' quatre parts bateaux s'il vous plaît. " Je m'installe sur un des bateaux avec Hermione et Neville, Ron et Harry, on prit un autre bateau.

Une fois, tout le monde installait les bateaux part tout seul.
La vue sur Poudlard est magnifique, on pouvait voir le calamar géant, certains étaient effrayés et d'autres intriquée.
'' Ne vous inquiétez pas, il est gentil, si vous tombez, il va vous remonter la surface ''

Enfin sur la terre ferme nous suivons le professeur nous traversons un petit bout des couloirs et on s'arrêta devant une grande porte '' attendez ici '' avant de partir dans la salle.

Un garçon blond s'avance vers notre groupe '' Harry Potter toujours ami avec se weasley '' il dit avec un ton arrogant.

 

''Malfoy, tu n'as pas à te préoccuper avec qui je suis ami ''dit Harry

Malfoy allait répliquer lorsqu’une personne entra et se présenta '' bonjour, je suis barty croupton jr directeurs adjoints et celui que vous allez voir sur la grande chaise, c'est le directeur Severus Snape prince, bien vous sérier répartie dans quatre maisons Serdaigle, Poufsouffle, Gryffondor et Serpentard. "

Toutes les élevées chuchotent, le directeur adjoint nous fait entrer dans la salle, les élevés plus âgés sons déjà sur leur table de maison, le plafond magnifique paysage du ciel nocturne, les bougies flotte en haut.

Hermione à côté de moi me dit doucement " le plafond change en fonction de la météo et l'heure " je hoche la tête.

Le chapeau chanta une chanson à propos des qualifications des maisons, après la fin de la chanson, le directeur adjoint racle la gorge et dit '' bon commençons, je vais prononcer votre nom et vous montez et vous asseyez sur la chaise. "

"Abbote Hannah "

"POUFSOUFFLE" le chapeau à crier et ses vêtements se sont changés en jaune et en noir, la table applaudie brillamment leur nouveau membre.

"Susan Bones/POUFSOUFFLE

Terry Boot/SERDAIGLE

" Hadrien Death, " je m'assois sur le tabouret, le chapeau posé sur ma tête se mit à parler dans ma tête.
Ah oui, je vois, tu as de diverses qualités, mais ta loyauté en ta famille, tu es aussi ambitieux Serpentard peut-être que non Poufsouffle oui, c'est ça dans ce qu'à vau mieux être "POUFSOUFFLE " la table applaudie à nouveau, mes vêtements se changent de couleur et je m'assois à côté de Abbote et Bones et le tri repris.

"Hermione Granger/GRYFFONDOR

"Delphine Lestrange/SERPENTARD

"Draco Malfoy/SERPENTARD " le chapeau cria a à peine mis sur la tête de la blonde

Le chapeau est aussi reparti d'autres élèves dans les autres maisons, par exemple des jumelles ont été séparées, une à Gryffondor, l'autre Serdaigle.
Les autres Poufsouffle et Serpentard

"Harry Potter/GRYFFONDOR

"Ronald Weasley/GRYFFONDOR

Et le dernier élevé Blaise Zabini qui fut réparti à Serpentard le directeur se leva " bienvenue à Poudlard" il parla lentement "je suis le directeur Severus Snape-prince, il aura des règles à respecter, pas de magie dans les couloirs, pas de sortie après le couvre-feu "son regard va en direction de la table Gryffondor "à part si vous avez l'astronomie le soir et la forêt interdite, vous ne pouvez pas y aller tout cela vous causerez une grave sanction bien maintenant commençons à manger " en tapant des mains et partie s'asseoir.

La nourriture apparaît sur la table et tout le monde commence à manger tout en se présentant, une des filles en face de moi, Susan Bones me parle.

" Salut, je suis Susan Bones et voici ma meilleure amie Hannah Abbote et tu es...

Je suis Hadrien Death ravi de vous rencontrer tous les deux " je dis avec un sourire, nous parlons juste qu'à la fin du dîner les restes et couvert disparaissent de la table, le directeur se leva et capta l'attention de tous les élèves.

" Bien maintenant les préfets accompagneront les premières années dans leur salle commune votre emploi du temps vous l'auriez demain par le professeur responsable de votre maison maintenant au lit" les préfets de chaque maison font passer les premières années devant.

La marche dans le couloir dans le brou ah " faite bien attention aux escaliers, ils ont tendance à bouger tout seul " dit le préfet de Poufsouffle.

Une fois arrivait devant la salle commune '' le mot passe et mandragore " dit l'autre préfet en fassent rentrer les élèves, la directrice de la maison Poufsouffle nous sourit.

'' Bienvenue à Poufsouffle, je suis Pomona Chourave la directrice de la maison Poufsouffle et votre professeure d'herbologie " sa voix était douce "si vous aviez un problème venez me voir aller voir un des préfets, le mot de passe change toutes les semaines alors regardait bien le planning, si vous,vous perdraient dans le château demander votre chemin aux tableaux '' son regard se fixe sur tout le monde certains hochent simplement la tête d'autre répondent oui à voix haute '' bien maintenant, je vais l'essai le préfet se présenter et bonne nuit à tous '' elle reçoit plusieurs bonnes nuits des élèves plus âgées et la porte se referme derrière elle

Les préfets prennent la parole, ce fut le garçon se présenta en premier '' le suit Matthew Cooper cinquième année et voici Aurora Byrne n'hésite pas à venir nous parler d'un problème maintenant au lit les garçons à droite et les filles sont à gauche. "

Tout le monde se dirige vers leurs chambres, je trouve vite fait mon dortoir, sur la plaque, il y a écrit Justin finch-fletchley Oliver Rivers Ernie Macmillan Hadrien Death.

J'entre danse le dortoir,un de mes colocataires se présente, il était brun avec les yeux marron " salut, je suis Olivier Rivers, tu dois être Hadrien Death" je hoche la tête, il présenta les deux autres personnes aussi

 

" Le garçon là-bas, c'est Justin Finch-Fletcher" ses sons cheveux noirs boucle les yeux bleus

" Et l'autre ses Ernie Macmillan " Châtains, mais certaines mèches blondes font surface, ses yeux son marron foncé.

" Les présentations sont faites, j'espère qu'on va bien s'entendre" dit Rivers.

Je range mes affaires et je vais me laver, une fois après avoir fini mon pyjama, je ferme les rideaux et je m'installe dans mon lit, la fatigue prend le dessus et mes yeux se ferment.

Notes:

merci d'avoir regarder

Chapter 3: le premier jour

Notes:

il commence enfin son premier cour

bonne lecture

(See the end of the chapter for more notes.)

Chapter Text

C'est le premier jour de cours aujourd'hui, on va recevoir notre emploi du temps. Je m'habille, je regarde mes couleurs de ma maison, je ne comprends pas ce qui a de mal avec Poufsouffle ?

Je descends pour me rendre dans la salle où toutes les premières années sont réunies.

" Bien toutes les premières années sont présentes, je vais vous guider jusqu'à la grande salle " dite Cooper en fit signe de le suivre, la marche ne fut pas longue, juste qu'à la grande salle

Arrivé dans la grande salle, on s'installe à notre table, les Gryffondor son à-côté de nous après les Serdaigle et enfin les Serpentard.

Le repas se passa, Madame Chourave nous donna à tous nos emplois du temps.

Lundi : 7 h à 9 h Petits-Déjeuners

9 h à 10 h : Potion (Serdaigle)

10 h 30 à 11 h : Pause

11 h à 12 h : Mathématique, sciences Moldu (Serpentard)

12 h à 14 h 30 : Déjeuner

14 h 30 à 15 h 30 : Sortilège (toutes les maisons 1re année)

18 h 30 à 20 h 30 : Dîner

20 h 30 à 22 h : Devoir

Couvre-feu à 22 h

_______________________

Mardi : 7 h à 9 h Petits-Déjeuners

9 h à 10 h : Défense contre les forces du mal (toutes les maisons 1re année)

10 h 30 à 11 h : Pause

11 h à 12 h : Métamorphose (Gryffondor)

12 h à 14 h 30 : Déjeuner

14 h 30 à 15 h 30 : Botanique (Serpentard)

15 h 30 à 18 h 30 : Vol sur un balai

18 h 30 à 20 h 30 : Dîner

20 h 30 à 22 h : Devoir

Couvre-feu à 22 h

__________________________

Mercredi : 7 h à 9 h Petits-Déjeuners

9 h à 10 h : Sortilège (toutes les maisons 1re année)

10 h 30 à 11 h : Pause

11 h à 12 h : Potion (Gryffondor)

12 h à 14 h 30 : Déjeuner

14 h 30 à 15 h 30 : Histoire de la magie (Serdaigle)

18 h 30 à 20 h 30 : Dîner

20 h 30 à 22 h : Devoir

Couvre-feu à 22 h

00 h à 1 h : Astronomie

________________________

Jeudi : 7 h à 9 h Petits-Déjeuners

9 h à 10 h : Défense contre les forces du mal (toutes les maisons 1re année)

10 h 30 à 11 h : Pause

11 h à 12 h : Métamorphose (Serpentard)

12 h à 14 h 30 : Déjeuner

14 h 30 à 15 h 30 : éthique. (Gryffondor)

18 h 30 à 20 h 30 : Dîner

20 h 30 à 22 h : Devoir

Couvre-feu à 22 h

______________________

Vendredi : 7 h à 9 h Petits-Déjeuners

9 h à 10 h : Botanique (Serdaigle)

10 h 30 à 11 h : Pause

11 h à 12 h : Latin (Serpentard)

12 h à 14 h 30 : Déjeuner

14 h 30 à 15 h 30 : Mathématique, Sciences Moldu (Gryffondor)

18 h 30 à 20 h 30 : Dîner

20 h 30 à 22 h : Devoir

Couvre-feu à 22 h

Alors, je commence avec potion, je suis sorti de mes pensées par mon prénom " Hadrien " ses Harry, il marcha vers moi avec Ron, Hermione et Neville "ça va, c'est dommage que tu ne sois pas dans la même maison que nous comme ça, on aurait été ensemble pour les cours. "

" Oui dommage, mais Poufsouffle et bien puis on partage certaines cours et on peut se voir pendant les pauses ou manger en groupe " je lui souris.

" Mais on n'a pas le droit de s'asseoir à une table qui n'est pas de notre maison " dite Hermione.

" C'est là que tu te trompes Hermione, ce n'est pas dit dans le règlement. " Hermione est abasourdie.

" Alors, je dois le relire plus attentivement " elle marmonna, je lui souris amusé, je me demande comment elle est devenue une Gryffondor et non Serdaigle.

"Tu commences part quoi " dit Ron.

" Je commence par les potions avec les Serdaigle, je me demande qui le professeur de potion ?" Je tourne la tête vers la table des professeures ou pour la plupart étaient partis ou ne prenais pas de petit-déjeuner dans la grande salle.

" C'est ma mère qui est professeur de potion, elle a obtenu le poste principalement pour me surveiller et aussi, elle est amie avec le directeur " les joue de Harry sont un peu rouges d'embarras, Ron, riez " mais tu n'as pas à en faire, ma mère et super cool, mais strique et aussi une bonne enseignait surtout en potion " je hoche la tête

Notre discussion est interrompue par l'un des préfets " premières années, je vais vous guider vers la salle des potions et n'oublie pas le chemin pour la prochaine fois " je me retourne vers le groupe.

" On se voit à la pause " ils hochèrent la tête et sont partis suivre leur préfet.

Je suis Miss Byrne votre préfet qui nous amena devant la salle de potion " attendez que votre professeur vous fasse rentrer, je viendrais après la pause vous chercher alors reste dans le hall " Susan pris la parole.

" Et si on est perdu avant d'aller dans le hall "

" Si vous ne voulez pas vous perdre, suivez le chemin qu'on a pris ou si vous trouvez une personne d'une année supérieure, demande, lui aviez-vous, d'autre question.

La porte de la salle, s'ouvrir et Madame Potter nous sourit et nous fait signe de rentrer, la pièce était un peu sombre, les bureaux sont de trois parts personne, tout le monde choisi sa place, moi, je suis au deuxième rang au milieu à côté de moi, à ma gauche se trouve Susan et ma droite se trouve Hannah.

Une fois, tout le monde installé madame se présenta " bonjour tous, je suis votre professeur de potion Lily Potter, je vais faire l'appel, vous dirai présent(e) ".

Hannah Abbote/présente

Hannah Abbote/présente

Terry Boot/pensent

Hadrien Death/présent

Après l'appel terminer " bien tout le monde et là, commençons le cours, nous allons pratiquer un remède contre les furoncles page 5 de votre manuel " Madame Potter agita sa baguette pour faire apparaître nos chaudrons " le cours se passa relativement calmer par de potions mal faite Madame Potter était fier de nous

Sortie de la classe, Susan et Hannah me suivent juste qu'au hall, je vois Harry me faire signe de la main, je le rejoins avec moi, Susan et Hannah " alors comment était ta première leçon de potion avec ma mère" avant que je ne puise réponde, Susan parla

" Ta mère comment ça "

"Oui ma mère, je suis Harry Potter, ma mère et Lily Potter et vous êtes " il regardait Susan et Hannah.

"Je suis Susan Bones et voici mon amie Hannah Abbote. "

Hermione s'avança et présenta tout le monde " je suis Hermione Granger voici Ronald Weasley " en désignent Ron " et voici Neville Londubat " après les présentations terminer je regarde Harry dans les yeux.

" Pour répondre à ta question Harry, oui le cours avec ta mère, c'est bien passé, il n'y a pas eu d'incident " Harry hocha la tête, la pause se finit, les préfets nous amena dans notre salle pour le prochain cours.

 

Cela fait déjà quatre mois que je suis arrivée à Poudlard, depuis je suis avec Harry, Ron et Hermione, Neville, Hannah et Susan sont partis dans la serre.

" Vous retournez chez vous pour les vacances de Yule où vous restez à Poudlard."

" Je retourne chez moi, mes parents ne voulaient pas le passer à Poudlard, de plus, il y a mon parrain qui vient avec oncle Remus " dit Harry avec un grand sourire.

" Moi aussi, on va voir ma tante Muriel, je la déteste " dit Ron en grimacent.

"Pareille, ma famille d'accueil a bien voulu accepter d'inviter ma mère et père à fêter Yule avec nous " Hermione sourit "et toi Hadrien. "

"Je vais rester avec ma famille " un sourire se dessina sur mon visage, Malfoy apparaît avec ses deux sbires côté de lui.

"Si ce n'est pas la belette et Potter et l'heure sang de bourbe "Malfoy se moqua de nous.

"Tais-toi Malfoy " dit Ron avec un vissage rouge de colère

" Oui, dégage Malfoy " dit Harry.

Malfoy sortit sa baguette, Ron et Harry font de même, au même moment un professeur se dirigea vers notre position " Potter, Weasley et Malfoy, rangez-moi ses baguettes " sa voix très grave, tout le monde se figea quand ils ont vu le professeur de latin, Rabastan Lestrange " tous les trois vous aura une retenue après les vacances avec la professeure Bellatrix Lestrange " dit d'une voix sévère, il a reçu trois gémissements en retour

Puis Ron parla " mais, Professeur, c'est Malfoy qui a commencé, il a..." Il n'a même pas fini de parler qui fait interrompe par le professeur.

" Je m'en fiche, vous avez tous les trois brandi vos baguettes, heureusement que je suis intervenue sinon vous auraient utilisé des sorts ".

Harry protesta aussi " mais... "

"Non Monsieur Potter, c'est dans le règlement, c'est tout, vous auriez une retenue quand même " le professeur regardèrent les trois puis il est parti sans dire un mot de plus, Malfoy fait de même avec ses complices tout en colère.

" Un jour, j'aurai Malfoy" grogna Ron Harry acquis Hermione souffla moi, je suis resté neutre tout en regardant la scène, mais attends, il m'a traite de sang-de-bourbe ? Oui, j'ai bien entendu sang de bourbe moi, s'il savait qui est mon père, il va trembler de peur devant lui, je me moquai un peu puis je disais au revoir à mes amis pour aller finir de ranger mes affaires.

C'est enfin le jour des vacances, je pourrais mon père et les jumeaux arriver dans le train, j'ai trouvé un compartiment vide, je mets monts sac accoté de moi, heureusement que j'ai demandé quelque chose à manger pour le midi auprès des elfes, cinq plus tard les quatre Gryffondor sont arrivés suivis de Susan et d'Hannah le trajet en train se passa rapidement nous Avon pas vus l'heure passer avant d'arriver à la gare tout le monde se changea quand le train s'arrêta, nous sommes descendus pour prendre nos bagages.

Je regarde autour de moi essayant de trouver mon père, je fis un grand sourire quand j'ai vu trois paires de cheveux blancs aux yeux bleus, je me dépêche d'aller vers eux, arriver près d'eux, je les serai chacun dans mes bras.

" Hadrien comment ses passes ton voyage en train " demanda papa

" Ça, c'est bien passé, j'étais avec Harry, Ron, Hermione, Susan et Hannah, ont, s'est bien amusé "henry me bouffira les cheveux

"bien, tu as tout bagage et sac " je regarde mon sac et ma malle es, les pris, je hochai la tête à mon père, il attrapa mon bras puis sous somme partie, Talia et henry nous suive après avec leur porte loin, arrivée à la maison un elfe de maison qui n'a pas peur de papa pris mes affaires d'écoles est les rangers dans ma chambre, nous sommes tous partis dans le salon pour prendre du thé et discuter de nos aventures durant l'école

" Comment c'est passer vos mois d'école " je dis à Henry et à Talia

" Bien ça, ses passés sans incident particulier " menti Talia bien sûr sur papa, c'est si on ment ou pas, il fronça les sourcils.

"Sans incident, il s'est passé quoi, " Talia soupira.

" Bien henry, c'est dit que c'était une bonne idée de faire quelques farces sur le directeur, quand le directeur a découvert qui étaient l'auteur, il a, donne, a henry, une retenue à l'Anne, tous les soirs, il doit aider les Elfes de maison dans la cuisine, mais bon à mon avis cela ne l'empêchera pas de continuer.

" Père regarda Henry qui devient nerveux au regard que père lui lancer.

"Quel genre de farce, c'était, je ve..." Je me suis arrêté de parler quand père me lançait le même regard qui lançait à Henry " non rien, je n'ai rien dit, je vais aller dans ma chambre " père hocha la tête puis il continua de regarder Henry, je me presse de sortir, Talia suivie moi, on pouvait entendre père donner un savon à Henry en arrière-plan.

Je regarde Talia " alors quel genre de farce " Talia me regarda puis elle secoue la tête et elle continua son chemin " bien quoi, je veux savoir " en criant.

Notes:

merci d'avoir regarder

Chapter 4: Yule

Chapter Text

Les jours ont passé et Henry a été privé de jouer au Quidditch jusqu'à la reprise. Aujourd'hui, c'est le jour de Yule. Je suis descendu joyeux pour arriver dans le salon, où j'ai vu papa assis en train de lire. "Bonjour papa et joyeux Yule", ai-je dit en lui faisant un câlin qui m'a rendu heureux aussi.

" Bonjour Hadrien, joyeux Yule, tu n'aurais pas vu ton frère et ta sœur ? " Il dit une fois le câlin terminé.

Je secoue la tête " non, je ne l'ai pas encore vu ? " Au même moment Talia et Henry arrive dans le salon " joyeux Yule à vous deux.

"Joyeux Yule Talia, henry " dis papa

" Bonjour et joyeux Yule " il dit en même temps et se rapprocha de nous pour nous faire un câlin.

" À au fait Lady Magic vient aujourd'hui " papa dit à l'improviste

Tu aurais dû nous le dire avant !" On cria tous les trois d'indigner contre père.

"Je n'ai même pas acheté de cadeaux pour tante Lady Magic " je marmonnai.

" Tu n'es pas obligé, Hadrien " je sursautai, je me retournai vers la voix, je vois Lady Magic se tenant devant la porte du salon, père se leva pour la saluer.

"Salut, merci d'être venu," il dit en la prenant dans ses bras. Elle lui rendit son geste, et après quelques secondes, il la relâcha.

" Ce n'est rien, c'est un plaisir de venir voir mon plus vieil ami et sa famille " elle regarda autour d'elle " au fait ou est ta femme ? "

"Elle et partie a l'étranger pour son travail, désoler, tu voulais la voir. "

" Ses pas graves, je la verrais à la prochaine vacance "

Père hocha la tête " je lui préviendrais en avance " tante acquiesça puis elle fait apparaître des cadeaux.

"Les enfants, allons déballer les cadeaux." Nous attendons tous l'autorisation de notre père, et il acquiesce.

Nous ouvrons nos cadeaux. Père nous a donné un ensemble de vêtements avec une cape, et tante nous a offert un bracelet magique enchanté pour nous protéger et talia et henry mon offert un livre de blagues. Mes amis m'ont aussi offert des cadeaux. Hermione m'a donné un livre sur les différents types de sortilèges, Ron m'a donné un pull tricoté par sa mère avec un H dessus, Harry m'a offert un kit de potions, Neville m'a donné un livre sur l'herbologie, et Susan et Hannah m'ont offert des bonbons.

Je leur ai donné à chacun un bracelet que j'ai confectionné pour faciliter la communication entre nous.

" maman nous a pas offert de cadeaux ? " Je dit en voyant qu'il manque un cadeau de maman

" désoler Hadrien, Henry, Talia votre mère m'a dit qu'elle vous donnerai un cadeau quand vous la verrais " il dit avec une pointe de tristesse et de respections

" mais sa serais jamais, elle est toujours occuper la derrière fois qu'on la vue c'était il y a 1 ans " je dit en colère et je me précipitai dans ma chambre

Je n'entendis pas les personne qui essaya de m'appeler en vain, arriver dans ma chambre m'a magie se déchaina et détruisant la pièce tout ce que je toucher avec mes mains se décomposa, j'étais tellement en colère contre ma mère, elle passe tous le temps au travail que de venir voir ses enfants.

le reste des vacance se passa bien, personne ne parler de maman, tante et restai trois jours après Yule a la maison pour nous connaitre et passe du temps avec papa, arriver a la gare je disais aurevoir a papa et a henry et Talia et je suis partie aller chercher mes amis dans le train.

Je suis entré dans le compartiment à l'avant du train et je me suis assis. Puis Hermione est arrivée avec Neville, Susan et Hannah. Ron et Harry étaient les derniers à arriver, tous deux essoufflés. "On est arrivés à temps," dit Harry, à bout de souffle.

"enfin, vous aviez mis du temps " dit Hermione

"Désolé, tante Molly ne voulait plus nous laisser partir, Percy et les jumeaux sont partis comme des traîtres en nous abandonnant," répond Harry après avoir repris son souffle. Ron s'assoit à côté de Neville et Harry à côté de moi.

"Comment se sont passées vos vacances ?" demanda Susan une fois qu'ils se furent installés.

"Bien, nous avons célébré Yule avec mes parents ; ils étaient heureux de me voir en pleine forme et en bonne santé," dit Hermione, contente d'avoir retrouvé ses parents pour les vacances. "J'espère juste que j'aurai la possibilité de les revoir," ajouta-t-elle.

"Mes parents, mes grands-parents et moi sommes allés au Japon pour voir toutes sortes de plantes. Cela n'a pas plu à ma grand-mère, mais elle n'a rien dit," raconta Neville.

"Susan et moi sommes partis en France avec nos familles. Nous avons visité les côtés sorcier et moldu, c'était magnifique," dit Hannah, et Susan acquiesça d'un signe de tête pour approuver ce que Hannah avait dit.

"Je suis parti avec mes parents, mes frères et ma petite sœur voir notre tante Muriel," dit Ron avec dégoût.

"Attends, tu as une petite sœur ?" demanda Susan, intriguée. "Et quand tu dis 'mes frères', tu en as combien ? Parce que j'ai entendu parler des jumeaux Fred et George, ainsi que du préfet de Gryffondor, Percy," ajouta-t-elle.

"Hm, j'ai cinq frères : Bill est l'aîné, ensuite il y a Charlie, puis Percy, les jumeaux, et ma petite sœur qui est un an plus jeune que moi," répondit Ron.

" il sont donc plus a Poudlard il font quoi comme métier tes frère " demanda a son tout Hannah

"Et bien, Bill est briseur de sorts à Gringotts et Charlie est dompteur de dragons en Roumanie," répondit Ron à Hannah.

"Je vois, c'est intéressant. Il nous reste Harry et Hadrien. Racontez-nous, comment se sont passées vos vacances ?" dit Hermione en nous regardant tous les deux.

C'est Harry qui prit la parole en premier : "Eh bien, j'ai passé les vacances avec ma mère et Severus, euh, je veux dire le directeur. Papa était pris par le travail, mais nous avons concocté de nombreuses potions, et naturellement, j'ai joué au Quidditch avec mes oncles et mon père lorsqu'ils étaient présents à la maison. Et toi, Hadrien ?"

"J'ai passé mes vacances avec mon père, mon frère et ma sœur. Nous avons échangé des cadeaux et j'ai préparé vos cadeaux d'ailleurs. Les avez-vous appréciés ?"

"Oui, j'ai beaucoup apprécié ton cadeau, merci, cela pourrait nous être très utile," dit Hermione. Les autres étaient d'accord avec elle et me remercièrent également.

Durant le reste du trajet en train, nous avons parlé, lu ou fait des blagues. À notre arrivée à Poudlard, chacun s'est dirigé vers la table de sa maison. Mes colocataires de dortoir étaient tous assis à l'arrière, je les ai rejoints avec Susan et Hannah. "Salut les gars, peut-on s'asseoir avec vous ? On ne vous a pas vus dans le train tout à l'heure."

"Bien sûr, vous pouvez vous asseoir," dit Rivers en nous faisant signe de prendre place, nous nous installons donc.

"C'est vrai, on ne s'est pas vus dans le train, nous étions tous les trois à l'arrière. Et avez-vous entendu ? Il y a une rumeur qui dit que le ministre de la Magie vient ce soir à Poudlard," dit MacMillan.

" non personnellement , je n'étais pas au courant et vous ? " je dit en regardant Susan Hannah

"Non plus, ma tante ne nous a rien dit quand elle a passé Noël avec nous," dit Susan.

"Pareil pour moi," répondit Hannah.

"Le dîner va bientôt commencer, nous allons voir si la rumeur est vraie," dit Finch-Fletcher, en nous faisant signe de regarder vers la table des professeurs qui commençaient à prendre place.

Lorsque tous les professeurs furent présents, le directeur se leva et s'avança vers le pupitre pour prononcer un discours. Un silence se fit lorsque le directeur se racla la gorge. "Bonsoir à tous, Aujourd'hui, nous accueillons un invité très spécial : le ministre de la magie qui viendra à Poudlard pour quelques jours." Des murmures parcoururent l'assemblée. "Silence !" s'écria le directeur, et tout le monde se tut. "Bien, comme je l'ai annoncé, le ministre va arriver d'une minute à l'autre, alors ne créez pas de remous pendant le repas." a la fin du discours du directeur le ministre arriva par la grande porte, ils se dirigea vers le directeur sans jeté la moindre regard aux élèves " bonjour,  monsieur le ministre"

"Bonsoir, Directeur Snape-Prince, merci d'avoir accepté de m'accueillir à Poudlard pour ces quelques jours," dit le ministre avant de se tourner vers nous. "Bonsoir chers élèves, comme votre directeur l'a dit avant mon arrivée, je resterai à Poudlard quelques jours afin de procéder à des vérifications de sécurité. Je vous souhaite à tous un bon appétit," conclut-il avant de s'asseoir à la table des professeurs. Le directeur fit de même et le dîner apparut sur les tables.

Nous avons dîné avec mes colocataires du dortoir dans le calme, personne n'osant parler dans la grande salle, ces jours-ci promis d'être tranquillité.

Après le dîner, tout le monde s'est empressé de retourner dans son dortoir pour faire leur devoirs de dernière minute, comme c'était le cas pour Rivers, et aussi pour éviter de passer trop de temps dans la même pièce que le ministre Riddle. Ensuite, tout le monde est allé se coucher, prêt pour les cours du lendemain.

Je me suis réveillé avant les autres, le soleil n'était pas encore dans le ciel, il devait être peut-être entre 6 heures ou 7 heures du matin.

Je me suis habillé, vêtu de mon uniforme de Poufsouffle, et suis sorti de la chambre pour aller dans la salle commune, mais je n'ai trouvé personne. "C'est bizarre, il n'y a personne, il doit être encore tôt," ai-je dit à voix haute.

Alors, j'ai décidé de quitter la salle commune pour me promener. Comme le dortoir Poufsouffle est proche des cuisines, j'ai rencontré le ministre Riddle qui sortait de là et m'a repéré. "Que faites-vous déjà debout à cinq heures et demie, hors de votre lit ?" me questionna-t-il.

"Bonjour, rien de spécial, monsieur. Je voulais juste me promener. Je me suis réveillé il n'y a pas longtemps et, voyant que personne n'était levé, j'ai décidé de quitter le dortoir," répondis-je sans la moindre peur face a l'homme devant moi

"Je comprends, mais malheureusement, je ne peux pas te laisser seul dans le château, c'est trop dangereux. Je te propose deux options : la première, tu retournes dans ton dortoir, et la deuxième, tu restes avec moi jusqu'à l'heure du déjeuner," dit-il sérieusement.

Normalement, tout le monde aurait choisi la première option, car personne ne veut se retrouver face au ministre Riddle par crainte qu'il leur jette le sortilège Doloris, selon les rumeurs. J'ai opté pour la deuxième option afin de voir sa réaction. "Je vais choisir la dixième option," dis-je avec un large sourire innocent.

Il me sourit puis rit : "Ah ah ah, tu es bizarre. D'habitude, tout le monde choisit la première option au lieu de rester avec moi pendant des heures dans la même pièce. Quel est ton nom, petit, et en quelle année es-tu ?"

"Moi, monsieur le ministre, je m'appelle Hadrien Death, je suis en première année à Poufsouffle, comme vous pouvez le constater."

"Intéressant, Death est un drôle de nom. Vous ne venez pas d'Angleterre ?" demanda-t-il, intrigué par mon nom de famille.

"Non, monsieur, ma famille vit près de la Pologne. Je ne voulais pas faire ma scolarité à Durmstrang, j'ai donc demandé à mon père de m'inscrire à Poudlard," répondis-je avec un sourire.

"Je vois. Je vais restaurer une pièce qui n'a pas été utilisée depuis plus de cent ans et qui s'est délabrée avec le temps. "Comme tu ne peux pas rester seul, tu viendras avec moi," me dit-il en me faisant signe de le suivre.

Je l'ai suivi à travers le château, il m'a conduit dans un couloir que personne n'emprunte habituellement. C'était la première fois que je voyais ce couloir. Il s'est arrêté devant un tableau vide, il n'y avait qu'un paysage à l'intérieur. Il a appuyé sur un endroit de l'encadrement du cadre et le tableau s'est ouvert, révélant un petit salon avec une bibliothèque. Sur le mur, quatre tableaux étaient accrochés et il y avait aussi une porte. "Comment avez-vous trouvé cette pièce ?" demandai-je, stupéfait, car personne ne savait son existence si elle n'avait pas été ouverte depuis au moins cent ans.

"Je l'ai découvert grâce aux archives de Poudlard où sont répertoriées les salles du château," répond-il en entrant dans la pièce. J'entre à mon tour et le tableau se referme derrière nous.

"Bonjour messieurs, pourriez-vous nous dire qui vous êtes ?" demande une voix douce vêtue de jaune.

"Tu a toujours été trop gentil, Helga. Sois plus ferme," rétorque la personne en rouge.

"Ferme-la, Godric. Laisse-la tranquille," intervient l'autre tableau habillé de bleu.

"Arrêtez de vous chamailler, Godric, Rowena. Ne voyez-vous pas que nous avons des invités ?" fait remarquer le tableau en vert.

Attends !, Godric, Helga, puis Rowena, et l'autre ne s'appelle pas Salazar. "Merci, Salazar," répondit le tableau jaune nommé Helga. Je n'en reviens pas, ce sont bien les fondateurs de Poudlard, mais que font-ils là ? Ne devraient-ils pas être accrochés dans le bureau du directeur ? "Pourriez-vous vous présenter, s'il vous plaît ?" ajouta-t-elle en s'adressant à nous.

Le ministre sourit, ayant immédiatement deviné qu'il s'agissait des fondateurs. "Bien sûr, je suis le ministre de la Magie, Tom Marvolo Riddle, seigneur de la maison Gaunt et du très ancien et noble Serpentard."

"Moi, je suis Hadrien Death, le troisième enfant de la famille Death," répondis-je, ce qui surprit les quatre. Ils ont dû rencontrer mon père dans le passé, vu leur réaction à l'entente de mon nom de famille.

"Ah, alors Salazar, c'est l'un de tes descendants," dit Godric à Salazar.

"Je sais, j'ai entendu," répond Salazar à Godric. "Comme vous l'avez sans doute deviné, nous sommes les fondateurs de Poudlard. Je suis Salazar Serpentard, l'autre roux c'est Godric Gryffondor, et nous avons aussi Helga Poufsouffle et Rowena Serdaigle," ajouta-t-il en se présentant ainsi que tout le monde.

"Merci, Salazar," dit Rowena en remerciant Salazar, "mais que faites-vous dans cette pièce, jeune descendant de Salazar et Monsieur Death?"

"Eh bien, je suis venu pour réparer cette pièce, comme on restaure certaines parties du château en ce moment qui ont besoin de réparation. Vous avez peut-être entendu que j'ai trouvé cette pièce par hasard dans les archives. Je voulais voir par moi-même, mais il semble que j'aurai du travail à faire," dit le ministre en examinant l'état de la pièce.

"Vous, jeune homme, à en juger par la couleur de votre robe, vous devez appartenir à ma maison," dit Helga Poufsouffle en s'adressant à moi.

"Oui, vous avez raison, je suis à Poufsouffle. Je suis ici parce que Monsieur le Ministre Riddle ne voulait pas me laisser errer seul dans le château. Comme je ne voulais pas retourner dans la salle commune, il m'a proposé de le rejoindre," répondis-je.

"Pourquoi ne vouliez-vous pas retourner dans la salle commune ? Êtes-vous harcelé par vos camarades ?" demanda Helga Poufsouffle, inquiète pour moi.

"Non, non, je ne suis pas harcelé. C'est juste qu'il est trop tôt pour aller déjeuner, et j'étais le seul levé. J'ai croisé Monsieur Riddle en sortant de la salle commune," dis-je pour la rassurer que tout allait bien.

Elle poussa un soupir de soulagement. "Merci, je suis soulagée que ce ne soit pas ça, mais promets-moi que tu parleras à un professeur si cela t'arrive," dit sérieusement Helga.

"Oui, Madame Poufsouffle, je promets de parler à un professeur si je suis victime de harcèlement, et même si je vois l'un de mes camarades, quelle que soit sa maison, en difficulté, je viendrai toujours à leur aide," répondis-je avec joie et détermination.

Helga me regarda avec un sourire doux, les autres me regardèrent surpris, le ministre Riddle observait l'interaction entre moi et Helga. "Et je suis sûr que tu réussiras, jeune Death," me dit Helga.

Je rougis légèrement en détournant le regard. "Merci," murmurai-je.

Une conversation en Fourchelangue a capté mon attention. C'étaient le ministre Riddle et Salazar Serpentard qui discutaient. Ce que le ministre Riddle ignorait, c'est que mon père était la Mort et qu'il avait partagé avec les jumeaux et moi une partie de ses pouvoirs. Nous étions capables de comprendre, parler et lire toutes les langues, et nous possédions également des pouvoirs de nécromancie.

*Jeune seigneur de ma maison, parlez-moi. Est-ce que la maison Serpentard est tombée en disgrâce ? J'ai fait de mauvaises choses après avoir quitté Poudlard,* demanda Salazar Serpentard, inquiet.

*Vous n'aviez pas à vous inquiéter. Lorsque j'ai pris le pouvoir au ministère, j'ai renvoyé Dumbledore de son poste de directeur. Il détestait la maison Serpentard à cause de la réputation des mages noirs. Il permettait aux élèves de s'en prendre aux Serpentard sans sanction. J'imagine que c'était pire quand je suis parti de Poudlard,* répondit le ministre.

*Je vois, merci pour ce que vous avez fait,* dit Salazar en le remerciant. *Mais je crois que le jeune Death nous comprend, il nous a regardés quand nous avons commencé à parler en Fourchelangue,* ajouta Salazar.

Le ministre se tourna vers moi, haussa les sourcils et me demanda : *Peux-tu me comprendre, jeune Death ?* dit le ministre de la magie.

Je fis semblant d'être fasciné par la langue. "Vous m'adressez la parole, monsieur le ministre ?" répondis-je,

"Oui, jeune Death, je me demandais si vous pouviez comprendre le Fourchelang," dit le ministre en revenant à l'anglais.

"Non, monsieur le Ministre, je ne comprends pas le Fourchelang," mentis-je. Il leva les sourcils et croisa les bras derrière son dos.

"Je sais quand quelqu'un me ment, jeune Death. Dites-moi la vérité," déclara sérieusement le ministre Riddle.

"Et bien, mon père est un véritable nécromancien. Comme les vrais nécromanciens, il possède un don : il peut lire, écrire et parler dans n'importe quelle langue, qu'elle soit morte ou vivante." C'était au moins la vérité. Mon père est la mort, donc il a bien plus que cela en pouvoir.

"Si ton père est un nécromancien, cela fait-il de toi un nécromancien également ? Si je ne me trompe pas, vu que tu as pu nous comprendre," a répondu le ministre. J'ai hoché la tête en signe de confirmation. "Fascinant, j'aimerais bien rencontrer ton père," sourit-il. Ce n'était pas un sourire doux ou gentil, mais plutôt un sourire narquois. "Je pense que tu peux partir rejoindre tes amis, ils doivent être levés, il est six heures," ajouta le ministre après avoir lancé un Tempus.

*Jeune Death, avant de partir, n'hésite pas à venir quand tu veux,* me dit Salazar en Fourchelangue.

*Bien sûr, merci,* ai-je répondu également en Fourchelangue. Les autres fondateurs étaient surpris, je suis sûr que c'était pour confirmer que je savais parler Fourchelangue.

*Il pourra venir quand j'aurai fini de réparer cet endroit,* dit le ministre. *D'ailleurs, cela prendra mes jours à Poudlard.*

"Merci de m'avoir emmené, Monsieur le Ministre, j'espère pouvoir venir vous voir dès que possible," dis-je en m'adressant aux quatre fondateurs. Les fondateurs me disent tous au revoir et je sors de la pièce sous le regard du ministre Riddle.

Chapter 5: Altercation

Chapter Text

Après avoir quitté la pièce, je suis descendu dans la salle commune pour retrouver mes amis et colocataires. À mon arrivée, Hannah s'est approchée de moi, surprise de me voir arriver par la porte. Elle m'a demandé, inquiète : "Hadrien, depuis combien de temps es-tu levé ? Tu étais dehors ?"

"Tu n'as pas à t'inquiéter, Hannah, je suis juste sorti prendre l'air dehors," lui ai-je menti. Je ne pouvais pas lui dire que j'étais avec le ministre de la Magie à la découverte d'une pièce où nous avons trouvé les tableaux des quatre fondateurs, cela la mettrait en panique.

Elle poussa un soupir de soulagement. "Je suis soulagée," dit-elle, croyant à mon mensonge.

Susan s'avança vers nous. "Hé, que diriez-vous d'aller prendre le petit déjeuner ? J'ai faim et je vous rappelle qu'on a un cours juste après," suggéra-t-elle. Nous hochâmes la tête en signe d'accord et, ensemble, nous nous dirigions vers la grande salle.

Arrivés dans la grande salle, nous nous sommes assis à l'avant à notre table habituelle, où se trouvaient déjà nos amis de Gryffondor, non loin de là.

Pendant le petit-déjeuner, le ministre Riddle n'est pas venu manger ; il a dû prendre son repas plus tôt car, lorsque je l'ai vu quitter la cuisine, tout le monde était soulagé de son absence et a pu discuter bruyamment.

Juste après le petit-déjeuner, nous avons un cours de Potions avec Madame Potter, la mère de Harry. Ses cours sont toujours agréables, et Madame Potter est toujours à proximité en cas d'incident. Elle nous explique avec délicatesse comment préparer la potion. Dommage que nous ne soyons pas avec les Gryffondor.

Le déjeuner arriva, et cette fois-ci, le calme régnait car le ministre était présent. "Je peux entendre les mouches voler," chuchota Hannah en roulant des yeux. Susan et moi avons ri discrètement. Ensuite, nous nous sommes tous réunis après le déjeuner. Aujourd'hui était une exception : nous avions l'après-midi de libre car notre professeur de sortilèges aidait le ministre Riddle.

Nous sommes assis sur l'herbe, nous sept. Susan, Hannah et Hermione sont un peu à l'écart, en train de discuter. Hannah nous avait dit auparavant : "Restez ici, nous devons discuter de quelque chose en privé." Ainsi, nous sommes quatre garçons seuls, éloignés des filles.

"Malfoy approche. Restez sur vos gardes. Neville, va voir les filles, tu n'es pas seul. Tu es celui en qui elles ont le plus confiance," dit Harry à Neville, qui acquiesça de la tête et se dirigea vers Susan, Hermione et Hannah.

"Si ce n'est pas le traître à son sang, alors Potter est un sang-de-bourbe," dit Malfoy d'un ton moqueur, tandis que ses sbires ricanent.

Il m'a encore traité de sang-de-bourbe ? "Je rêve ou tu m'as traité de sang-de-bourbe ?" je répliquai avec une froideur telle que les sbires reculèrent d'un pas, mais pas Malfoy.

"Est-ce que j'ai l'air de me répéter ?" dit Malfoy d'un ton hautain, se sentant supérieur à tout le monde. "Je suis l'héritier de la maison Malfoy."

"Et alors, qu'est-ce que ça peut me faire ? Ça ne me plaît pas que tu parles mal de mes amis," dis-je d'une voix ferme, tandis que Malfoy fait encore une fois l'ignorant.

"Qu'est-ce que tu peux faire, de toute façon ? J'ai plus de pouvoir que toi," répliqua Malfoy, ce qui m'énerva. Je serrai mon poing. "Alors, agenouille-toi devant moi."

"Espèce de..." gronda Ron, furieux, mordant ses lèvres pour retenir les mots qui allaient sortir, tout en sortant sa baguette magique. Harry fit de même.

Les autres faisaient de même pour se protéger. Quant à moi, je m'avançais, le poing serré, ma baguette toujours dans mon étui, ce qui surprit tout le monde lorsque je frappai la joue de Malfoy. Il atterrit sur ses fesses, tenant sa joue blessée. "Tu ne vas pas t'en tirer, je vais le dire à mon père, il est le bras droit du ministre Riddle !" cria Malfoy. en s'enfuyant avec ses sbires

Ma main me faisait mal. "On va voir cela," murmurai-je en secouant ma main.

Harry et Ron affichèrent un sourire heureux lorsque j'ai remis Malfoy à sa place. Les filles et Neville, inquiets, nous rejoignirent, ayant observé la scène. " connaissant Malfoy se soir tu aura des ennuis " dis Hermione inquiet

"Tu n'as pas à t'inquiéter pour ça, Hermione, j'assumerai les conséquences," dis-je à Hermione, qui était toujours inquiète.

"Si tu as besoin de témoins, nous serons tous avec toi," dit Neville, et tout le monde était d'accord avec lui.

Je leur souris. "Merci tout le monde."

Comme promis, juste avant le dîner, un professeur du nom de Rodulphus Lestrange s'approcha de nous avec un air sérieux. "Monsieur Mort, s'il vous plaît, le directeur souhaite vous voir dans son bureau tout de suite."

Je hochai la tête et rassurai mes amis que tout allait bien, puis je suivis le professeur Lestrange à travers les couloirs de Poudlard jusqu'au bureau du directeur. il frappa à la porte, une fois devant, nous entendîmes "Entrez", puis nous entrâmes tous les deux dans le bureau.

Dans le bureau, le directeur était assis sur sa chaise, Malfoy affichait un sourire narquois debout devant lui, et dans la pièce se trouvait également le ministre Riddle, assis sur le canapé en train de boire du thé.

" monsieur Malfoy ma fais pare que vous lui avait frappait en plein vissage es que c'est vrai ? " dis le directeur lentement

Je ne vais pas le nier davantage. "Oui, monsieur, je l'ai frappé parce qu'il m'a traité de 'sang-de-bourbe'. J'ai des témoins si vous le souhaitez, monsieur le directeur," dis-je sérieusement.

"Ah bon ? Monsieur Malfoy m'a simplement dit que vous l'aviez frappé par pur plaisir," dit le directeur en haussant les sourcils.

Le ministre posa sa tasse de thé et se leva vers nous. "Allons, Severus, pourquoi les interroges-tu maintenant ? Nous devons attendre leur parents," dit-il.

Le directeur se crispa. "Pardonnez-moi, monsieur le Ministre, j'ai laissé mes sentiments prendre le dessus," s'excusa le directeur. Sentiments ? De quoi parle-t-il ? Malfoy afficha un sourire narquois.

"Parce que le jeune Malfoy est votre filleul ?" demanda le Ministre Riddle.

"Oui, monsieur," répondit le directeur. Attendez, c'est son filleul ? C'est pour cela que Malfoy semble si confiant, c'est pour ça qu'il est allé se plaindre au directeur. C'est pathétique.

Un bruit venant de la cheminée captiva l'attention de tous ; ce furent les parents de Malfoy qui firent leur entrée en premier. Sa mère courut vers son fils et inspecta le bleu sur sa joue. "Oh, mon petit dragon," s'exclama-t-elle, inquiète.

Je regardais la scène impassible, tout en ignorant le regard noir du père de Malfoy. "Madame Malfoy, cela fait bien longtemps que je ne vous ai pas vue. Je n'ai pas pu assister au bal de Noël à cause de mon travail, veuillez m'excuser," dit le ministre Riddle en s'adressant à Madame Malfoy.

"Ne vous inquiétez pas, monsieur le ministre, vous étiez occupé," dit-elle.

Le père de Malfoy n'a pas oublié ma présence. "Toi, une Sang-de-Bourbe, tu as osé t'en prendre à mon fils !" me cria-t-il. Je mordis ma lèvre de colère. "Severus, j'espère que tu lui donneras une punition plus sévère. Il a attaqué l'héritier de la famille Malfoy," ajouta-t-il, s'adressant au directeur.

Personne ne fit attention à la cheminée, excepté le ministre Riddle qui esquissa un sourire amusé. "Qui êtes-vous pour vous adresser ainsi à mon fils ?" répondis papa en entrant dans le bureau.

"Vous êtes donc le père du sang-de-bourbe," dit-il en me pointant du doigt.

"Sang-de-bourbe ? Vous parlez de mon fils," répliqua le père, évaluant la situation.

"Bien sûr que..." commença le père de Malfoy, mais mon père croisa mon regard et utilisa la légilimancie pour comprendre la situation. Après cela, je pus de nouveau entendre le discours du père de Malfoy : "Votre fils a attaqué le mien avec sauvagerie."

"Je n'apprécie pas votre ton envers moi, et pour commencer, mon fils est un sang-mêlé, alors calmez-vous," dit le père en serrant sa canne.

"Lucius, calme-toi. N'as-tu pas oublié la présence du ministre Riddle ? Un peu de dignité, tu es son secrétaire," dit le directeur pour apaiser Malfoy senior qui pâlit, ayant visiblement oublié la présence du ministre Riddle.

"Je suis désolé, Monsieur le Ministre, je ne voulais pas perdre mon sang-froid," s'excusa Malfoy Senior pour son impolitesse.

"Ce n'est pas grave, Lucius, cela arrive à tout le monde," commenta le Ministre Riddle, visiblement amusé par la situation.

Le directeur ce racla la gorge, pour attire l'attention de tous le monde " et si on s'assoit et en discute calmement " proposa le directeur

"C'est une excellente idée, Severus," dit le ministre Riddle, et il fit apparaître trois chaises : une pour papa et deux autres pour les parents de Malfoy. Pendant ce temps, le ministre Riddle retourna s'asseoir sur le canapé, se servant du thé tout en observant les adultes parler.

Tout le monde s'assied. "Bien, Monsieur Malfoy, pouvez-vous raconter ce qui s'est passé lors de votre interaction avec Monsieur Death ?" demande le directeur.

"Très bien, Monsieur le Directeur. J'étais avec mes amis Crabbe et Goyle quand Death m'a frappé soudainement. Je ne l'avais pas vu venir, et ses amis se sont moqués de moi. Je ne vous l'ai pas dit car j'avais peur," ment Malfoy, l'air effrayé.

"Je vois. Et vous, Monsieur Death ?" demande le directeur d'un ton froid.

"J'étais tranquillement avec mes amis quand Malfoy est venu nous embêter. Il a traité Ron de traître à son sang et a reproché à Harry de traîner avec lui, puis il m'a traité de 'sang-de-bourbe'. Dans la colère, je l'ai frappé."

"Donc vous avouez l'avoir frappé ?" interroge le directeur.

"Bien sûr."

Malfoy arbore un sourire, comme s'il avait gagné, mais il ne sait pas que le Ministre Riddle sait reconnaître un mensonge, tout comme mon père.

"Très bien, je vais vous donner une retenue, Death, avec Rusard," annonce le directeur, mais il ne donne pas de punition à Malfoy.

"Allons, Severus, as-tu oublié les années où je t'ai enseigné ? Tu ne vois pas que le jeune Malfoy t'a menti ?" dit le Ministre Riddle en buvant du thé.

"Mais je n'ai pas menti !" réplique Malfoy, inquiet.

"Allons, insinuez-vous que je mens, jeune Malfoy ?" dit le Ministre Riddle avec un regard qui effraie Malfoy.

"Je suis désolé, Monsieur le Ministre, mon fils vous a manqué de respect en insinuant que vous mentez," dit le père de Malfoy, craignant de perdre son travail au ministère.

"Ne t'inquiète pas, Lucius, je ne te punirai pas pour ça. Héritier Malfoy, je vais te donner la sanction à la place du directeur pour avoir menti aux adultes et aussi pour avoir dérangé ma conversation avec le directeur avant notre arrivée dans le bureau. Tu feras ta retenue avec Bellatrix Lestrange; je lui donnerai des instructions concernant ta retenue," dit le Ministre Riddle.

Madame Lestrange est réputée pour être impitoyable envers ceux qui ne respectent pas les règles, surtout envers sa famille. Il est donc normal que Malefoy frissonne de peur face à sa tante.

Fred et George ont eu une retenue avec elle; comme punition, ils ont dû faire un duel, mais elle est tellement douée en duel que les jumeaux la craignent.

"Et pour mon fils, que suggérez-vous ?" demanda papa en s'adressant au ministre Riddle pour connaître ma punition. "Il a frappé un élève, cela devrait être puni."

"Eh bien, une retenue tous les jeudis de seize heures à dix-sept heures pendant deux semaine avec le professeur Lestrange Rodolphus," proposa le ministre. "Si cela vous convient, monsieur Death, et aussi à vous, Severus."

"Bien sûr, je suis d'accord avec votre proposition, monsieur le ministre," répondit papa sans aucune objection concernant ma punition.

"Bien sûr, je suis d'accord aussi. Je suis désolé, monsieur le ministre, que mes émotions aient pris le dessus et que je n'ai pas remarqué que mon filleul m'avait menti," répondit le directeur en s'excusant.

"Ne t'en fais pas, Severus, assure-toi que la prochaine fois tu ne fonceras pas tête baissée," dit le ministre.

"Eh bien, la situation est résolue, Narcissa et moi pouvons partir, nous avons encore du travail," proposa Lucius Malfoy.

"Bien sûr que vous pouvez y aller," répondit le directeur. Les Malfoy dirent au revoir à leur fils et prirent tous la cheminée. "Draco, va dans ton dortoir, il n'y aura pas de prochaine fois," ajouta-t-il en voyant Malfoy quitter le bureau.

Malfoy ne prit pas le temps de partir, il se dirigea vers la sortie avec embarras.

Mon père se tourna vers moi. "Je ne suis pas content, Hadrien, tu aurais pu au moins contrôler ta colère, mais l'important c'est que rien de grave ne s'est produit," dit-il en me prenant dans ses bras pour une étreinte soulager que je n'est rien eu.

"Excusez-moi de vous déranger pendant ce moment, mais je pense que votre fils doit retourner voir ses amis qui doivent être inquiets," dit le ministre Riddle. Il n'avait pas tort, ils doivent être effrayés.

"Très bien, passe une bonne journée, Hadrien," dit mon père en se dirigeant vers la cheminée, mais il fut interrompu par le ministre Riddle.

"Serait-il possible de se rencontrer une autre fois?" demanda le ministre Riddle à mon père.

"Hm, bien sûr, vous pouvez m'envoyer des courriers," répondit mon père, puis il réalisa quelque chose. "Au fait, nous ne nous sommes pas présentés. Je suis Christopher Death," dit-il en tendant la main au ministre pour une poignée de main.

"C'est vrai, il n'y a pas eu de présentation officielle. Je suis le ministre de la magie britannique, Tom Riddle, seigneur de la maison Serpentard," dit le ministre en serrant la main de mon père. Puis, après les présentations, je suis parti. Mon père discuta avec le ministre avant de partir.

Chapter 6: Delphine !

Chapter Text

Dès que je suis sorti du bureau du directeur, laissant mon père avec le ministre Riddle, j'ai rejoint mes amis qui s'étaient rassemblés près du lac. "Salut, je suis en vie," leur ai-je lancé.

Ils se sont tous retournés vers moi, l'air inquiet. "Hadrien, comment vas-tu ? Tu n'es pas blessé ?" s'enquit Susan, anxieuse.

"Non, je ne suis pas blessé, ne t'en fais pas. J'ai juste des retenues avec le professeur Lestrange les vendredis après les cours."

"Le professeur Lestrange ? Bellatrix ?" demanda Harry, inquiet.

"Non, avec son mari. C'est Malfoy qui a affaire à elle pour ses retenues."

"Au moins, il récolte ce qu'il mérite. Qu'a-t-il fait pour se retrouver avec Bellatrix ?" s'interrogea Ron, intrigué.

"Eh bien, il a menti, et le ministre Riddle sait quand on ment. Il est intervenu et a assigné Bellatrix Lestrange à Malfoy pour ses retenues," les ai-je informés.

"Eh bien, tant mieux si ce n'est pas toi," conclut Neville, soulagé.

"Dommage que ce soit seulement en troisième année qu'on puisse aller à Pré-au-Lard, Fred et George y sont allés aujourd'hui," dit Ron, indigné.

"Tu es toujours en train de te plaindre, Ron," répondit Hermione en levant les yeux au ciel.

"Et comment ne pas être indigné ?" répliqua Ron pour sa défense.

Hermione ne répondit plus rien et décida de partir avec les autres filles du groupe.

"Désolé, Hadrien, nous devons tous les trois partir, McGonagall nous a mis en retenue," dit Neville.

"Qu'avez-vous fait pour tous les trois être punis ?" leur demandai-je.

"Eh bien, j'ai perdu mon livre hier soir après le couvre-feu, alors je suis allé le chercher et j'ai croisé en chemin Harry et Ron qui s'apprêtaient à faire une farce dans les couloirs, mais malheureusement, le professeur McGonagall nous a surpris," dit Neville tristement.

"D'accord, allez-y alors, avant d'avoir une retenue d'une heure de plus," leur répondis-je.

Ils hochèrent tous les trois de la tête et partirent en courant vers le château pour ne pas être en retard.

Je soupirai et partis explorer le château. Quand j'arrivai vers la salle des trophées, j'entendis des voix de filles. Je connaissais ces voix ; elles étaient dans la maison Serpentard, dans la même année que moi : Daphné Greengrass, Tracey Davis et Pansy Parkinson.

"Ne crois pas vraiment que nous sommes tes amies. Draco a eu pitié de toi et nous a demandé de prétendre l'être," dit Greengrass avec mépris.

"Ouais, ne te fais pas d'illusions, que devons-nous faire de toi ?" dit Parkinson en ricanant. Tracey resta licencieux, ne voulant pas vraiment avoir d'ennuis car elle est la seule sang-mêlé du groupe.

J'ai décidé de cesser cette moquerie avant qu'elle n'aille plus loin. "Je peux savoir ce que vous faites ?" demandai-je.

Elles se tournèrent toutes les trois en même temps, surprises que quelqu'un vienne. "Qui es-tu pour nous déranger ? On est entre amis, n'est-ce pas ?" ricana Pansy, et elles étaient toutes d'accord avec ses mots.

"Entre amis ? Les amis ne se moquent pas les uns des autres et ne font pas semblant de s'aimer pour plaire à Malfoy," répliquai-je avec dégoût.

"On n'a vraiment pas le droit de s'amuser ici," ajouta Pansy, et elle fit signe aux autres filles de partir avec elle.

Une fois qu'elles sont parties, je m'accroupis devant la Serpentard, surprise de trouver que c'était Delphine Lestrange. "Salut, tu sais, tu pourrais le dire à un adulte, tes parents, parrain, marraine ou professeur, cela peut t'aider," dis-je gentiment.

"Merci de m'avoir sauvée, mais je n'avais pas besoin d'aide. De plus, si je le dis à mes parents, ils vont trouver que je suis faible," répondit-elle timidement.

"Alors, parrain, marraine, ils pourront t'aider ?" lui proposai-je.

"Mon parrain, c'est le ministre Riddle, mais cela va être la même chose qu'avec mes parents, il va être déçu," répondit-elle en enfouissant sa tête dans ses genoux.

J'allais parler, mais quelqu'un d'autre me devança. "Non, Delphine, je ne pourrais jamais dire que tu es faible," dit la voix du ministre Riddle.

Il a dû finir de parler avec mon père et, s'il est ici, c'est pour continuer à réparer la pièce que j'ai vue ce matin. Il a donc entendu, mais je ne l'avais pas vu ?

Surprise, Delphine se jeta dans les bras du ministre Riddle. "Parrain, depuis combien de temps es-tu là ? Qu'as-tu entendu ?"

"J'ai tout entendu. Peux-tu me donner les noms de ses trois filles ?" demanda le ministre Riddle d'un ton doux, mais au fond, il était en colère contre eux. Delphine, réticente, ne répondit pas.

"Tracey Davis, Daphné Greengrass et Pansy Parkinson," répondis-je à la place de Delphine. "Elles sont toutes dans notre année et dans la même maison que Mademoiselle Lestrange."

Le ministre Riddle me regarda avec reconnaissance. "Merci, jeune Death. Pourrais-tu venir avec moi et Delphine à la salle commune pour aller chercher ces trois filles ?"

"Bien sur, monsieur, je ferai tout pour une camarade qui a besoin d'aide," répondis-je avec un sourire.

"C'est pour cela que tu es un Poufsouffle," marmonna le ministre.

"Delphine, viens," dit-il en la relâchant de son étreinte, le ministre Riddle posa une main sur son omoplate et la poussa doucement pour qu'elle avance.

"Tu sais, cela ne va peut-être pas arranger les choses, mais si tu le souhaites, tu es la bienvenue dans notre groupe. Bien que Ron et Harry soient réticents, ils finiront par t'accepter, surtout les filles. Et je suis sûr que tu t'entendras bien avec Hermione, même si elle est une née-moldue. As-tu quelque chose contre les nés-moldus ?" dis-je.

"Non," murmura-t-elle timidement, "mais merci pour l'offre, je vais y réfléchir."

J'ai hoché la tête en signe de compréhension. Le ministre Riddle est resté silencieux pendant notre échange. Finalement, nous avons commencé à descendre les escaliers; il n'y avait pas beaucoup d'élèves car la plupart étaient à Pré-au-Lard.

"Monsieur Death, vous n'étiez pas avec vos amis ?" demanda le ministre Riddle.

"Si, mais les filles voulaient faire quelque chose entre elles, et puis Ron, Harry et Neville sont en retenue pour être sortis après le couvre-feu," répondis-je. "Alors, j'ai décidé de visiter le château et je suis tombé sur le groupe de Pansy."

"Mademoiselle Parkinson ? Vous pensez que c'est elle la cheffe du groupe ?" demanda le ministre Riddle. Il le savait déjà, il voulait juste une confirmation de la part d'une autre personne.

"Bien sûr, Pansy a plus d'influence que Greengrass et Davis qui et une sang-mêlée dans ce groupe; elle est restée en retrait tout le long de l'interaction," répondis-je, analysant la situation que j'avais observée.

"Je vois, nous sommes du même avis tous les deux. Au fait, jeune Death, ton père m'a demandé de te dire de ne pas faire de bêtises comme ton frère et ta sœur. Je me demande ce qu'il veut dire par là," dit le ministre.

"D'accord, merci. Mon père me compare à eux ! Contrairement à eux, je ne fais pas de blagues sur mes professeurs," dis-je, indigné.

Le ministre et Delphine me regardèrent avec amusement; j'étais content que Delphine s'amuse.

Arrivés devant la salle commune de Serpentard, le ministre Riddle siffla en fourchelangue, "Ouvre." Delphine frissonna au son du fourchelangue. Nous sommes tous les trois entrés, et comme le ministre Riddle l'avait prévu, le groupe de Pansy Parkinson était présent dans la salle commune, près de la cheminée. Tout le monde présent dans la salle commune cessa son activité et un silence s'installa en deux secondes lorsque le ministre Riddle fut aperçu. "Bien," dit-il lentement, "Mademoiselle Parkinson, Greengrass et Davis, venez avec moi dans le bureau du Professeur Lestrange, votre chef de maison," ajouta-t-il d'une voix froide et calme.

Davis et Greengrass sont devenus pâles, et quant à Parkinson, elle nous a lancé un regard menaçant, Delphine et moi inclus. Delphine s'est réfugiée derrière son parrain, auquel j'ai répondu par un sourire narquois. Ils se sont tous trois approchés de nous, le ministre Riddle surveillant les trois filles de près. Nous n'avons pas mis longtemps à atteindre le bureau du professeur Lestrange. "Tu m'étonnes, personne ne veut devenir ami avec une rapporteuse ! C'était pour rire," marmonna Parkinson près de nous.

Les sourcils du ministre vacillèrent en entendant ses mots. "Miss Parkinson, vous feriez mieux de vous taire. Pour votre information, j'étais également présent dans la salle des trophées. Si monsieur Death n'était pas intervenu, je serais intervenu à sa place, mais d'une autre manière," dit froidement le ministre Riddle, faisant frissonner les filles à ces paroles.

Le professeur Lestrange ouvrit sa porte ; il devait nous avoir entendus parler car personne n'avait frappé. "Monsieur le Ministre, que signifie votre visite avec quatre enfants de ma maison, et Monsieur Death ?" demanda le professeur Lestrange en nous examinant l'un après l'autre.

"Eh bien, je suis tombé sur une altercation intéressante entre le groupe de Mademoiselle Parkinson et votre fille. Monsieur Death ici présent y a mis fin," répondit le Ministre Riddle d'un ton neutre.

Le professeur Lestrange fronça les sourcils en observant les quatre Serpentard et nous invita à entrer dans son bureau. "Bien sûr, entrons pour régler ce problème."

Nous pénétrons dans son bureau. L'office du professeur Lestrange était réchauffé par une cheminée qui fendait la pièce, créant une atmosphère chaleureuse. La décoration était très classique, avec une bibliothèque longeant un mur et un bureau au centre de la pièce. Non loin, il y avait un coin détente avec deux canapés de trois places et une petite table.

Le professeur Lestrange fit apparaître des chaises pour tout le monde, mais le ministre Riddle resta debout, observant attentivement. "Eh bien, Monsieur Death, pouvez-vous me raconter ce qui s'est passé ?" affirma-t-il.

J'ai adressé un sourire rassurant à Delphine avant de m'exprimer. "Bien sûr, Professeur Lestrange, je me promenais dans le château. À ce moment-là, je me dirigeais vers la salle des trophées quand j'ai entendu les voix de Pansy Parkinson et Daphné Greengrass, avec Tracey Davis un peu en retrait. Delphine était assise par terre, comme si elle avait été poussée, et elles lui disaient clairement qu'elles faisaient semblant d'être ses amies parce que Malfoy avait pitié d'elle. C'est alors que je suis intervenu, au cas où la situation dégénérerait."

"Je vois, Delphine, as-tu subi des coups ou des insultes ?" demanda sérieusement le professeur Lestrange, inquiet pour sa fille.

Il y eut un moment de silence avant que Delphine ne réponde : "Non, pas de coups, mais des bousculades et des insultes depuis le début de l'année, depuis que Draco a demandé aux filles de devenir mes amies. Elles le font juste parce qu'elles sont amoureuses de Draco," murmura-t-elle à la fin.

J'affichai un sourire moqueur. Par amour pour Malfoy, quelle absurdité. Qui pourrait tomber amoureux de Malfoy ? Les filles devinrent rouge de colère et de gêne à la fois, car toute la pièce avait entendu la dernière partie.

"Monsieur le Ministre, je vais vous laisser leur donner une punition pour avoir harcelé une camarade de classe. Je ne peux pas les punir moi-même, c'est ma fille qui est la victime, alors je vous laisse prendre la décision," répondit le professeur Lestrange, résigné car sa fille était impliquée dans l'histoire.

Le Ministre Riddle ne perdit pas de temps : "Pansy Parkinson, Daphné Greengrass et Tracey Davis, vous serez en retenue avec Rusard tous les soirs, sauf le week-end, de 16h à 18h. Il choisira la punition que vous ferez," dit-il en regardant le groupe de Pansy. "Professeur Lestrange, je voulais vous informer, Argus, que ce soir il y aura du monde dans la salle de retenue dans les cachots," ajouta le ministre au professeur Lestrange.

lLe professeur hocha la tête. "Très bien, merci Monsieur le Ministre, vous pouvez partir et je ne veux plus entendre parler de vous trois," dit-il aux trois filles en les congédiant. Elles partirent aussitôt sans jeter un regard à personne.

Une fois la porte fermée, le ministre ajouta : "Je vais informer leurs parents, ne t'inquiète pas Rodolphe."

Le professeur lui adressa un sourire. "Merci, Tom. Mon père demande quand est-ce que tu vas lui rendre visite."

"Ce n'est rien, bientôt je viendrai prendre un verre avec lui, tu pourras lui dire," ajouta le ministre sur un ton amical. "Au fait, Monsieur Death a une retenue avec toi jeudi de 16h à 17h pendant deux semaines," informa-t-il.

Delphine plissa les yeux dans ma direction, voulant savoir ce que j'avais fait pour aller en retenue avec son père.

"Bien sûr, qu'a-t-il fait ?" demanda le professeur, intrigué de savoir la raison.

"Eh bien, Monsieur Death a frappé Draco Malfoy au visage," répondit le ministre d'un ton neutre. Delphine afficha un sourire en imaginant Malfoy avec un œil au beurre noir et pleurant dans les bras de ses parents.

"Je vois, alors on se voit jeudi à 16h, Monsieur Death," dit le professeur, pas du tout en colère malgré que j'ai frappé son neveu.

Je hochai la tête et dis au revoir au professeur et au ministre Riddle, et aussi à Delphine. "Miss Lestrange, n'oubliez pas que vous êtes la bienvenue dans notre groupe," lui rappelai-je avant de partir.

Chapter 7: Amis

Notes:

(See the end of the chapter for notes.)

Chapter Text

Après être sorti du bureau du professeur Lestrange, je rejoins les filles ; elles étaient toutes les trois dans le couloir en direction de la Grande Salle. Neville, Ron et Harry n'étaient pas encore arrivés. "Les filles, attendez," leur demandai-je alors qu'elles se dirigeaient vers la Grande Salle pour faire leurs devoirs.

Elles se tournèrent vers moi. "Oui, Hadrien, nous étions sur le point d'entrer dans la Grande Salle pour faire nos devoirs ensemble. Veux-tu te joindre à nous ?"

"C'est bon, je vais vous rejoindre un peu plus tard. Je dois aller chercher mes cahiers dans mon sac qui est dans le dortoir. Mais avant cela, je dois vous parler de quelque chose en privé, à vous trois," leur demandai-je sérieusement.

"Très bien, allons dehors alors," dit Hermione en menant la marche. Une fois dehors, elle demanda : "Alors, tu voulais nous dire quoi ?"

"Eh bien, quelque chose s'est passé quand j'explorais le château," racontai-je. Je leur parlai de ma rencontre avec le groupe de Parkinson et Delphine, ainsi que de ce qui s'était passé dans le bureau du professeur Lestrange. Je n'ai pas mentionné que le Ministre de la Magie était le parrain de Delphine car je ne savais pas si je pouvais le dire à qui que ce soit.

"Je comprends, elle sera la bienvenue si elle décide de rejoindre notre groupe d'amis, mais je ne suis pas sûre que Ron et Harry l'accepteront," dit Hermione pensivement.

"J'ai également pensé à cette possibilité, mais je suis sûr qu'ils finiront par l'accepter, même si ce n'est pas immédiatement. Alors Hermione, je souhaite que tu en parles aux garçons, étant donné que tu es une Gryffondor et aussi la plus intelligente du groupe," dis-je en complimentant Hermione.

Elle soupira. "D'accord, très bien, mais je ne promets rien."

Je lui souris. "Merci Hermione, tu es la meilleure. Je vais chercher mon sac et vous rejoindrai dans la Grande Salle," dis-je. Elle acquiesça de la tête et nous sommes séparé

Après être parti chercher mon sac dans la salle commune, je les ai rejoints dans la grande salle. Ils étaient tous assis à la table des Poufsouffle. Pendant les devoirs, nous n'avions pas l'obligation de nous asseoir selon notre maison, ce qui était plutôt pratique, surtout si l'on avait des amis d'autres maisons. De plus, des professeurs étaient là pour nous aider.

Nous aurions pu aussi aller faire nos devoirs dans la bibliothèque, mais les filles avaient décidé d'aller dans la grande salle aujourd'hui.

"Hadrien ? Viens m'aider pour les potions," demanda Susan à mon arrivée.

"Bien sûr," répondis-je en m'asseyant à côté d'elle pour lui expliquer. Nous faisions nos devoirs en nous aidant mutuellement. Neville, Ron et Harry n'étaient pas encore arrivés, ils avaient dû oublier. L'heure d'étude terminée, tout le monde partit dans sa salle commune pour y déposer ses affaires, il restait une heure avant le dîner.

Notre groupe se retrouva dans la cour à l'entrée de l'école. Ron et Harry affichaient un mécontentement visible, tandis que Neville ne laissait rien paraître. Hermione avait dû leur parler de Delphine.

"Pourquoi as-tu invité une Serpentard dans notre groupe ? Ils sont tous visqueux," s'exclama Ron.

"Oui, Ron a raison," approuva Harry.

Je soupirai. "Non, Ron, Harry, tous les Serpentard ne sont pas comme Malfoy. Lestrange est différente, elle est gentille, intelligente, pas comme son cousin," défendis-je Delphine. "Au moins, laissez-lui une chance. De plus, elle n'a pas encore accepté ma demande."

"Très bien, mais on ne lui fera pas confiance facilement," concéda Ron, et Harry acquiesça, d'accord sur ce point.

"Death, te voilà," s'exclama une voix familière, celle de Delphine. "Je voulais te parler de ta proposition," ajouta-t-elle en s'approchant.

Je lui offris un sourire doux, feignant de ne pas remarquer les regards que me lançaient Ron et Harry. "Bien sûr, as-tu réfléchi ?" demandai-je.

"Bien sûr, si tout le monde est d'accord, alors je veux bien rester avec vous," demanda-t-elle timidement.

"Bien sûr que tu peux rester avec nous. Il ne nous manquera plus qu'un Serdaigle et toutes les maisons seront représentées," plaisanta Hannah en finissant sa phrase.

Mais c'était vrai, ce qu'elle disait. Nous étions trois Poufsouffle et trois Gryffondor, et maintenant une Serpentard nous rejoignait. Il ne manquait plus qu'un Serdaigle pour que les quatre maisons soient présentes. Je n'y avais pas prêté attention avant de proposer à Delphine.

"Merci, appelle-moi Delphine. Lestrange, c'est plus mes parents," dit-elle avec un sourire ravi.

"D'accord, alors appelle-nous par nos prénoms également. Je suis Susan, voici Hannah qui est dans la même maison que moi, et Hermione qui est à Gryffondor," dit Susan en présentant les filles du groupe.

"Alors appelle-moi Hadrien, et voici Neville. Quant aux garçons, ce sont Ron et Harry. Ceux dont je t'ai parlé, ils ne feront pas confiance au début, mais ne t'en fais pas. Alors, pour l'instant, appelle-les par leur nom de famille."

"Je vois, d'accord, merci d'avoir accepté cette chance," dit-elle, enthousiaste.

Nous étions tous les sept assis dans l'herbe, et Susan proposa avec enthousiasme : "Delphine, parle-nous de toi, nous ne savons pas grand-chose sur toi." Delphine lui adressa un sourire heureux en répondant. Je n'avais pas prêté attention aux autres élèves, mais c'était la première fois que je la voyais sourire ainsi, et j'étais heureux de voir que tout le monde s'entendait bien, à part Ron et Harry pour l'instant.

"Eh bien, j'aime le bleu, je n'ai pas de plat préféré ni de dessert, je les aime tous. Le fruit que je déteste, c'est le pamplemousse, ne me demandez pas pourquoi, c'est dégoûtant. La matière que j'adore, c'est les sortilèges, et je compte intégrer l'équipe de Quidditch l'année prochaine en tant que gardien," dit-elle, provoquant l'attention de Ron et Harry à la mention du Quidditch.

"C'est super d'avoir quelqu'un qui s'amuse avec le Quidditch dans ce groupe, mais du coup, on sera adversaires. Moi aussi, je serai là l'année prochaine, mais en tant qu'attrapeur," répond Harry avec fièrement

"Eh bien moi aussi, mais en tant que gardien, la même chose," dit-il fermement et passionné par le Quidditch.

"Oui, oui, on a compris que vous êtes fans de Quidditch, on vous connaît depuis septembre, vous en parlez tout le temps," dit Hermione en roulant des yeux, tandis que Ron et Harry rougissent tous les deux, gênés par la remarque d'Hermione.

Nous riions lorsque nous avons tous remarqué la rougeur apparaître sur leur visage. Ensuite, nous nous sommes dirigés vers la grande salle et nous nous sommes séparés pour rejoindre nos tables respectives. Après le dîner, nous nous sommes tous revus une dernière fois avant de partir chacun vers notre salle commune respective.

"Delphine, avec qui partages-tu ta chambre ?" demanda Hannah, inquiète.

"Ah, ne t'inquiète pas pour ça, je partage ma chambre avec d'autres filles, pas avec le groupe de Parkinson, si c'est ce qui t'inquiète," répondit Delphine, rassurant Hannah. Les autres filles poussèrent un soupir de soulagement, tout comme Neville. J'étais content pour elle qu'elle ne partage pas sa chambre avec Parkinson et les deux autres.

Contente de cette réponse, Hannah fut soulagée de savoir cela. "Oh, merci, tu me rassures. J'avais peur, sinon j'allais venir à Serpentard les tabasser et les sortir de la chambre," dit Hannah en mimant des coups dans l'air. Tout le monde s'imagina la scène et nous avons ri.

"Je suis sûre que Harry et Ron seront contents de faire cela," répondit Hermione.

"Eh, je n'entrerai jamais dans la salle commune de ces vipères," dit Ron, indigné. Harry ne répond pas; il était capable de le faire mais ne le dirait jamais à voix haute. Si sa mère passait par là et l'entendait dire cela, elle le punirait.

"Voyons, je suis sûre que tu le ferais pour jouer un tour à Malfoy," dit Susan avec un sourire narquois et amusé. Nous étions tous d'accord avec elle. "Si Delphine est d'accord pour le faire à son cousin," demanda-t-elle.

"Bien sûr que je suis d'accord, je n'aime pas mon cousin. Il a été trop gâté par ma tante et son père quand il était petit, ce qui l'a rendu arrogant," répondit Delphine, indifférente à Malfoy bien qu'il soit son cousin. Nous arborions tous un sourire amusé avant de nous diriger vers nos salles communes respectives, avec la promesse de lui jouer un tour quand nous serions mieux préparés et que le moment serait venu.

Quelques jours plus tard, le jour de ma retenue arriva. Le ministre Riddle était parti au ministère et avait dû terminer de réparer la pièce contenant les portraits des quatre fondateurs. Ron et Harry avaient commencé à accorder leur confiance à Delphine, pas totalement, mais cela s'approchait. Ron, Harry, et également Malfoy, reçurent des nouvelles concernant leur retenue qui avait été promise par le professeur Lestrange Rabastan avant de partir en vacances. Sous la supervision de Bellatrix Lestrange, ils devront la faire demain à dix-sept heures. Ils devront nettoyer la salle des trophées avec un chiffon et une brosse à dents, sans magie.

Toute la classe était en plein cours de Forces du Mal avec notre professeur Bellatrix Lestrange, quand elle a annoncé la punition comme si de rien n'était et a repris son cours. Tout le monde a ri discrètement, Malfoy semblait rouge de colère d'être ainsi traité, tandis que Ron et Harry restaient indifférents à cette punition.

Après le cours de métamorphose, je suis allé faire mes devoirs avec mes amis avant d'aller en retenue. Nous nous sommes tous retrouvés dans la Grande Salle pour nous entraider. Une fois les devoirs terminés, mes amis m'ont tous encouragé, et Delphine m'a rassuré : "Ne t'inquiète pas Hadrien, mon père est plus clément en termes de punition que ma mère, il te fera sans aucun doute écrire des lignes", dit-elle avec assurance.

J'ai hoché la tête. "Merci Delphine", ai-je dit en guise de remerciement, puis je suis parti en direction de la classe du professeur Rodolphe Lestrange qui nous enseignait l'histoire de la magie. La salle n'était pas loin de la petite cour qui relie la tour de la Défense contre les Forces du Mal et la classe du professeur McGonagall.

En arrivant devant la classe, le professeur Lestrange m'attendait et m'a remarqué. "Monsieur Death, vous arrivez pile à l'heure. Venez, nous allons dans mon bureau pour faire votre retenue", m'a-t-il dit en me conduisant. Une fois dans son bureau, il m'a fait signe de m'asseoir en face de lui, puis il a pris une plume, de l'encre et un parchemin. "Vous allez écrire une lettre d'excuse pour avoir frappé Monsieur Malfoy."

"Une lettre d'excuse ? Mais je ne ressens aucun remords pour avoir frappé Malfoy. Il l'a mérité ; il insulte mes amis et moi, et c'est lui qui nous a provoqués," dis-je, indigné à l'idée de devoir écrire une lettre d'excuse à Malfoy. C'est plutôt à lui de nous présenter des excuses, pas le contraire !

Le professeur soupira, résigné. "Très bien, écrivez simplement que vous êtes désolé, pas besoin de l'être vraiment. C'est le directeur qui demande que vous écriviez une lettre d'excuse, je garderai pour moi ce que vous m'avez dit à l'instant," répondit le professeur Lestrange, fatigué de la journée.

"Le directeur n'est-il pas le parrain de Malfoy ? Pourquoi intervenir si c'est le ministre Riddle qui m'a mis en retenue et non lui ?" demandai-je. Si le directeur a demandé d'écrire une lettre d'excuse pour Malfoy, cela veut dire que Malfoy ne va même pas le faire non plus, c'était du favoritisme pur et dur envers son filleul.

"Je ne sais pas, monsieur Death, pourquoi il voulait intervenir avec votre retenue, mais faites simplement la lettre et je vais vous aider si vous voulez ?"

"Pourquoi ?" dis-je, intrigué de savoir pourquoi il voulait m'aider, il n'avait pas à le faire mais le proposa quand même.

Le professeur Lestrange m'adressa un sourire, ce n'était pas moqueur ou autre, mais plutôt doux et sincère. "C'est pour avoir aidé ma fille et de l'avoir acceptée de devenir amie avec elle, merci."

J'étais abasourdi. "Ce n'est rien, Delphine est venue de son plein gré, nous ne l'avons pas forcée à venir," je pris au moins d'une minute pour prendre la décision de l'aide du professeur Lestrange. "Puis j'accepte votre aide, pour vous dire que je ne sais pas quoi écrire dans la lettre," avouai-je.

Le professeur rit de ma déclaration et dit : "Je m'en doutais, c'est pour cela que je vais vous aider. Nous allons mettre en avant certains mots plutôt que d'autres pour faire croire que vous êtes vraiment désolé."

"Je vois, vous pensez que cela va marcher ?" demandai-je, incertain.

"Bien sûr, vous êtes à Poufsouffle. Le directeur a toujours cru que les Poufsouffles étaient doux et incapables de se défendre, et inutiles," dit le professeur en riant.

"Mais c'est faux, nous ne sommes pas comme ça !" m'indignai-je.

"Je sais, seules les personnes vraiment intelligentes savent que les Poufsouffles sont très loyaux. Être loyal ne signifie pas être faible, c'est plutôt un atout, un avantage. Et puis, chacun a son caractère, ce serait ennuyeux si tout le monde avait le même," répondit le professeur Lestrange avec un sourire narquois.Le professeur Lestrange avait raison. "Bien, commençons par le début : tu dois écrire 'héritier de la noble maison Malfoy' pour t'adresser au destinataire," me dit le professeur. Nous avons passé au moins trente minutes à rédiger la lettre, la regardant et la lisant une fois de plus pour vérifier l'absence de fautes.

Héritier de la noble maison Malfoy,

Je m'adresse à vous pour m'excuser de mon comportement puéril que j'ai eu envers vous, un sang-pur de la noble maison Malfoy.

Lorsque je vous ai frappé au visage comme un vulgaire Moldu, j'ai suivi mes sentiments qui étaient la colère. Je n'aurais pas dû, alors je vous présente mes sincères excuses pour mon comportement injustifié.

Et encore une fois, pardonnez-moi, j'ai agi sans réfléchir et je le regrette, je suis désolé.

Hadrien Death

À la fin, je voulais écrire "l'enfant de la Mort" pour voir votre réaction quand vous m'apercevriez, mais je ne l'ai pas fait car mon père ne veut pas que tout le monde sache que la Mort a des enfants.

"La lettre est bien construite, nous avons fait du bon travail. Elle est concise et nous avons utilisé 'désolé' plusieurs fois, comme quelqu'un qui a des remords," dit fièrement le professeur Lestrange avant de regarder l'heure. "Vous pouvez partir, monsieur Death. Je remettrai la lettre à monsieur Malfoy après le dîner."

Je hochai la tête. "Merci de m'avoir aidé, professeur. Je vous souhaite une excellente soirée," dis-je. Le professeur m'adressa un sourire et je partis.

Notes:

merci d'avoir regarder

Chapter 8: Fin de la première année

Notes:

(See the end of the chapter for notes.)

Chapter Text

Hier, j'étais en retenue avec le professeur Rodolphe Lestrange. J'ai retrouvé mes amis pour leur raconter comment cela s'était passé, et ils ont tous ri lorsque je leur ai dit que le professeur m'avait aidé à rédiger la lettre d'excuse.

Aujourd'hui, Ron et Harry ont leur retenue avec Malfoy. J'étais assis dehors avec le groupe près de l'entrée; il faisait beau, sans nuage à l'horizon, et c'était la fin de l'après-midi, le soleil n'était pas encore couché.

Delphine commença à gémir de dégoût : "Il y a une personne blonde qui approche."

Elle parlait de Malfoy, son cousin, qui affichait un sourire narquois. "Eh, sang-de-bourbe, merci pour ta lettre, je vais l'accrocher dans les cachots," ricana-t-il.

Les deux idiots se moquèrent aussi de moi, je roulai des yeux face à son comportement arrogant.

Voyant que je m'en fichais, cela l'énerva encore plus, mais un professeur arriva, l'air mécontent, c'était Bellatrix Lestrange. "Monsieur Malfoy, voulez-vous que je vous punisse encore une fois pour votre comportement ? Déjà ce matin, et maintenant !" Elle n'était pas contente.

"Désolé, professeur," s'excusa Malfoy en se précipitant à l'intérieur avec ses amis.

"Merci, maman," remercia Delphine avec un sourire aux lèvres, contente que sa mère soit intervenue avant que la situation ne dégénère davantage.

"Ce n'est rien, ma puce. Tu devrais faire attention à ton cousin pendant un moment. De plus, je suis venue rappeler à monsieur Weasley et monsieur Potter que leur retenue va bientôt commencer," dit-elle gentiment à sa fille et fit signe à Ron et Harry de venir avec elle.

Quand ils sont tous les trois partis, tout le monde était abasourdi, sauf Delphine, par la gentillesse de Madame Lestrange qui est très stricte en cours de Défense contre les Forces du Mal. "C'est la première fois que j'entends le professeur Lestrange parler ainsi à un élève," dit Neville, encore sous le choc. Tout le groupe était d'accord avec lui.

Delphine, toujours avec un sourire aux lèvres, ajouta : "Et c'est peut-être la dernière fois que vous la voyez comme ça."

saut dans le temps :

Depuis le jour de la retenue, Malfoy n'était pas venu nous embêter, mais il se contentait de se moquer de nous de loin. Cependant, l'année prochaine, il pourrait peut-être recommencer. Aujourd'hui, c'était le moment du départ après le petit-déjeuner. Tout le monde devait se lever tôt car le train partait à 9 heures. Nos valises étaient déjà prêtes. Aujourd'hui, à la une du journal, c'était le ministre Riddle avec une personne de dos dans un café. Le titre était : "Le ministre Riddle a-t-il finalement trouvé quelqu'un ?"

J'ai failli m'étouffer avec mon jus dès que j'ai reconnu la silhouette de papa. Susan, Hannah et mes colocataires me regardaient inquiet : "Hadrien, ça va ?" demanda Susan, inquiète.

"Oui, j'ai avalé de travers, mais je vais bien, merci," répondis-je avec un petit sourire rassurant avant de reprendre ma lecture. L'article décrivait la vie du ministre Riddle et mentionnait peu de choses sur mon père, ce qui était déjà bien. La grande salle bruissait à propos de l'article dans le journal; le directeur et Malfoy semblaient ne pas avoir reconnu mon père de dos, malgré ses cheveux blancs peu communs.

Je soupirais, sachant que je devrais leur en parler dans le train tout à l'heure, car on pourrait reconnaître mon père dans l'article lorsqu'il viendra me chercher à la gare, et je voulais les prévenir pour éviter toute confusion.

Le petit déjeuner se passa et tout le monde à Poudlard était heureux de partir retrouver sa famille. Nous avons choisi un compartiment assez grand pour huit personnes. Le train est parti à neuf heures précises. Delphine a remarqué mon regard inquiet. "Hadrien, as-tu quelque chose à nous dire ?" demanda-t-elle, inquiète et intriguée.

Je hochai la tête. "Oui, l'homme qui était sur la photo avec le ministre Riddle dans le journal, je l'ai reconnu, même de dos. C'est mon père," dis-je en attendant que tout le monde assimile la nouvelle avant d'ajouter, "Je vous le dis parce que j'étais inquiet à l'idée que vous l'appreniez par vous-même. C'était juste pour vous prévenir," terminai-je.

Ils étaient tous silencieux, mais Delphine prit la parole : "C'est le jour des confessions", dit-elle sérieusement. "En ce qui concerne le ministre Riddle et mon parrain, personne ne le sait, à part les membres de ma famille et Hadrien qui l'a appris lorsque nous nous sommes rencontrés pour la première fois, ainsi que quelques Serpentards de familles importantes. Et maintenant vous, mes amis, je vous fais confiance pour garder ce secret, maintenant que Harry et Ron me font confiance, j'attendais le bon moment." Elle fit son annonce.

Les yeux de tout le monde s'écarquillèrent de surprise. "Attends, je voudrais savoir, pourquoi ton père était avec le ministre Riddle ? Était-ce un rendez-vous ?" demanda Hannah, choqué.

"Non, il n'était pas en rendez-vous. De plus, mon père est marié avec ma mère, il était simplement en train de nouer, sans doute, une amitié avec l'autre", répondis-je avec amertume en pensant à ma mère qui ne m'avait même pas envoyé une seule lettre de l'année. Je me demande si Henry et Talia ont reçu des nouvelles d'elle.

"D'accord, c'est compréhensible s'il est marié, et de plus, il ne faut pas trop croire le prophète," dit Hannah.

"Et toi, Delphine, merci de nous faire confiance pour nous confier ce secret," répondit Susan gentiment et touchée.

"Ce n'est rien, cela me rongeait, et c'est juste ce que font les amis, " répondit Delphine avec un sourire heureux.

À la fin du trajet, nous sommes arrivés et nous nous sommes bien amusés en jouant aux cartes et à d'autres jeux, avec la promesse de nous retrouver pendant les vacances au moins une fois avant la rentrée pour notre deuxième année.

Nous sommes descendus et chacun s'est dirigé vers ses parents. Ron s'est approché de sa famille, ses frères l'attendaient déjà, arrivés avant lui. Harry a rejoint son père et ses oncles qui étaient venus l'accueillir. Hermione a également retrouvé ses tuteurs, Neville ses parents et sa grand-mère, et Susan et Hannah ont fait de même.

Mon père était présent mais sans les jumeaux. "Bonjour papa, Henry et Talia ne sont pas là ?" ai-je demandé en arrivant devant lui.

Il m'a adressé un sourire heureux. "Non Hadrien, Henry et Talia sont à la maison en ce moment. Ils sont arrivés il n'y a pas longtemps, environ quinze minutes avant toi. Ils ont eu un souci avec leur Portoloin, ils ont raté leur prévu et ont dû attendre le suivant," m'a raconté papa, amusé, en prenant ma mallette. Je me demandais pourquoi il était amusé. "Tu verras à la maison," ajouta-t-il, remarquant mon regard.

Il hocha la tête, puis prit mon bras et nous avons transplané. Par chance, personne n'a reconnu mon père de dos dans la gare. Arrivés à la maison, Henry et Talia étaient dans le salon avec le ministre Riddle, qui affichait un sourire amusé en buvant son thé, tout en regardant les jumeaux aux cheveux roses.

"Roses ?" dis-je en éclatant de rire et en me pliant en deux.

"Moque-toi, petit frère," s'exclama Henry, indigné, tandis que Talia était furieuse contre lui.

Une fois calmée, elle demanda : "Comment se fait-il que vous ayez les cheveux roses, et que le ministre de la Magie, Riddle, soit à la maison ?"

"C'est à cause de Henry, il a mal dosé la potion qui devait servir à teindre les cheveux des professeurs. Mais à la place, tous les élèves se retrouvent avec les cheveux roses. De plus, nous avons été convoqués au bureau du directeur à la dernière minute à cause de cela, et nous avons raté notre portoloin," s'exclama Talia mécontente.

"Quant à Tom, il est ici parce que je l'ai invité à prendre le thé," répondit papa en s'asseyant face au ministre.

Papa appelait le ministre par son prénom ? Depuis quand étaient-ils devenus amis ?

"Oui, votre père a raison, je devrais vous laisser en famille," répondit le ministre en commençant à se lever du canapé.

Papa l'arrêta en posant une main sur son épaule. "Non, pas besoin Tom, tu peux rester avec nous encore un peu, ça ne nous dérange pas," rassura papa.

Henry et Talia hochèrent la tête en accord avec papa, sans même me demander mon avis. Étant le plus jeune, je pouvais parler, mais ils savaient tous quelle serait ma réponse. Je ne déteste pas le ministre Riddle, c'est juste qu'à ce moment, je devais poser une question à papa à propos de maman.

Malgré la présence du ministre Riddle, je me lançai : "Papa, maman a-t-elle envoyé du courrier au manoir ? Pour moi ou pour nous trois ?" demandai-je avec espoir.

Le ministre Riddle était intrigué, mais papa me lança un regard triste. "Non, désolé Hadrien, elle m'a envoyé un courrier, vite fait il y a deux jours. Elle s'inquiète pour vous, vous ne lui envoyez pas de lettre, et elle ne peut pas non plus. Son travail lui prend trop de temps," répondit papa, déçu.

"Encore ? C'était la même excuse à Yule. Je ne la comprends pas, elle pourrait au moins prendre un jour de congé pour venir nous voir et nous donner des nouvelles. C'est comme si elle refusait de nous voir," criai-je de colère. Les tasses qui étaient sur la table basse explosèrent et éclaboussèrent papa et le ministre.

Henry et Talia étaient du même avis que moi. Avant, elle venait nous voir de temps en temps, mais depuis l'année dernière, tout a changé.

"Papa, Hadrien a raison, ce sont les mêmes excuses qu'elle utilise à chaque fois depuis l'année dernière, depuis qu'elle a été promue," dit calmement Henry, tandis que Talia restait silencieuse.

Le ministre Riddle ne parla pas, mais il était intrigué par maman, cela se voyait dans ses yeux, tout le monde le remarqua. "Je suis désolé, Tom, que tu aies assisté à cette scène," dit papa en soupirant et prit sa fausse baguette pour réparer les tasses et nettoyer le thé sur leurs vêtements et par terre.

"Ce n'est rien, Christopher, j'étais plutôt intrigué par votre femme. Vous ne m'avez pas parlé d'elle ? Vous parlez plus de vos enfants qu'elle, alors j'étais intrigué par votre conversation," demanda le ministre.

Nous n'étions pas surpris que papa ait parlé de nous au ministre, car papa nous adore plus que tout au monde.

"Je vois, ma femme s'appelle Rosalie Death, née Presley, c'est une Sang-Mêlé. Elle travaille partout dans le monde à la recherche d'artefacts anciens, comme vous pouvez le voir c'est compliqué en ce moment. J'ai essayé de la dissuader d'arrêter de travailler dans ce domaine plusieurs fois, mais elle ne veut pas entendre," soupira papa, résigné et ne sachant pas quoi faire de la situation.

"Je vois, cela doit être difficile pour vous. Je devrais peut-être partir, vous laisser en famille," répondit le ministre.

"Pas la peine, Tom. Cette discussion est déjà terminée. Allons dans mon bureau," proposa papa au ministre.

"Bien sûr, Christopher," accepta le ministre. Papa hocha la tête et partit devant pour montrer le chemin au ministre qui le suivit juste après, nous laissant, nous trois, encore dans le salon. Henry et Talia avaient encore les cheveux roses. "Vos cheveux roses? Resteront-ils éternellement comme cela?" je posai la question, encore amusé.

"Non, Hadrien, cela devrait se dissiper d'ici à demain," répondit Talia, déconcertée. Les jumeaux sont partis déposer leurs affaires dans leur chambre et je fis de même. À l'heure du dîner, le ministre Riddle resta pour manger avec nous et insista pour qu'on l'appelle Tom en privé. Après le dîner terminé, je me dirigeai dans ma chambre pour me préparer à aller me coucher, fatigué du trajet en train.

Le lendemain, je descendis dans la salle à manger encore vêtu de mon pyjama et de mes pantoufles. Papa était déjà levé, buvant son café tout en lisant le journal du matin. "Bonjour papa," répondis-je en entrant dans la salle à manger et en m'asseyant sur la chaise à la gauche de papa.

"Bonjour Hadrien," répondit papa, toujours plongé dans son journal sans lever les yeux vers moi. Si un jour vous dites à quelqu'un que la mort agit comme une personne normale, il ne vous croira probablement pas.

Sur la table, il y avait du pain, des pancakes, du jus, des fruits et un chocolat chaud apparut lorsque je me suis assis, préparé par les elfes de maison pour moi. Je mangeai mon petit-déjeuner tranquillement, Henry et Talia n'étaient pas encore là. Une lettre de Delphine arriva pour moi que je lus :

Cher Hadrien,

J'espère que tu vas bien, de mon côté tout va bien. Mes parents vont organiser un bal samedi. J'ai demandé à maman et papa si tu pouvais venir avec d'autres de mes amis. Le problème est que Draco sera à la fête, dommage, mais bon. J'ai déjà envoyé les invitations, Ron ne peut pas venir car il est en Roumanie pour voir son frère Charlie, Harry ne peut pas à cause de son père qui déteste ma mère et de plus, son parrain qui est mon oncle Sirius ne peut pas venir à cause de son travail d'Auror, donc il ne peut pas l'emmener, c'est dommage. Hermione et Neville vont venir. Je dois aller chercher Hermione vendredi pour qu'elle dorme chez moi, nous allons passer une soirée toutes les deux. Je l'avais proposé à Susan et Hannah mais elles ont dit non car elles ne sont pas en Angleterre et sont toutes les deux au Japon.

Il me manque plus que ta réponse Hadrien, cela me ferait plaisir de te voir samedi.

Delphine Lestrange, héritière de la plus noble maison Lestrange.

"Papa, est-ce que samedi soir on a quelque chose de prévu ?" demandai-je après avoir fini de lire la lettre de Delphine.

Papa leva les yeux de son journal pour me regarder. Talia et Henry choisirent ce moment pour entrer dans la salle à manger. "Bonjour," répondirent-ils tous les deux en même temps et prirent place à table.

"Bonjour, et non, Hadrien, on n'a rien de prévu samedi soir. Pourquoi tu demandes ça ?" demanda papa, intrigué. Henry et Talia me regardèrent également.

"Eh bien, les parents de mon amie Delphine nous ont invités au bal qu'ils organisent samedi. Il y aura probablement Tom car c'est le parrain de Delphine. Je sais que Hermione et Neville sont invités et elle voulait savoir si on voulait y aller."

"Bien sûr, je veux bien. Henry ? Talia, vous voulez venir ?" dit papa en regardant les jumeaux.

"Bien sûr papa, on pourrait voir les amis de Hadrien," dit Talia, ravie. Henry était dégoûté mais ne voulant pas laisser sa sœur toute seule, il accepta.

"Merci," le remerciai-je, heureux, en leur faisant un câlin à tous les trois avant de partir dans ma chambre pour répondre à Delphine.

Notes:

merci d'avoir regardé

Chapter 9: bal

Chapter Text

Samedi était enfin arrivé. La semaine avait passé rapidement. Tom était venu prendre le thé mercredi et avait discuté avec mon père. Nous étions tous prêts, vêtus de nos plus beaux habits de sorcier. Delphine m'avait répondu avec enthousiasme qu'elle serait ravie que je vienne au bal. "Manoir Lestrange", dis-je en jetant la poudre de cheminée. J'arrivai dans le hall du manoir Lestrange.

Delphine accueillait les invités à l'entrée avec ses parents. Peu après être sorti de la cheminée, papa et les jumeaux sont arrivés. Papa a agité sa fausse baguette pour enlever la suie de nos vêtements. "Hadrien, comment vas-tu ? Merci d'avoir accepté mon invitation", a demandé Delphine avec un sourire heureux.

"Je vais bien, merci Delphine", ai-je dit avec un sourire bienveillant. "Professeurs Lestrange, voici mon père, Christopher Death."

Le professeur Lestrange serra la main de papa, qui répondit avec enthousiasme : "Enchanté de vous rencontrer, Professeur Lestrange. Comme mon fils me l'a présenté, je suis Christopher Death. Voici mes deux autres enfants, Talia et Henry, et bien sûr, vous connaissez mon plus jeune fils, Hadrien."

"Ravi de vous rencontrer également. Votre fils est un ami de ma fille et l'a beaucoup aidée. Permettez-moi de vous présenter ma femme, Bellatrix Lestrange née Black, ainsi que notre fille unique, Delphine", répondit le professeur Rodolphe.

Madame Lestrange nous a accueillis en nous indiquant que la salle de bal se trouvait à gauche. Nous avons alors laissé les autres invités saluer à leur tour les Lestrange. La salle de bal était magnifique, ornée de rideaux verts arborant le blason de la famille Lestrange. Hermione et Neville étaient présents dans les coins de la pièce, les adultes discutant entre eux tandis que les enfants se tenaient dans un coin tranquille.

"Hermione et Neville, comment allez-vous ?" ai-je dit en m'approchant d'eux, tandis que papa et les jumeaux sont partis socialiser avec d'autres sorciers et sorcières.

"Hadrien ?" s'exclama Neville, surpris. "Je ne savais pas que tu avais accepté l'invitation." Hermione arborait un sourire, sans poser de question, car elle devait savoir que j'allais venir aujourd'hui.

"Oui, je n'avais rien de prévu et c'est une occasion de vous voir", ai-je répondu à Neville avec un sourire bienveillant. Un ricanement moqueur provenant de derrière moi a interrompu notre conversation.

Malfoy a dit : "Qui a invité ce peureux et deux nés-Moldus ? ". Delphine est arrivée à ce moment-là et l'a entendu.

"Bien sûr que c'est moi, qui d'autre voudrais-tu que ce soit ?" dit-elle d'un ton moqueur. Malfoy ne répondit pas et s'en alla, le visage rouge de colère, dans une autre direction."Tu as fini d'accueillir tout le monde ?" demanda Hermione.

"Oui, mes parents m'ont dit de partir, ils n'ont pas besoin de moi," dit Delphine.

Dans la salle de bal, il y avait de nombreuses personnes qui semblaient se connaître. Mon père, qui n'a pas l'habitude de participer à ce genre d'événements, s'est présenté à eux. Le ministre Riddle est alors entré et a salué mon père ainsi que les jumeaux qui l'accompagnaient, attirant ainsi l'attention des autres sang-purs sur mon père.

Mon père m'a vu le regarder et m'a fait signe de venir. Je me suis tourné vers mes amis et leur ai dit : "Je dois aller voir mon père, on se rejoint plus tard."

"Ma grand-mère souhaite que je la rejoigne", déclara Neville en observant sa grand-mère.

"Delphine nous dit joyeusement : " Je resterai avec Hermione " puis nous adresse un signe d'au revoir. " à tout à l'Heure ! "

Neville est parti voir sa grand-mère, tandis que je me suis dirigé vers mon père, le ministre Riddle et d'autres personnes. "Voici mon dernier enfant, Hadrien, qui aura 12 ans le 29 juillet et entamera sa deuxième année à Poudlard." Me présenta papa

Je les saluai, ils hochèrent la tête dans ma direction et poursuivirent leur discussion avec papa et Tom. Quelques minutes plus tard, ils s'éloignèrent pour aller voir d'autres personnes, nous laissant seuls avec Tom. Je l'interrogeai : " Monsieur le ministre, vous connaissez beaucoup de monde.'"

"Bien sûr, Hadrien. Personne d'autre n'est là, tu peux m'appeler Tom." Il m'a corrigé "D'accord, Tom."

Tom me souriait avec assurance. "Oui, je suis le ministre de la magie, ce qui me permet de côtoyer de nombreuses personnes pour étendre mon influence."

"Je vois, c'est plutôt pratique d'avoir du monde autour de soi", dis-je à Tom en hochant la tête.

Nous arrivâmes au cœur de la soirée. Tom était parti saluer Delphine qui se trouvait avec Hermione, en train de discuter avec d'autres sang-purs qui n'avaient pas de préjugés envers Hermione en raison de son statut de née-moldue. Henry lança un regard menaçant aux jeunes hommes de leur âge qui s'approchaient de Talia pour l'inviter à danser ; papa était amusé par la situation.

Je décidai de prendre l'air sur le balcon. Peu de temps après, Delphine et Hermione me rejoignirent. Il faisait déjà nuit dehors. "Hadrien, on te rejoint pour prendre l'air, cela fait du bien un peu de calme", dit Delphine en apparaissant avec Hermione à côté de moi. Nous avons admiré la vue sur le jardin tranquillement, savourant la fraîcheur, loin des bavardages des adultes et des cris des tout-petits courant dans la salle de bal.

La tranquillité n'a cependant pas duré longtemps, car Draco Malfoy est arrivé avec sa petite bande, accompagné de Pansy Parkinson et de ses amis. "Mais n'est-ce pas notre chère Delphine, accompagnée de son sauveur et d'une Sang-de-Bourbe ?" ricana Parkinson, dissimulant son sourire derrière sa main.

Hermione était paniquée de peur qu'il s'en prenne à elle à cause de son statut, mais garda la tête haute et chercha du regard les adultes pour sortir de la situation avant que cela ne dégénère.

" Savez-vous qu'il est impoli de se moquer de son hôte et de son amie ? " ai-je répliqué, indifférent mais prêt à agir en cas de danger.

"Comment osez-vous me parler sur ce ton ? Je suis Pansy Parkinson, une sang-pur, et vous n'êtes qu'un vulgaire sang-de-bourbe. Vous n'avez pas votre mot à dire", a-t-elle rétorqué avec amertume.

"Je détesté cette insulte. Je ne suis pas un né-Moldu, mais un Sang-Mêlé", ai-je crié avec colère. J'étais agacé par ce terme de 'Sang-de-Bourbe'. Il ne comprendrait jamais pourquoi les nés-Moldus sont nés. Ma tante a donné de la magie pour empêcher la communauté magique de s'éteindre.

Malfoy se moqua avec un ton méprisant : " Oh, le pauvre petit, tu détestes ça, n'est-ce pas, sang-de-bourde ! "

"Cousin, tu as encore insulté mon ami ?" a dit Delphine, les dents serrées de colère.

"Oui", répondit Malfoy avec arrogance. "Que comptes-tu faire maintenant ?", ajouta-t-il en la provoquant.

Delphine allait chercher sa baguette, mais je l'en ai empêchée pour l'empêcher de foncer dans l'action comme un Gryffondor. J'ai posé ma main sur son poignet pour l'arrêter. "Attends ! Il attendait juste ce moment pour que tu lui jettes un sort et qu'il puisse rejeter la faute sur toi. Regarde derrière lui, son père est en train de surveiller depuis le début pour pouvoir intervenir", lui ai-je chuchoté à l'oreille.

Hermione, qui se trouvait à proximité et pouvait l'entendre, fut surprise, n'ayant pas remarqué plus tôt le père de Malfoy alors qu'elle cherchait un regard des adultes, contrairement à moi qui l'avais remarqué dès le début de l'interaction. Il était caché derrière les rideaux, en observation, et discutait avec d'autres personnes visibles à travers la baie vitrée.

"Un fils, un papa ! " marmonna-t-elle en regardant dans la direction où se trouvait son oncle, résigné elle baissa la main et j'ai lâché son poignet.

Parkinson se moqua : " Ba alors, rien ne se passe ? "

"Qu'est-ce qui est censé se produire, héritière Parkinson ?" demanda Tom, en apparaissant avec papa, Henry et Talia.

Pourquoi était-il ici ? Je les ai laisser dans la salle il y a peine dix minutes ?

Talia m'a adressé un sourire bienveillant en disant : "Nous voulions te rejoindre dehors".

"Vous n'avez pas encore répondu à ma question, Parkinson", dit Tom d'un ton glacial. "Que doit-il se passer ?"

Elle bégaya : "Rien, Monsieur le ministre Riddle", avant de se réfugier à l'intérieur du manoir pour retrouver ses parents.

Le ministre regarda Malfoy et ses amis d'un air calme et dit lentement : " Rentrez à l'intérieur et que je ne vous vois plus importuner quelqu'un. " Malfoy est sa clique son parti précipitamment à l'intérieur.

Une fois hors de portée de voix, Hermione soupira de soulagement et Delphine redescendit sa colère. "Merci, Hadrien", me remercia-t-elle.

"Pourquoi êtes-vous venu ici ?" ai-je demandé, car lorsque je suis parti, ils conversaient avec Papa a raconté :

"J'ai vu Lucius Malfoy regarder discrètement par la fenêtre, mais son regard n'était pas vraiment discret."

"Retournons à l'intérieur, et profiter de la soirée avec votre ami, il vous attend," nous proposa tom, en regardant à l'intérieur, Neville nous cherchait dans la salle, puis nous sommes tous rentrés, Delphine, Hermione et moi nous nous sommes dirigés vers Neville, nous sommes restés tous les quatre jusqu'à la fin.

Chapter 10: Manoir Serpentard

Chapter Text

Le bal de la famille Lestrange s'est bien déroulé malgré les interactions avec Malfoy et son petit groupe. J'ai passé la semaine à la maison, dans la bibliothèque, à chercher des sorts de guérison, mais je n'en ai pas trouvé. Voilà trois jours que je m'intéresse aux sorts de guérison depuis que Delphine m'a raconté dans une lettre comment son oncle Rabastan a réussi à soigner une personne blessée pendant ses vacances en Espagne.

J'ai constaté que papa n'avait pas ses livres. Papa était dans son bureau avec Tom, c'était devenu une habitude pour le ministre Riddle de venir de temps en temps à la maison pour parler avec mon père quand il n'était pas occupé et lui non plus. Je me suis précipité vers le bureau de papa et j'ai frappé à la porte, papa n'aime pas quand on rentre dans son bureau sans prévenir, sauf si l'un de nous trois est malade ou blessé.

Papa a répondu et m'a invité à entrer dans son bureau. D'un ton inquiet, il m'a demandé : "Hadrien ? Comment vas-tu ?" quand je suis entré dans la pièce.

"Je vais bien, mais je suis déçu de ne pas avoir trouvé de livre sur les sorts de guérison." Mes yeux cernés trahissaient mon manque de sommeil dû aux recherches effectuées cette nuit.

Papa avait un regard inquiet et demanda " alors ses pour cela que tu enchaînes les nuits blanches ? "

"J'ai fouillé toute la bibliothèque sans rien trouver, " dis-je avec agacement.

"J'ai quelques livres sur la guérison dans mon manoir qui pourraient t'intéresser, dans différentes langues. Je peux t'aider à les traduire si tu le souhaites", a proposé Tom tout en buvant une gorgée de thé.

Mes yeux se sont éclairés. "Aviez-vous voyagé dans différents pays ? "Je demandai avec curiosité.

"Oui, j'ai beaucoup voyagé à travers différents pays, j'ai appris leur culture et leur langue, c'était avant mon mandat au Magenmagot, j'avais dans la vingtaine", répondit Tom avec nostalgie.

Je suppliais papa du regard : " Papa, accepterais-tu que Tom me prête ses livres sur les sorts de guérison ? "

" D'accord " soupira papa "

"Je vous invite à dîner ce soir, comme ça, vous pourriez récupérer les livres que vous voulez, si cela ne vous dérange pas, Christopher," ajouta Tom à papa.

"Non, pas du tout, mais ce soir, ma femme sera présente, elle repartira demain", a déclaré le papa.

"Quoi ? Nous n'étions pas au courant qu'elle revenait ce soir, maman ne nous a même pas envoyé de courrier pour nous prévenir", ai-je dit, irrité.

" je sais cela elle m'a prévenu avant que Tom vienne prendre le thé, mais se soir je ne veut pas de dispute entre vous, d'accord " répondit papa en soupirant à la fin

"Oui", je répondis, puis j'ajoutai plus doucement "on verra bien", mais papa et Tom l'avaient entendu.

Tom arborait une expression amusée, mais le regard de papa semblait contrarié alors qu'il soupira une fois de plus. "Hadrien, s'il te plaît, au moins pour Tom ce soir."

J'ai soupiré en acquiesçant pour Tom. Puis j'ai répondu "À tout à l'heure" et je suis sorti du bureau de papa, laissant Tom et papa ensemble.

Le soir était arrivé, Henry et Talia avaient été informés du dîner prévu avec Tom et du retour de maman. Ils étaient ravis pour le dîner avec Tom, qui était devenu un ami proche de la famille. Le retour de maman a suscité des sentiments partagés, car tous étaient furieux contre elle de ne pas avoir donné de nouvelles pendant près de deux ans avant de réapparaître maintenant.

Les elfes de maison qui servaient mon père nous ont aidés à préparer nos tenues. On m'a choisi une chemise blanche avec un gilet gris, et la veste ainsi que le pantalon étaient de la même couleur. Je ne portais ni nœud papillon ni cravate.

Henry portait le même costume que moi, mais avec une cravate noire, tandis que Talia avait une robe verte et les cheveux attachés en chignon. Nous étions tous les trois dans le salon à attendre l'arrivée de papa et maman. Après quelques minutes, ils sont arrivés, maman portant une robe verte différente de celle de Talia, et papa dans un costume similaire au nôtre.

Maman, ravie, s'exclama : "Que vous êtes beaux, mes enfants ! ."

Talia répondit avec un sourire radieux, reconnaissante du compliment : "Merci maman, vous êtes également élégante."

"Merci ma chère, je suis quelque peu anxieux à l'idée de rencontrer pour la première fois un ami de votre père."

Papa posa sa main sur le bras de maman dans un geste réconfortant, en l'assurant : "Ne t'en fais pas, ma chérie, Tom est quelqu'un de bien."

Peu de temps après, nous sommes tous allés chez Tom par cheminée en prononçant le manoir où Tom habite, le manoir Serpentard. Nous avons atterri dans un salon resplendissant, entouré de tableaux magiques représentant différents paysages de différentes époques, avec des canapés verts et une petite table en verre au milieu. Le parquet était en bois, il y avait également un tapis vert, des rideaux verts avec des fils d'or, et les murs étaient blancs.

C'était une pièce de taille moyenne, isolée du reste du manoir. La porte s'ouvrit et Tom nous accueillit avec un sourire. "Bonsoir. Bienvenue au manoir Serpentard, je suis désolé de vous recevoir dans cette pièce, je l'ai aménagée pour des visites, c'est une pièce fermée pour des raisons de sécurité", nous dit Tom en s'excusant.

"Ne t'en fais pas, Tom, nous comprenons", rassura papa et ajouta "par ailleurs, la décoration est très réussie".

Tom a déclaré avec tristesse : " Merci Christopher, c'était la femme d'un très vieil ami qui a choisi la décoration, j'ai moi aussi été stupéfait par cela."

Papa présenta : "Tom, permettez-moi de vous présenter ma femme Rosalie. Rosalie, voici Tom Riddle, Lord Serpentard, ministre de la magie britannique."

"Je suis ravi de vous rencontrer, Madame Death", dit Tom avec politesse.

"Je suis d'accord, Lord Serpentard, mais appelez-moi Rosalie", a répondu maman.

"Appelez-moi Tom", dit-il en souriant.

Puis un elfe de maison apparaît dans la pièce, déclarant : "Maître, Titi a fini de préparer le dîner pour vous et vos invités", portant une robe avec les armoiries de la famille de Tom, celle de Serpentard.

"Très bien, merci Titi, tu peux disposer", répondit Tom à son elfe.

Tom nous a ensuite menés hors du petit salon pour nous emmener dans sa salle à manger, où la table était dressée. Il nous a fait signe de nous asseoir. Tom s'est installé au bout de la table, papa sur le côté droit avec maman, et sur la gauche il y avait trois assiettes pour nous trois. Talia s'est assise au milieu, en face de maman, Henry à côté d'elle et moi en face de papa.

L'entrée apparaît devant nous crace à la magie des elfes de maison.

" je me demandai quel âge avais vous Tom, vous aviez l'air jeune mais vis yeux vous trompe. " demanda maman après s'être essuyer la bouche avec une serviette

" Eh bien c'est vrais que je peux parraitre avoir treintre ans pour une personne de 64 ans, mes il ne pas oublier certain sorcier vielle plus lentement que d'autre ". A répondu Tom

" je comprend, je suis curieuse vous êtes un belle homme et vous aviez dressée la table que pour nous ? Vous avez pas une petite ami ? " ajouta maman sans gêne

" Allons Rosalie " gronda papa a maman puis il ajouta a Tom " je suis désolé Tom que ma femme a poser une question inapproprié "

" non, ne t'inquiète pas Christopher, cela ne me gêne pas, pour répondre à votre question Rosalie, non je ne fréquente personne en ce moment " répondit Tom avec un petit sourire

Puis ensuite les assiettes de l'entre fini disparu pour faire place aux assiettes du dîner.

" je suis désolé Tom, tu n'était pas obligé de répondre a cet question étais gênante pour toi " s'excusa maman

" ne t'inquiète pas Rosalie, je n'aurai pas répondu si cela m'aurait déranger " répondit Tom

" papa ! Est que dans la semaine je pourrais invitée mes amis sur le chemin de Traverse, ou à la maison ? " demandai-je

"Bien sûr, tu pourras leur communiquer la date et l'heure, nous organiserons cela ensemble", a répondu papa.

Henry s'exclama, indigné : "Et nous alors ? Nous aussi, on a des amis, papa ! "

"Je vous rappelle que vous êtes tous les deux punis", a déclaré papa d'un ton sévère.

Henry et Talia ont été réprimandés pour s'être furtivement éclipsés de la maison afin de rejoindre leurs amis américains, en visite à Londres pour quelques jours, papa était extrêmement mécontent lorsqu'il a appris leur escapade à leur retour. Ils ont été punis et les elfes de maison ont été chargés de les surveiller.

Maman s'interrogea avec surprise : " Et pourquoi, mon chéri ? Qu'ont donc fait Henry et Talia ? "

"Papa soupira en répondant : 'Ils se sont éclipsés discrètement de la maison pour rejoindre leurs amis.'"

"Henry, Talia, vous prévenir votre père de partir rejoindre vos amis, il a dû être extrêmement inquiet," répondit maman calmement et ajouta, "je pense aussi que tu devras faire une exception pour les jumeaux. Hadrien a le droit de voir ses amis, pourquoi pas eux aussi."

"Non, il est hors de question qu'ils échappent à leur punition", a déclaré papa sévèrement à maman.

"Mais..." a-t-elle répondu en tentant de protester, mais Tom l'a interrompue.

"Je m'excuse d'intervenir dans votre discussion privée, mais je pense que Christopher a raison, les jumeaux devraient rester à la maison pour purger leur punition", a déclaré Tom en défendant le point de vue de papa.

Maman ne répondit pas. Henry était toujours indigné mais il comprenait la gravité de ses actes. Ils ne discutèrent pas longtemps. Talia resta silencieuse durant le dîner, observant tout le monde. Le dîner se passa tranquillement. Papa et Tom discutèrent, et maman participa sur des sujets qui l'intéressaient. J'attendais que Tom m'emmène à sa bibliothèque pour chercher les livres sur les sorts de guérison.

Finalement, Tom arborait un air amusé en me regardant attendre avec une moue boudeuse. Il se leva ensuite pour nous faire visiter son manoir. Dix minutes plus tard, Tom nous a emmenés à la bibliothèque, où se trouvait une belle collection de livres provenant de différents pays, ainsi que de très vieux ouvrages.

"Ton impressionnante collection de livres me surprend. Notre bibliothèque n'est pas aussi fournie que la tienne", a déclaré papa avec étonnement.

"Merci, j'ai recueilli ses œuvres lors de mes voyages à l'étranger. Certains sont des pièces très anciennes qui appartiennent à ma famille depuis des générations. Cependant, si vous recherchez un livre sur un sujet particulier que vous n'arrivez pas à trouver, n'hésitez pas à me le demander."

Talia tenait un livre vert dans sa main et demanda à Tom avec espoir : "Tom, pourrais-tu me prêter des livres ?"

"Le livre sur les runes avancées est un choix très intéressant", a commenté Tom avec un sourire, en regardant le livre que Talia tenait dans sa main. Il a ensuite ajouté : "Bien sûr, tu peux l'emprunter pour le lire, et si tu trouves d'autres livres qui t'intéressent, n'hésite pas à les prendre également. Cela ne me dérange pas, tu me les rendras quand tu auras terminé."

Talia, serrant le livre contre elle avec joie, s'est exclamée "Merci Tom", puis s'est dirigée au fond de la bibliothèque, suivie par Henry.

Papa et maman étaient partis faire un tour à la bibliothèque, Tom était resté avec moi. "Viens, je vais te montrer les livres que tu cherches", dit Tom en me montrant le chemin. Nous sommes arrivés dans une allée de la bibliothèque et il a récupéré un livre concernant la guérison. "Je te conseille celui-ci, c'est pour les débutants. Tu y trouveras les bases de l'anatomie, et tu pourras avoir les autres quand tu seras plus avancé", m'a-t-il dit en me passant le livre.

" Merci tom "Je le remerciai avec enthousiasme, un grand sourire aux lèvres, ravi de pouvoir enfin me procurer le livre que je recherchais.

Nous avons quitté le manoir de Tom après lui avoir fait nos adieux. Henry a trouvé un ouvrage sur les créatures du monde magique. Talia avait apporté son livre de runes avancées, mais elle a également découvert un volume sur les runes anciennes. Papa et Maman ne voulaient pas déranger Tom pour emprunter un livre, alors ils n'en ont pas pris et se sont contentés de visiter la bibliothèque.

Nous nous sommes tous retirés pour nous préparer à la nuit et à dormir. "Demain, je pourrai enfin me mettre à lire", me suis-je murmuré dans mon lit avant de fermer les yeux et de sombrer dans le sommeil.

Chapter 11: chemin de traverse

Chapter Text

Le lendemain du repas au manoir Serpentard avec Tom, maman était repartie travailler sans nous dire au revoir, papa nous a dit qu'elle ne voulait pas nous déranger pendant notre sommeil, et qu'elle nous enverrait des lettres quand elle le pourrait. Henry, Talia et moi savons qu'elle ne tiendra pas sa promesse, même papa savait que nous avions raison.

J'avais convié tout le monde à nous retrouver au chemin de Traverse vendredi matin à dix heures devant la boutique de balais. Tous étaient disponibles : Susan et Hannah étaient revenues en Angleterre, les parents de Harry, de Ron et les parents d'accueil de Hermione avaient donné leur autorisation, et Neville ainsi que Delphine avaient obtenu la permission de leurs parents.

Aujourd'hui est jeudi et demain, je pourrai enfin revoir tous mes amis. J'ai quitté ma chambre après une dernière lecture du chapitre, puis je me suis dirigé vers la salle à manger pour prendre le déjeuner avec tout le monde. Arrivé dans la salle à manger, j'y ai trouvé Tom et mon père, mais les jumeaux n'étaient pas encore arrivés. "Bonjour Hadrien, comment vas-tu ?" m'a demandé Tom.

"Je suis ravi de vous voir ici, mais c'est la première fois que je vous vois déjeuner avec nous."

Tom sourit et dit : "Votre père m'a invité à déjeuner avec vous, et je n'ai pas pu refuser."

"Bien sûr, vous pouvez venir quand bon vous semble", ai-je répondu.

Au début, Tom ne venait pas de façon régulière, mais désormais il vient presque quotidiennement pour rendre visite à mon père.

Tom me répondit avec un léger sourire et continua de discuter avec mon père. Je m'installai à côté de Tom et Henry, puis Talia arriva, tous deux fatigués. "Bonjour à tous", murmurèrent les jumeaux d'une même voix avant de s'asseoir en face de nous.

Papa et Tom observent les jumeaux avec un air interrogateur. "Pourquoi semblez-vous fatigués ?" demanda papa.

Henry, qui était connu pour ne pas savoir mentir, ce qui était l'un de ses défauts, a répondu : "Nous travaillons sur un devoir que notre professeur nous a donné."

Tom grimaça et papa répliqua d'un ton sévère : "Henry, tu mens".

Sous la pression du regard de papa, Henry céda. "Très bien, Talia et moi préparons notre nouvelle farce".

" Henry ! " cria Talia indignée

Henry a répliqué à Talia : "Eh bien, reste devant le regard de papa, nous aurions dû attendre qu'il ait fini de manger avant de sortir."

Tom semblait amusé, ce qui se reflétait sur son visage, papa paraissait déconcerté. "Même si vous n'étiez pas descendu, je serais quand même monté vous voir pour prendre de vos nouvelles", soupira papa.

Cela n'aurait rien changé, papa les aurait de toute façon surpris en flagrant délit. Je ne peux même pas imaginer les jumeaux avec les jumeaux Weasley, ce sera la fin de notre tranquillité pour toujours, après que les jumeaux se sont calmés, tout le monde a repris le déjeuner.

Après le déjeuner, chacun vaquait à ses occupations. Tom remercia papa et repartit pour Londres afin de travailler au ministère. Parfois, je me demande comment il trouve le temps de venir prendre le thé avec papa tout en jonglant avec ses responsabilités ministérielles.

lendemain :

Enfin, le grand jour est arrivé. Aujourd'hui, notre groupe d'amis se rend tous au Chemin de Traverse. L'oncle de Delphine, qui est le parrain de Harry, était présent en tant qu'adulte. Mon père s'était libéré spécialement pour l'occasion. Je ne savais même pas que la mort pouvait prendre des congés.

Le matin, il y avait peu de monde, ce qui était idéal pour se promener et faire des achats entre nous sans être bousculés. Neville, Harry et moi aurons bientôt douze ans dans quelques jours.

Talia et Henry sont restés au manoir, punis et surveillés par les elfes de maison.

Hermione arriva avec ses parents d'accueil qui la déposèrent et repartirent aussitôt, car ils devaient travailler dans le monde moldu en raison de leur manque de magie. Neville arriva en second, sa mère l'ayant également déposé, vêtue de sa tenue d'Auror. Ron arriva avec sa famille au complet, à l'exception de son frère Charlie qui se trouvait en Roumanie. Son frère Bill prit congé de sa famille avant de partir pour Gringotts. Ron était gêné que sa mère l'embrasse sur la joue avant que le reste de la famille ne parte dans la direction opposée.

Susan et Hannah sont arrivées en même temps, accompagnées par la tante de Susan, qui est repartie rapidement car elle devait travailler au ministère. Harry et Delphine sont arrivés les derniers, accompagnés de Sirius Black, l'oncle préféré de Delphine.

Black s'excusa d'un air coupable : "Je suis désolé du léger retard, j'ai dû aller chercher Delphine chez elle et je n'ai pas vu le temps passer, j'ai discuté avec ses parents, c'est Harry qui a dû me rappeler."

Papa se présenta en serrant la main de Monsieur Black : "Je suis Christopher Death, le père de Hadrien. Vous devez être Sirius Black, le parrain d'Harry et l'oncle de Delphine."

"Monsieur Death, puis-je vous appeler Christopher ?" demanda Black.

" Bien sûr " accepta papa

Puis, avec le groupe, nous avons parcouru plusieurs boutiques et avons discuté.

"Malfoy a encore été réprimandé par le ministre de la magie pour le bal organisé par les parents de Delphine," a raconté Hermione.

"Dommage que ma famille n'ait pas accepté, j'aurais voulu voir de mes propres yeux", a déclaré Harry, déçu.

"Je regrette de ne pas avoir été avec vous, les gars. Ma grand-mère voulait me présenter à d'autres sang-purs pour plus tard, quand je prendrai le titre de Lord Londubat", a déclaré Neville.

"Moi, j'ai de la chance que je sois le dernier de ma fratrie, mais bon, nous avons perdu notre titre à cause des Malfoy ainsi que notre argent", grogna Ron.

"Votre père peut reprendre sa seigneurie, et votre mère, étant une Prewett, pourrait demander l'aide d'un de ses frères, qui est Lord Prewett", déclara Sirius Black.

"Parrain, que veux-tu dire ?" s'exclama Harry avec surprise.

"Eh bien, les événements ont commencé avant la naissance d'Arthur et Lucius. Un membre de la famille Weasley était la seule fille de la fratrie de trois garçons. Ses parents lui avaient organisé des fiançailles avec le jeune héritier de la famille Malfoy, mais elle est tombée amoureuse d'un autre homme et a refusé ces fiançailles. Les Malfoy ont alors dépouillé les Weasley de leur titre au Magenmagot, forçant cette famille à pratiquement donner leur argent, les rendant ainsi la famille de sang-pur la plus pauvre."

"Comment a-t-il réussi à tout prendre à la famille Weasley ? Existe-t-il un moyen de tout leur redonner ?" demanda Hermione, préoccupée.

"Oui, nous pouvons récupérer ce que les Weasley ont perdu, trouver des preuves contre les Malfoy et les poursuivre en justice. À l'époque, ils se sont appuyés sur une loi très ancienne, depuis abolie par le ministre Riddle, " a ajouté papa en nous rejoignant.

" Si nous trouvons un moyen, nous pourrons rénover la maison ", demanda Ron avec espoir.

"Oui, mais il faut trouver des preuves, ce ne sera pas facile, je vais demander à ma grand-mère", a dit Neville. "Elle pourrait savoir des choses, elle était encore jeune quand cela s'est passé, elle a peut-être découvert ou aperçu quelque indice."

Ron regarda Neville avec de grands yeux et lui demanda : "Peux-tu faire ça ?."

"Oui, je suis certain que ma grand-mère approuvera", répondit Neville, mal à l'aise.

" Merci les gars, c'est gentil de votre part " remercia Ron

Après cela, nous sommes allés prendre une glace ensemble, chacun avec sa saveur préférée, payée par papa et Sirius Black. Nous avons passé toute la matinée à discuter et à raconter nos débuts de vacances. Puis les parents de Ron sont arrivés en premier, avec les jumeaux, sa petite sœur et Percy, qui étaient chargés d'objets d'occasion. Ensuite, Hermione et ses parents d'accueil sont venus la récupérer à l'heure de leur pause déjeuner.

Susan et Hannah sont parties avec les parents de Susan et sa tante qui les avait emmenées ce matin. Neville est parti avec son oncle, et quand il l'a vu arriver, il était dégoûté et avait peur, papa les a regardés partir avec méfiance envers l'oncle de Neville. "Merci d'être venu aujourd'hui, sans vous, je ne sais pas comment j'aurais fait pour surveiller ce groupe", a remercié papa à Sirius Black.

Sirius Black dit avec un sourire bienveillant : "Ce n'est rien, depuis que je suis en vacances, je m'ennuyais, alors ce n'était pas un problème." Ensuite, il est parti avec Delphine et Harry, ne restant que moi et papa. Nous avons tous promis de nous revoir bientôt.

" Rentrons au manoir ", suggéra papa. J'acquiesçai, et il nous fit transplaner dans le hall du manoir. Henry et Talia descendirent l'escalier en nous entendant arriver.

Tom est arrivé par le réseau de cheminette du hall en même temps que nous. "Bonjour à tous, vous venez juste d'arriver ?" Demanda Tom

"Bonjour, nous venons d'arriver. Je constate que vous avez du temps libre. Avez-vous déjà mangé ? Sinon, rejoignez-nous pour le repas", a proposé papa avec un sourire accueillant.

"Merci Christopher, non je n'ai pas encore mangé, qui pourrait décliner une offre aussi alléchante ?" a-t-il répondu avec un sourire.

Ensuite, Tom nous a accompagnés dans la salle à manger où papa avait préparé des couverts pour lui.

"Connaîtrais-tu un moyen de faire restituer le siège des Weasley au Magenmagot ?" demanda papa à Tom après avoir pris une bouchée de son steak.

Tom essuya sa bouche avec une serviette avant de répondre à papa : "Oui, il y a un moyen, mais les Weasley devront présenter leurs excuses aux Malfoy."

Je grimaçai, Tom le remarqua " Ron et sa famille son têtu ils ne voudront pas d'excuse, de plus même si les Weasley ont rompu les fiançailles à l'époque, c'est parce qu'elle avait trouvé quelqu'un qu'elle aime. " Je répondis

" De quoi parliez-vous ? " demanda Talia intéressée

"Les Malfoy ont dépouillé les Weasley de leur fortune et de leur titre de Lord au Magenmagot, bien avant la naissance du père de Ron." je raconta

Les jumeaux acquiescèrent ensemble. "Tout cela par amour, si j'ai bien compris ?", demanda Talia.

" oui "

"C'est injuste de procéder ainsi, est-ce que cela est dû à une loi ?", s'enquit Henry.

"J'ai aboli cette très vieille loi dès mon premier mandat. J'ai supprimé des lois similaires et j'en découvre encore", grommela Tom, dégoûté que ses prédécesseurs aient pu accepter cette loi stupide.

Henry était surpris " tu en trouves encore ? "

Tom était ministre de la magie depuis de nombreuses années. Il avait été élu plus de trois fois, ce qui était exceptionnel car normalement le mandat était limité à deux fois. Tom faisait de bonnes choses pour la communauté magique britannique, ce qui inspirait les autres pays.

"Oui", répondit Tom en se tournant vers moi. "Si la famille Weasley ne souhaite pas présenter des excuses aux Malefoy, ils disposent d'une autre option envisageable : entamer un procès pour récupérer l'argent perdu et regagner leur titre. Qu'ils viennent me voir."

Je connaissais les détails du procès avant l'arrivée au manoir, mais j'ai trouvé formidable que Tom propose son aide aux Weasley, étant donné que lui et le ministre pourraient leur redonner leur titre. Je n'y avais pas pensé auparavant, peut-être que mon père en était au courant ?

Je hochai la tête, indiquant que j'avais compris, et j'informerai Ron par lettre après le dîner. Tom hocha également la tête, et nous avons repris le dîner. Henry a alors parlé à Tom d'une loi stupide qui devait être abolie, tandis que Talia et mon père ont tous deux écouté attentivement.

Chapter 12: anniversaires

Chapter Text

Aujourd'hui, c'est mon anniversaire, le 29 juillet. Celui de Neville est demain, et celui de Harry le 31. Nous avons prévu de célébrer nos anniversaires ensemble aujourd'hui chez Harry, au manoir Potter. J'ai appris qu'Harry a une petite sœur du même âge que celle de Ron, qui entrera à Poudlard l'année prochaine. Il a également un petit frère de 8 ans.

Papa avait levé la punition de Henry et Talia, tous prêts à partir, cadeaux en main. Papa a activé le portoloin qui nous a amenés dans la cour du manoir où la fête allait avoir lieu. C'était un bon moment pour fêter les anniversaires à l'extérieur. Nous étions les derniers arrivés, toute la famille était présente : la famille Weasley, à l'exception des deux grands frères de Ron, Hermione et ses tuteurs, Neville et ses parents, Delphine avec Sirius Black, qui ne pouvait pas être avec ses parents à cause de la tension entre les parents de Harry et Ron.

Hannah et Susan sont avec la tante de Susan. Tous se sont réunis pour fêter mon anniversaire ainsi que ceux de Harry et Neville, qui sont demain et après-demain. La sœur de Harry ressemble à sa mère, avec des cheveux roux et des yeux noisette comme son père. Quant à son petit frère, il a les cheveux noirs et les yeux noisette, mais ne porte pas de lunettes, contrairement à Harry qui a les cheveux de son père et les yeux de sa mère, ainsi que la vue de son père.

"Hadrien ! Je suis ravi de te voir. Joyeux anniversaire !" s'exclama Harry lorsqu'il m'aperçut.

"Merci Harry, même si c'est dans deux jours, je te le souhaite quand même, même si on ne se voit pas après."

"Merci, Hadrien. Neville et les autres sont autour du stand", répondit Harry avec enthousiasme. J'acquiesçai et les suivis.

Lorsque je suis arrivé, tous les autres m'ont souhaité un joyeux anniversaire en même temps, Neville et Harry inclus. Les adultes discutaient entre eux, tandis que les jumeaux Weasley étaient avec Henry et Talia. Nous avons joué au Quidditch avant de manger le gâteau, mais Hermione et Neville n'ont pas participé. Le père de Harry et son parrain nous ont ensuite rejoints.

Après le match, nous nous sommes tous dirigés vers la table où trois gâteaux étaient disposés. Neville avait une tarte aux fraises, Harry avait sa tarte à la mélasse préférée, et moi un gâteau au chocolat. Papa a pris des photos et nous avons soufflé nos bougies ensemble après le chant d'anniversaire entonné avec enthousiasme par tous.

Tous avaient leur part de gâteau à la main, Henry et Talia étaient en train de négocier avec les jumeaux Weasley. Papa soupira et fit signe à Henry et Talia de venir, ils s'approchèrent tous les deux de Papa. "J'espère que vous n'êtes pas en train de donner vos potions ou de préparer des blagues", dit Papa en les regardant avec un sourcil levé.

Les jumeaux échangèrent un sourire malicieux. "Non, nous ne faisons rien de mal, nous parlons simplement de nos blagues", dit Henry, et Talia acquiesça d'un signe de tête.

Papa adopta une expression désespérée et observa les jumeaux Weasley au loin avant de se retourner vers eux. "Soyez sages aujourd'hui, c'est l'anniversaire de votre frère," soupira papa en leur faisant signe de partir.

Ils approuvèrent tous deux avant de partir, comme convenu, ils n'avaient rien fait de la journée. La mère de Ron était satisfaite que ses jumeaux n'aient pas causé de problèmes et papa était également content que Henry et Talia n'aient rien fait.

J'ai reçu en cadeaux un livre de guérisons de la part de Delphine, un livre sur la famille Serpentard offert par Hermione, une écharpe tricotée par la mère de Ron dans les couleurs rouges, jaune et verte, un kit d'entretien de balai de la part d'Harry, des bracelets de protection de la part de Susan et Hannah, ainsi que des herbes rares offertes par Neville.

Harry a reçu des magazines d'abonnement au Quidditch offerts par Delphine et Hermione, Neville lui a offert un livre facile sur l'herbologie pour apprendre les bases des plantes utilisées en potion, Susan et Hannah lui ont offert des cartes de joueurs de son équipe de Quidditch préférée, et moi je lui offre la robe de son équipe de Quidditch préférée. Ron lui a offert des lunettes de protection pour le Quidditch qui s'adaptent à sa vue.

Neville a reçu de la part de Susan et Hannah deux livres d'herbologie avancés, Hermione lui a offert un nouveau kit d'outils, Delphine lui a donné des plantes extrêmement rares, Harry lui a offert un manuel d'apprentissage qui pourrait l'aider en potions, Ron lui a offert une paire de gants de jardinage malgré la situation financière difficile de sa famille, et moi je lui ai offert un livre sur les créatures magiques.

Malheureusement, il commence à se faire tard et tous se disent au revoir avant de partir chacun de leur côté. "Merci pour le cadeau, Harry. Au revoir et à vous aussi, Professeur, Monsieur Potter, ce fut un plaisir de vous rencontre." Je remercie la famille Potter, papa et Henry et Talia font de même. Delphine n'était pas encore partie, elle attendait son oncle qui soit près. Je me suis dirigé vers elle. "Delphine ! Merci pour ton cadeau", l'ai-je remerciée en la prenant dans un bref câlin.

"De rien, Hadrien, je suis contente que cela t'ait plu", répondit-elle en acceptant le câlin, puis elle le relâcha et s'éloigna un peu, les joues rouges. "À la prochaine, Hadrien, envoyons-nous des lettres", ajouta-t-elle en faisant signe de la main avant de se diriger vers son oncle qui parlait avec ses amis.

Je restais abasourdi par ce qui venait de se passer. Mon père posa sa main sur mon épaule et déclara : "Nous rentrons à la maison". J'acquiesçai d'un signe de tête, puis il sortit le portoloin et nous le touchâmes tous, ce qui nous fit transplane dans le jardin de la maison.

Tom nous attendait à l'entrée avec un cadeau en main en disant : "Bon anniversaire, Hadrien" répondit-il en me donnant le cadeau.

J'ai pris le cadeau et l'ai remercié, puis j'ai déballé sous le regard curieux de ma famille. Tom m'avait offert un ouvrage sur la nécromancie.

"Merci Tom, mais en as-tu parlé à papa ? Il voulait attendre que j'aie quatorze ans, car c'est à cet âge que l'on perd le contrôle de nos pouvoirs", demandai-je.

Tom m'a adressé un sourire bienveillant. "Ton père est au courant, il m'en a parlé. Tu n'as pas le droit de le pratiquer, mais tu peux le lire."

Je regardai mon père pour obtenir son approbation, et il hocha la tête, approuvant les propos de Tom. "Bien, d'accord", dit mon père. "Et si nous allions au salon pour en discuter, j'ai quelque chose d'important à vous dire." Henry, Talia et moi étions tous intrigués et inquiets, car il était rare que notre père nous convoque au salon pour nous annoncer quelque chose d'important.

"Je devrais prendre congé maintenant, je suis simplement venu apporter mon cadeau à Hadrien. De plus, tu as une réunion de famille à organiser, je ne devrais donc pas m'attarder davantage", a déclaré Tom en se préparant à partir.

"Tu peux rester, Tom. Je dois simplement parler à tes enfants au sujet de leur mère, c'est tout ", répondit papa en retenant Tom par le bras. Tom regarda son père et hocha la tête, puis le père nous conduisit dans le salon et demanda du thé à l'elfe de maison, qui apparut aussitôt.

Papa adopta un air grave. Tom se tenait à côté de lui, l'air neutre, mais ses yeux trahissaient son intérêt. "J'ai reçu une lettre de votre mère ", dit calmement papa en claquant des doigts, et une lettre apparut sur la petite table. " Elle veut que l'on divorce et qu'elle ait la garde exclusive de vous ", ajouta-t-il, furieux.

"Attends, attends ? Maman demande le divorce, pourquoi ? Elle veut avoir la garde de nous trois", s'exclama Henry, choqué.

Talia était également sous le choc, mais elle a pris la lettre posée sur la table. "Papa ? Maman t'a-t-elle trompé ? L'as-tu découvert et lui en as-tu parlé ?' Demanda Talia après avoir lu la lettre de maman.

"Oui, c'est la femme du collègue de votre mère qui m'a informé dans une lettre qu'elle les a surpris ensemble. J'ai ensuite envoyé cette lettre à votre mère pour en discuter avec elle. Selon moi, elle a paniqué et m'a accusé de l'avoir trompée à son tour, ce qui l'a conduite à demander le divorce et un procès pour la garde", a répondu mon papa en soupirant.

Mes yeux se sont écarquillés lorsque j'ai réalisé que maman pensait que papa l'avait trompée avec Tom, à cause du journal. Puis, le fait qu'il ait aussi dîné chez Tom n'était donc pas une coïncidence si elle est rentrée ?

Tom était également surpris, il avait compris la même chose que moi. "Christopher, veux-tu dire qu'elle pense que tu la trompes avec moi ?"

"Oui, c'est bien cela", a confirmé papa.

Tom est amusé et sourit face à la situation. "C'est bien la première fois que cela m'arrive, je suis sûr qu'elle n'a aucune preuve, à part le journaliste qui nous a surpris au café, mais bon tout le monde sait que les journalistes font des suppositions, surtout sur ma vie."

"Oui, elle se base sur les rumeurs qu'elle a entendues et je suis convaincu de gagner le procès de divorce pour la garde des enfants", a répondu mon papa avec assurance.

Tom acquiesça, approuvant les propos de papa. "Oui, tu as des chances, je peux aussi te trouver un excellent avocat."

"Ce serait très gentil de ta part, Tom, merci. Est-il possible de le rencontrer dans la semaine ?"

"Oui, c'est un très bon ami à moi, il a réussi à gagner plusieurs procès au fil des années", a répondu Tom, avant de se lever et d'ajouter : "Je devrais partir maintenant, j'irai lui demander ce soir, je dois aller assister au bal d'anniversaire de son fils." Il nous a ensuite dit au revoir et est sorti de la maison.

Après le dîner, papa nous a congédiés. Nous nous sommes alors tous couchés, avec des émotions diverses : colère, inquiétude. Durant la journée, pour mon anniversaire et celui de Harry et Neville, papa avait semblé joyeux. Faisait-il semblant pour ne pas gâcher nos anniversaires ? Alors que je fermais les yeux, je songeais à cette journée avec inquiétude, sachant que maman préparait quelque chose pour obtenir notre garde complète.

Chapter 13: Lettre de Maman !

Chapter Text

Cela fait déjà une semaine que mère a demandé le divorce à papa.

Papa devait rencontrer l'avocat recommandé par Tom. Toutefois, ce qui m'inquiétait davantage était que ma mère avait gâché mon anniversaire en demandant le divorce ce jour-là, sans même prendre la peine de me le souhaiter.

Je soupirai d'agacement et me levai de mon lit pour me préparer à affronter la journée.

Tous étaient présents pour le petit déjeuner. Les jumeaux étaient encore furieux et papa n'était pas du tout nerveux à l'idée de rencontrer l'avocat.

Nous mangeâmes alors dans le calme, puis papa prit la parole avant que les jumeaux ne quittent la salle à manger : "Talia, Henry ! Ne faites pas de bêtises, rien qui pourrait aider le parti de votre mère ", dit-il calmement comme s'il savait ce que préparaient les jumeaux.

Les jumeaux grimacèrent, se sentant démasqués, et répondirent à l'unisson : " Oui papa, nous ne ferons rien ", dirent-ils avant de partir.

Je terminais paisiblement mon petit-déjeuner lorsque Tom arriva en compagnie d'un autre homme qui semblait être l'avocat.

" Vous êtes en avance ", constata Papa en consultant sa montre.

Tom présenta ses excuses et introduisit l'avocat à papa : "Christopher, je vous présente Marcus Greengrass. Marcus, voici, Christopher Death." Papa se leva et serra la main de Marcus Greengrass.

Greengrass ? N'aurait-il pas un lien de parenté avec Daphné Greengrass, l'une des personnes qui harcèlent Delphine ?

"Enchanté de vous rencontrer, comme l'a dit Tom, je suis Marcus Greengrass."

"Avez-vous un lien de parenté avec Daphné Greengrass ?" demandai-je, intrigué.

"Effectivement, jeune homme, Daphné est ma nièce," affirma-t-il d'un ton impassible.

"Voici mon dernier enfant, Hadrien. J'ai également deux autres enfants, Henry et Talia, qui sont à l'étage," présenta Papa.

Marcus Greengrass acquiesça, puis Papa sortit et conduisit Marcus et Tom dans son bureau pour discuter des préparatifs.

Une heure s'était écoulée. Je me trouvais dans la bibliothèque lorsque j'entendis la porte s'ouvrir. Papa et Tom entrèrent.

"Tom, je viens tout juste de terminer ton livre sur la guérison. Pourrais-je t'emprunter les autres tomes ?" demandai-je lorsqu'ils s'approchèrent de moi.

Tom hocha la tête avec un doux sourire. "Bien Hadrien, la prochaine fois que tu viendras chez moi, tu pourras en prendre un," répondit-il.

"Merci Tom, j'ai déjà hâte d'être invité," je répondis, heureux.

Papa m'ébouriffa les cheveux et s'exclama : "J'ai aperçu des lettres arriver il y a de cela cinq minutes. Tes amis t'ont écrit."

Je me tournai pour le regarder dans les yeux avec une expression joyeuse. "Vraiment ?" demandai-je. Papa hocha la tête pour confirmer. Je me levai, saluai d'un signe de main Tom et quittai la bibliothèque pour me rendre dans la cuisine où les elfes de maison travaillaient.

Effectivement, lorsque j'arrivai dans la cuisine, je remarquai que les lettres étaient déposées par les elfes dans la boîte où elles sont placées quand les chouettes arrivent.

Je vérifiai l'adresse des expéditeurs de mon courrier. J'avais reçu une lettre de Harry, une autre de Susan et la dernière de Neville, mais il y en avait également une de ma mère.

Elle avait osé m'envoyer une lettre après ce qu'elle avait fait. Je glissai les courriers de Harry, Susan et Neville dans ma poche pour les consulter plus tard, et décidai d'ouvrir d'abord celle de ma mère.

Cher Hadrien, mon fils,

Je me suis souvenu de ton anniversaire et souhaitais te le célébrer, mais j'ai découvert que ton père entretient une relation avec le ministre de la magie britannique.

Je te présente mes excuses pour ce retard dans mes vœux. Pourrais-tu me renseigner sur les éventuels éléments que ton père pourrait utiliser contre moi concernant votre garde ?

Je suis immensément fière de toi. Je t'aime, mon fils Hadrien.

Je contemplai la lettre avec stupéfaction, puis la colère s'empara de moi. Je froissai le papier dans mon poing et me précipitai vers la bibliothèque, espérant que papa et Tom s'y trouvaient encore.

J'ouvris la porte avec violence, la faisant claquer contre le mur, ce qui surprit les occupants de la pièce. Père et Tom étaient effectivement toujours dans la bibliothèque, dégustant du thé, livres en main. Ils levèrent vers moi un regard étonné.

Celui de Tom se posa sur ma main où la lettre demeurait serrée dans mon poing.

"Hadrien, te revoilà ? Qu'est-ce qui se passe ?" demanda Tom d'un ton monotone, mais il avait sans doute une idée de la raison de ma colère, après tout le temps que nous nous connaissions.

"Papa, Maman m'a adressé une lettre dans laquelle elle exigeait des informations sur tes démarches concernant notre garde, mais elle a omis de me souhaiter mon anniversaire parce qu'elle avait aperçu la photo de toi et Tom au café. Elle s'est ensuite excusée, mais je suis certaine qu'elle l'a fait délibérément pour pouvoir passer du temps avec son amant," m'écriai-je, des larmes de colère ruisselant sur mes joues.

Pourquoi pleurais-je alors que j'éprouvais davantage de colère que de tristesse ? Papa déposa son livre sur la table et ouvrit ses bras pour m'inviter à venir me blottir contre lui. Je me précipitai vers lui, laissant tomber la lettre au sol, et me réfugiai dans son étreinte réconfortante tandis qu'il m'entourait de ses bras. Je sanglotai sur son épaule.

J'entendis Tom refermer son livre et se lever. "Christopher, elle a tenté de manipuler Hadrien à travers sa lettre d'excuses. Je vais la remettre à Marcus avant de me rendre au ministère, " déclara Tom qui avait dû récupérer la lettre et la lire.

Des bruits de pas résonnèrent dans la bibliothèque. "Que se passe-t-il ?' Demandèrent Henry et Talia à l'unisson, tous deux essoufflés. Ils avaient probablement couru en entendant le vacarme.

" Votre mère a envoyé une correspondance à Hadrien ", soupira Papa.

"Comment ? Que contenait cette lettre pour mettre Hadrien dans un tel état ? "s'indigna Henry.

" Elle a tenté d'extorquer des renseignements et de le manipuler à travers ses écrits ", expliqua Tom.

Henry grogna tandis que Talia soupirait : "Nous aurions dû nous douter que maman agirait ainsi. Je suis sûre qu'elle se prépare à nous écrire, à Henry et moi, si elle ne reçoit pas de nouvelles de la lettre d'Hadrien," déclara-t-elle.

"Oui, tu as raison Talia. Rosalie est une sorcière puissante qui ferait tout pour arriver à ses fins, mais le contenu de cette lettre pourrait bien nous aider. Je souhaite donc que vous me remettiez à moi ou à Tom toute lettre que vous recevriez," affirma Papa, tout en traçant des cercles apaisants dans mon dos pour calmer mes pleurs qui s'étaient transformés en hoquets.

Confortablement installé contre mon père, j'entendis Tom s'approcher et s'agenouiller sur le côté. "Hadrien ?" demanda-t-il avec délicatesse. Je tournai la tête pour croiser son regard aux yeux rouges. "Je pourrai t'inviter plus tard cette semaine pour te changer les idées. Je suis navré de ne pas pouvoir le faire maintenant, mais je dois assister à un gala en France."

Je me redressai pour regarder papa dans les yeux. Il hocha la tête. "D'accord", répondis-je à Tom d'une voix rauque, tout en essuyant mes dernières larmes avec la manche de mon pull.

Tom arbora un sourire rassurant et se leva. "Je vous communiquerai l'heure et la date précises dans la semaine. Je vais vous laisser en famille pour discuter, car je dois me rendre au ministère. Au revoir Christopher, Hadrien, et à vous également Henry et Talia", déclara Tom en nous regardant chacun tour à tour.

"D'accord Tom, tu es le bienvenu chez nous quand tu le souhaites," déclara Papa. Tom hocha la tête avec un sourire persistant, puis se dirigea vers la sortie de la bibliothèque pour rejoindre le réseau de cheminette situé dans le salon.

Après le départ de Tom, Henry et Talia firent quelques pas pour nous rejoindre et m'offrirent tous deux une étreinte chaleureuse. J'étais encerclé par quatre bras qui m'enlaçaient. Je regardai Papa, quêtant son aide pour me libérer de cette embrassade étouffante, mais il se contenta de sourire avec tendresse.

Je soufflai avant d'abandonner toute fuite inutile et laissai mon destin dans l'étreinte des jumeaux. Je posai ma tête sur l'épaule de papa, qui plaça sa main dans mes cheveux pour masser délicatement mon crâne. Cette attention était relaxante, car à force de pleurer, un mal de tête s'était installé.

Nous sommes restés au moins cinq minutes dans l'étreinte avant de nous séparer. "Merci", murmurai-je. Talia afficha un sourire, Henry hocha simplement la tête et papa m'ébouriffa les cheveux. J'avais encore les autres lettres de mes amis que je n'avais pas ouvertes.

Je m'assis donc à côté de papa et ouvris la lettre de Harry en premier. À l'intérieur se trouvait un petit bracelet orné de coquillages, il était magnifique. Bien qu'il ne fût pas magique mais d'origine moldue, il restait charmant. Je lus attentivement son message : Harry et sa famille étaient partis dans le nord de la France, dans le monde moldu, et il me racontait tout ce qu'il y avait fait.

Susan m'a également écrit depuis son voyage avec Hannah après l'anniversaire. Elles étaient en Chine où elles ont découvert de nombreuses variétés de plantes et de sorts, ainsi que la culture locale. Neville, quant à lui, se trouvait en Allemagne avec sa mère. Il était déçu que son père n'ait pas pu prendre de vacances pour les accompagner, mais il s'amusait bien et m'avait promis de rapporter un souvenir.

Papa, qui avait lu les lettres, murmura : "Et si nous allions en Égypte dans deux semaines ? Je demanderai à Tom s'il veut venir avec nous", proposa-t-il.

Talia, qui avait entendu, était excitée : "Vraiment ? On pourrait explorer à la fois les côtés magique et moldu. J'aimerais découvrir l'histoire du côté moldu", dit-elle. Henry était également content, non pas pour les mêmes raisons que Talia, mais simplement à l'idée de sortir de la maison.

"Certainement, je vais immédiatement entreprendre la recherche d'un hôtel," affirma Papa en se redressant avec un sourire avant de quitter la pièce. Talia suivit Papa avec enthousiasme, désireuse de l'aider à tout organiser. Henry gémit avant de se précipiter à la suite de Talia pour l'empêcher d'en faire trop pour les vacances.

Je poussai un soupir tandis qu'un sourire se dessinait sur mes lèvres, puis je fermai les yeux et m'assoupis. Les lettres de mes amis m'avaient remonté le moral, tout comme l'étreinte de papa et des jumeaux m'avait fait oublier maman.