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Prologue.
Et merde…. Ça se termine comme ça alors ? Pas de sortie triomphale ou de personne qui m’aiment autour de moi. Juste un vide froid et sombre. Remarque c’est pas plus mal. Cet enfer était enfin terminé. J’étais enfin libre.
De quoi ? De la vie bien sûr. De ce plan infernal de l’existence qui avait détruit chacun de mes espoirs les un après les autres. J’étais morte seule et triste loin de tout le monde. Pas comme si quelqu’un me regretterai remarque. J’étais juste une fille dépressive et sans attache. Je ne sais pas ce qui m'as tué au final. L'overdose de médicament couplé à l'alcool ou les jolies entailles que j'avais faite sur mes poignets. Un mélange des deux j’imagine.
Maintenant je vois déjà ce que certains vont dire. « Il y a toujours une autre solution ! », « Tu tombes dans la facilité en abandonnant. Tu es égoïste ! », « Penses à tous ceux que tu laisse derrière toi. Pense à ta famille ! », « Tu es juste une lâche ! ». Ouais je crois que je vais devoir vous expliquez un truc les gars. Vous avez absolument aucune idée de combien de temps j’ai souffert avant d'en arriver là. Je vais vous dire, mon histoire est pas jolie.
Pour commencer je vais aller avec mon premier souvenirs. Le seul dont je me souvienne de mon enfance. C’était moi disant a ma mère que je voulais retenir ma respiration jusqu’à en mourir pour ne pas aller à l’école. J’avais quoi ? Sept ans maximum. Vous me direz que ça ressemble un peu à une crise de gosse marrante mais exaspérante. Je vais vous dire j’aurais bien voulu. Je voulais pas aller a l’école même si j'adorais apprendre. Putain j'adorais ça au plus au point mais l’école pour moi c’était juste ma chambre de torture personnelle. J’étais insulté et tabassé tout les jours par ceux qui avait était mes amis. Pourquoi ? Je suis lesbienne ça aide ? Putain le pire c’est que personne faisait rien je le faisait punir quand j’allais voir les adultes car j’étais une « menteuse chercheuse d’attention ». Ouais bien sûr je voulais tellement l’attention de ces minables c’est ça… Donc ouais a quel point le monde est il foutu pour qu'une gamine de sept se retrouve à envisager le suicide ? Quand vous trouverais la réponse appelé moi-même si au vu des circonstances ça risque d’être difficile de me contacter…
Quelque année de torture plus tard j’étais au collège. Mes notes avaient drastiquement baissé de même que mon éthique de travail. A quoi bon faire des efforts quand je me faisais insulté si je réussissais. Le collège c’était cool plutôt calme. J’étais juste devenu tellement timide et maladroite socialement que je peinait à me faire des amis. J’ai juste maintenu le cap comme je pouvais me faisant toujours insulté parfois mais presque tout ceux qui m'avais intimidé était partie ou s'en fichaient royalement à mon plus grand bonheur. J’avais même réussis a me faire une copine une fois même si ça n'a pas durée longtemps.
Le lycée par contre c’était… La pire expérience que j’ai jamais vécu. J’avais commencé tranquillement décidé à cassé cette timidité maladive et a commencé à vivre. Merde j’aurais pas put me tromper plus. À la fin de la première année j’avais réussi à me faire quelques amis et j’étais amoureuse de ma meilleure amie. Ouais j'aurais du savoir que la merde arrivé avec le recule. Certain de mes amies on commencé a monté les autres contre moi lentement. Je me retrouvé de plus en plus isolé et seule. Jusqu’à que ça éclate et qu'ils ne se cachent plus. Je me souviens encore comment ils m'interdisaient de manger avec eux ou de passer du temps avec eux. J’ai commencé à sombré. Puis un message, un message que j’espère encore parfois avoir rêvé. Ma meilleure amie me disant que j’étais pitoyable et que je ferais bien de me suicider. Ce jour là je n'ai pas pleuré j’ai ri. Avec toute ma douleur et mon esprit qui commençait a se fragmentée j’ai ri jusqu’à en avoir mal aux côtes. C’était juste le début des emmerdes.
J'avais toujours eu une attraction un peu étrange pour les choses sombre comme la magie, les démon, les ténèbres. J’étais nictophile et insomniaque donc ça devait aider j’imagine. Mais merde la douleur ça attire vraiment ce genre de merde. J’ai commencé à être vraiment sombre. Attractions pour le sang et le meurtre. Déviance chelou ce genre de merde. J'aurais menti en disant que je n’aurais pas rêvé de me venger le plus douloureusement possibles. Ma soif d’apprendre à commencé à se tourner vers des choses comme les méthode de torture ou les armes. Mais là encore ça passé je n’avais pas envie de passé à l'acte. Ma copine de l’époque m'aidait aussi a tenir le coup. J’avais fini par la rencontrer dans une soirée d’halloween a la con.
L’année d’après c’est avec ma famille qu'il y a eu des problèmes. Vous savez les bon vieux problème d'argent et d’héritage. Mon grand père était mort et une de mes tantes a tenté de détruire tout ceux qui se mettez entre elle et son précieux argent. Manipulant ma grand-mère pour qu'elle en veuille a ma mère et pour que mon père se sentent responsable de la mort de ma grande sœur. Qui avait une malformation de naissance. Trou en un ! Mon père a commencé à boire et a prendre des médicaments. Devenant violant et toujours en colère. Le pire c’était que je m’m’interposé entre ma mère et lui pour la protéger. J’étais donc une cible de choix pour sa merde. Il a tenté de me tuer deux ou trois fois pendant cette période. Et moi je devenais de plus en plus renfermé et amer. C’était la première fois que je souhaitais réellement la mort de quelqu’un je crois. Mon modèle, l'homme que j’avais toujours admirer était devenu mon bourreaux. Je me retrouvais à devoir soutenir ma mère et a la protéger comme mon petit frère.
Ma petite amie rompu avec moi aussi. J’étais devenu trop distante. Trop renfermé pour faire illusion et caché la douleur. Honnêtement la rupture m'a à peine affecté. J’étais tellement fatigué que ça m'avais glisser dessus comme si rien ne s’était passé. A l’époque de toute façon mon premier réflexe quand j’entrais dans une pièce c’était de trouver tout les moyens possibles de me suicider pour en Finir une bonne fois pour toute. La police ne faisait rien quand l’appelait et je continué à me faire insulté et dénigré quand j’allais en cours.
Putain la merde arrive me direz vous. Mais je pense que à l’époque c’était juste trop. Les professeurs quand j’allais les voir me disaient de me concentrer sur mon travail et d’oublier la merde. Comme si c’était facile. Comme si toute ma douleur disparaîtrait si je l’ignorer. J’avais envie d’éclater de rire quand on me disait ce genre de merde comme une leçon de vie. La seule chose sur laquelle je tenais était une putain de volonté, un espoir que la merde finirait par se calmer. Mais devinait quoi ? C’est jamais le cas.
Mon père à finit par se faire arrêter pour agression sur un flic un jour où ils sont venu après avoir été utilisé comme punchingball. Deviner le plus drôle c’est ma famille qui a du payer une amende de dommages et intérêts. Pas juste mon père non ma famille. Donc ma mère aussi. Putain j'en rie encore. On était déjà dans la merde financièrement et on a du raquer encore une fois pour une ordure qui avait même pas été blessé. J’ai eu envie de hurler et de vomir à l’injustice. Je crois que j’ai définitivement perdu la moindre once d’espoir pour la justice à ce moment là.
Mon père au moins à du s’éloigner de nous. Mais j’ai fait une découverte après toute cette merde quand j’ai essayé de reprendre une vie normale. Quand tu regarde dans l’abime, l'abime regarde en toi. Et devinez quoi ? Ça laisse des marques. J’étais une épave nerveuse pleine de phobie et de colère. J’étais tellement proche de la folie que je faisais parfois des crises psychotique. Mes cauchemars étaient devenus des rêve agréables et mes rêves étaient remplis de meurtre et de sang. J’étais devenue une ado totalement mal calibré à moitié folle et avec des pulsions meurtrière.
Alors ouais ma vie était pourri. J’ai du abandonné mes études à cause de mes problèmes psychologique et mes phobies sociales. Je pouvais à peine rester quelques heures dans les grandes villes avant de faire des crises de panique. Je grognait comme un animal quand j’étais énervé et sursauter aux bruits forts et aux mouvements brusques. Après ça j’ai finis par avoir une nouvelle relation après que mon ex m'ai quitté après m'avoir trompé et dis à tout le monde que c’était mou qui l’avait trompé.
Dans les grandes lignes ma nouvelle copine fut une connasse toxique qui contrôla chaque aspect de ma vie m'interdisait de dormir avec elle et me viola plusieurs fois. Jusqu’à ce je réussisse à rompre avec elle et à m’éloigner en essayant de garder autant de morceaux de ce qui restait de ma santé mentale avec moi.
Donc voilà les gens désolé si mon choix ne vous plait pas mais putain j'en ai assez de toute cette merde de douleur sans fin. J'en ai assez d’être seule et brisé. Je suis juste une fille qui en a trop vu trop vite. Alors j’ai arrêté les frais. Je dis au revoir à mon petit frère et à ma mère et j’arrête toute cette merde. Maintenant je veux juste me reposait.
Bien sûr quelques truc vont me manquer comme les manga ou les fanfiction mais je veux juste me reposer.
Il y a juste quelques chose qui me chiffonne si je suis morte alors pourquoi est-ce que tout est visqueux et chaud autour de moi et pourquoi est-ce que tout commence à trembler ?
Le monde continue à trembler de plus en plus fréquemment mais tout est noir autour de moi et bouger est incroyablement difficile. Les secousses sont de plus en plus violente et je me sens attiré hors de ma prison chaude et visqueuse. Tout est flou autour de moi quand j’ouvre les yeux. Une lumière éclatante m'aveugle me faisant pousser un grognements qui sort plus comme une sorte de halètement aigu. Une main rugueuse et gigantesque m’attrape soudainement pour m'envelopper dans une douce prison moelleuse. Mes yeux s’habitue doucement à la lumière et je ne put m’empêcher de lâcher un « Et merde… » qui ressembla plus à un babillement ridicule.
On dirait que je viens de me réincarné… Vas bien te faire foutre la vie !!!
Chapter 2: Chapitre 1.
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Je dois dire cette vie était pas si mal pour l’instant. J'avais aujourd’hui quatre ans et je vivais plutôt bien pour l’instant. J’étais au Japon à mon plus grand plaisir et mon nouveau nom était Yumi Humeko. Une petite fille japonaise tout a fait normal au-delà de mes cheveux naturellement violet sombre. J’avais bien appris le japonais chose étrangement facile quand tout le monde le parle autour de vous. Mes premières années de vie était parfait en comparaison de mon ancienne vie. Ma mère était la meilleure femme qui soit et m’encourager a chaque instant de ma vie et mon père même si il s’absenter souvent à cause du travail était aimant et tout ce que je pouvais demander de mieux.
Les gens avaient toujours tendance à me trouver bizarre vu que je préférais rester seule à lire des livre bien plus avancé que ceux dédié à mon âge. Ma mère mit cela sur le dos d'une grande intelligence mêler à ma timidité qui m’avais suivie dans cette vie. Je portait toujours des vêtements sombre malgré les protestations de ma mère qui s’efforçait à m’habiller de vêtements rose bonbon a froufrou. Je lui laissait parfois le plaisir de ces essayages en soupirant appréciant en secret les moment passé à me faire choyé. Même dans ma vie précédente ma mère n’avait jamais fait ça trop concentré sur son travail pour m'accorder du temps.
J’étais encore une fois en train de lire un manga assise sur le sol du salon quand ma mère arriva avec un grand sourire. Je la regarda interrogative alors qu'elle avait l'air de rebondir sur place d’excitation. Je refermais doucement mon livre en souriant un peu devant ses pitreries.
« - Yuuuuu-chan ! Devine quel jour on est !
- Euh l’anniversaire de quelqu’un ?
- Nop essaye encore ! Un sourire malicieux éclairer le visage de kaa-chan
- Festival ?
- Nop !
- Fête national ? Enterrement de vie de garçon ? Enterrement ? Dis moi kaa-chan !!! J'essayais encore et encore envie alors que le sourire de kaa-chan s'élargissait de plus en plus.
- Non Yu-chan c’est le jour de ton rendez-vous chez le docteur pour connaître ton alter !
- C’est le jour de…. Attend quoi ?! Je restait figé sous le choc.
- Tu sais ton alter. On en parlais l'autre jour a table. Kaa-chan me regarda comme si j’étais malade. »
Et merde c’est pas possible. Attend alter. Merde me dites pas. De tout les endroit ne me dite pas que je me suis réincarné dans le monde de my hero academia…. C’est pas possible comment j'ai put louper une info aussi cruciale. Merde moi et habitude de rester dans mon monde sans faire attention aux autres. Attend je dois vérifier pas de conclusion hâtive. Enquête d'abord.
« - Kaa-chan ? Tu connais All Might ?
- Bien sûr ! Le symbole de la paix. Héros numéro un du Japon tout le monde le connais. Une goutte de sueur commença à se former sur ma tempe.
- Et tu connais UA ? (Pitié dis moi non. Pitié dis moi non )
- L’école numéro pour les futures héros pourquoi toute ces questions soudainement ?
- Non rien. Juste comme ça…. (Ne panique pas. Ne panique pas. Ça pourrait être pire tu pourrais être dans le monde de l'attaque des titans….)
- Yu-chan tu voudrais pas être un héros par hasard ? Le sourire malicieux de kaa-chan revient alors qu'elle évoquait la possibilité.
- Oui quelques chose comme ça… (pas même dans mes cauchemar les plus horrible je deviendrai un de ces bâtard qui tabasse ceux qui ont tout perdu pour la gloire !!!! )
- Ooooh Yu-chan veut devenir un Héros ! »
Ma mère célébra la nouvelle en sautillant partout sans remarquer que je palissais en réfléchissant le plus vite possible à tout ce que je connaissais de cet univers. Merde je vais devoir faire des recherches pour savoir quand on est et préparais un plan. Mais kaa-chan entre nous je pense que je serais peut-être pas du côté dans lequel tu rêves de me voir.
Chapter 3: Chapitre 2.
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Merde l'examen pour connaître mon futur alter était juste terriblement chiant mais l’idée de mes futur super pouvoir rendais le tout supportable. J'ai passé une série de test tous plus étrange les uns que les autres puis attendit avec ma mère les résultats dans le bureaux du médecin.
La porte s'ouvrit révélant un homme chauve avec des lunettes ronde aux verres vert bleuté et avec une moustache brune proéminente. Je riais intérieurement du spectacle avant de le reconnaître. Il ressemblait étrangement au médecin qui donnait à Izuku le diagnostic qui ruinera sa vie. Je sentit une légère sueur froide le long de mon dos. Pitié pas sans aller tout sauf ça. Pas sans alter. Je me suis pas réincarné dans ce monde pour finir comme une handicapé selon le point de vue de la société.
Le médecin prit un document et me regarda dans les yeux. Un léger frisson me parcourut alors que je me souvenais que c’était également l’homme responsable de la création des nomu. Merde en fait c’était ma chance. Je devais trouver un moyen de le garder dans mes contacts. Ça faciliterait grandement mes objectifs enfin seulement si mon alter est assez puissant pour soutenir toute cette merde.
« - Madame Humeko il me semble.
- Oui ? Alors qu’elle est le résultat quel est l'alter de mon bébé ? Je roulais des yeux devant l’optimisme de ma mère.
- Avant cela quel est ton rêve Yumi ? Le médecin reposa ses yeux sur moi et je déglutit.
- Je veux devenir un Héros ! (Un vilain !) Et sauvez tout le monde comme All Might ! (Et enfin montrez au monde que je ne suis pas a prendre à la légère et accessoirement tué pour voir ce délicieux sang ! Merde d’où venait cette dernière partie ?)
- Je vois. Tu as effectivement un alter. Un puissant en plus il devrait t'aider sur ce chemin. Je suis heureux que tu sois une fille raisonnable entre de mauvaise mains il aurait été dangereux. Le docteur gloussa un peu cachant son air calculateur avec un visage joviale.
- Oui ! Dites moi quel est mon alter ! Mon excitation passait clairement dans ma voix malgré le fait que j’essayais d’être calme.
- Oh ton Alter s'appelle « Arachnée ». C'est un alter de type mutation. Tu risque de changer physiquement. Globalement il te permettra de faire tout ce qu’une araignée peut faire mais ça changera quelque aspect de ta personnalité.
- Comment ça ? Ma mère demanda sur un ton légèrement inquiet.
- Les araignées sont des prédateur. De plus ils sont vicieux et aiment vivre dans des toiles. Yumi pourra donc développer un certain goût pour la violence ou une certaine agressivité et un goût pour la nourriture cru en particulier la viande. Elle pourrait également apprécier davantage les espaces clos et sombre.
- Je… Je vois merci docteur. Ma mère hocha la tête ne voyant pas mon airs fixe et pensif. (Putain ça va juste renforçait mes habitudes en gros sauf pour la viande ça c’est nouveau)
- Prenez soin de vous. Appelez moi si vous avez le moindre problème. Les changement devraient bientôt commencer à apparaître. »
Le trajet retour se passa dans un grand silence exploit si l'on considère la tendance bavarde et énergique de ma mère. Je ne m’en plaignait pas remarque. Ça me permettais de réfléchir longuement. Une araignée alors. C’est mieux qu’autre chose j’imagine et en plus j’avais toujours apprécié ces bestioles. En fait ça pourrait même être une bonne chose compte tenu de mes objectifs.
Deux choses étaient ressorti de cet entretien. Premièrement j’étais a peu près a la même époque qu'Izuku et à Mustafu. Donc je suis a l'endroit idéal pour commencer à travailler sur mon avenir et rejoindre la ligue des vilains.
Deuxièmement j'allais vraiment devoir me renseigner et apprendre des choses sur les araignées a partir de maintenant et ça promettait d’être intéressant.
Pour ceux qui se posait la question. Oui je n'ai aucun remord à l’idée de tuer. En fait je rêve de pouvoir enfin le faire et ce monde m’offrait l’opportunité sur un plateau d'argent. J’ai appris quelque chose de ma première vie. Je suis cassé, mon cœur est pourries. J’ai tellement voyager dans les ténèbres qu'ils sont devenus ma meilleure amie. Je vais foutre la merde cette fois. Attend moi le monde. Tu sera prêt à t'incliner devant la fureur d'une fille brisé.
Quelques semaines passèrent jusqu’à ce que les changements de mon corps ne commencent à apparaître. Mes yeux brun ordinaire et maussade étaient devenus rouge sang entouré d'une sclérotique noire d'encre. Et ma peau pâlit considérablement devenant presque grise. Ma mère à commençait à me regarder étrangement évitant mon regard quand je la surprenait à me fixer. Mes sens commencèrent à s'affuter les vibration dans le sol devinrent aussi clair pour moi que d'entendre une conversation normale. Il m'a fallut quelques temps pour m'adapter mais pouvoir sentir presque tout autour de moi devient rapidement exaltant.
Je m'inscrit entre temps à un cours d'art martiaux après avoir insisté longuement à ma mère qui me donna un accord avec réticence au bout d'un mois. J’avais toujours apprécié la sensation des combats et l’excitation de la bataille dans ma première vie et je ne fut pas déçu quand je me rendit compte que mes nouveaux instinct me permettait d’apprécier encore plus maintenant. Je fut vivement féliciter par mon professeur qui ne tarit pas d’éloge sur moi. Il semblait que j’étais une naturelle. Il m'apprit également les bases du maniement du bo, des sabre, des faux et du couteau. Bien sûr tous en bois pour l’entraînement.
Les prochain changements furent plus drastique. Outre le fait que je deviennent un peu agressive et confiante trois nouvelles paire d’yeux s’était ouvert sur mon front de la même couleur rouge que les premier augmentant largement mon champ de vision. Des plaque dur pourpre faite de chitine commencèrent à se former sur mon corps. D'abord les bras et les jambes puis les épaules et finalement les hanches et la mâchoire inférieure. Les plaques me donnait un air carrément cool à mes yeux mais kaa-chan n'a pas eu l'air d’apprécier. Les plaques résistait très bien au coup et aux objet tranchant bien que les articulations soient un peu plus fragile. On aurait dit que je porter une sorte d'exosquelette pourpre contrastant avec ma gris pâle.
Je me suis mise à manger de la viande cru s’était étrangement délicieux mais des pensées étrange commencèrent également à se former sur le fait de vouloir essayer de la viande humaine juste pour connaître le goût. Une interrogation innocente pas vrai ? J'ai également commencé l’école grâce à mes connaissances j’étais largement en tête de ma classe mais l’expérience m'a également permis de renouer avec un de mes ancien démon. L’exclusion. Les enfants me fuyaient et me traiter de monstre. Certain osez même me battre en me traitant de démon. Bien sûr les coups rebondissaient pour la plupart sur mon armure de chitine mais je dut me retenir plus d'une fois de bondir et d’écraser ces gamins insolent. J’étais peut-être une adulte dans le corps d'une enfant mais je détestais les brutes et ça me toucher trop pour que je me contienne complètement. Résultat certain gamin se retrouvèrent écrasé alors que je les observait avec un sourire narquois.
Je me suis récolter des tas d'ennui étant apparemment une fille violente. Comme si c’était moi qui avait commencé. Société hypocrite, gosse hypocrite, parent hypocrites. Attendait un peu et je danserais sur vos tombes.
Les choses continuèrent ainsi pendant un an jusqu’à un accident un peu malheureux. Un des grosses qui avait décider de me battre moi l'effroyable « démon araignée » me frappa dans le ventre une des seule zones non protégé de mon corps. Je me suis plié en deux de douleur crachant un peu de sang au sol.
« - Tu es un démon ! Tu devrais connaître ta place ! La voix nasillarde du gamin m’irrita les nerf alors qu’il me regarda avec un sourire narquois.
- Laissez moi tranquille avant que vous ne vous blessiez.
- Comme si tu pouvais quelque chose contre moi vilain.
- Barrez vous je veux juste être tranquille aujourd’hui. Laissez moi tranquille. Je poussais un profond soupir vite interrompue par un puissant coup de pied dans le ventre.
- Tais toi monstre. De toute façon tu ne mérite pas de vivre tu ferait mieux de mourir. Mon sang se glaça en entendant ces mots.
- Tu pollue la planète. Tu ferais mieux de mourir. Un grognements sourd s’échappa de ma poitrine alors que je le regardait dangereusement.
- Tu ne sais rien pas vrai. Tu te sens puissant à sortir de grand mots sans en connaître les conséquences.
- Crève vilain de toute façon personne ne te regrettera. (Je sais… Je sais déjà…) »
À cet instant la douleur de la solitude m'envahit a nouveaux. Une explosion de douleur envahit mon dos, mes jambes, mes bras et ma bouche alors que le monde autour de moi devenait flou. Tout ce que je voyais était le rouge. Le rouge du sang, le rouge de la colère que j'avais essayé de maîtriser. Et un rire lointain au fond de mon esprit. Les émotions que j'essayais de contenir depuis trop longtemps en les ignorant de mon mieux explosèrent et tout ce dont je souvient fut un cri déchirant et un goût délicieux et miraculeux qui envahit ma bouche.
Chapter 4: Chapitre 3.
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Je me suis réveillé au son d'un bip sonore et régulier. Mes paupière étaient lourde et ma bouche pâteuse. Comme si je n’avais rien but depuis un moment. Une douleur atroce me vrillait le crâne et le reste de mon corps était aussi lourd que du béton. J’ouvris doucement 7les yeux en essayant de m'habituer a la lumière blanche de la pièce autour de moi. J’étais dans ce qui semblait être un lit d’hôpital. Et merde. Qu’est-ce qui m'est encore arrivé hein ? Hé ! La vie répond moi ! Dans quel genre de merde tu m'a fourré ? La pièce autour de moi était tout ce qu'on pouvait attendre d'un hôpital classique. Mur blanc ? Check. Odeur de médoc stérile ? Check. Aucune personnalisation ? Putain double check. Et surtout pourquoi toute cette lumière de merde au néons…. Je poussais un grognements sonore qui fit sursauter une forme avachi sur mon lit. Je penchait la tête pour mieux observer avant de reconnaître ma mère qui essayait ses yeux avec un air fatigué. De profonde cerne soulignaient ses yeux et leur malice était remplacé par une sorte de gravité emplie de tristesse. En se rendant compte que je l'observer elle écarquilla les yeux et bondit sur moi pour m’enveloppait dans une étreinte d'ours. Je grognait un peu pour la forme en essayant toujours de me rappelé pourquoi j’étais là. Tout ce dont je me souvenais était qu'un groupe de gamin m’avait insulté et frappé. Ça aurait pas été la première fois aucune raison de me retrouver à l’hôpital pour si peu non ?
Au comme j’avais tord. Le problème n’était pas vraiment le tabasse en règle qui avait eu lieux au début plutôt la suite et comment mon corps avait réagit. Après que ma mère m'est relâché et partit chercher un médecin je me mit à essayer de me souvenir de qui s’était passé. Je passa une main sur mon visage pour y rencontrer une bosse étrange au coin de ma bouche. Je tâtonner mon visage surprise pour trouver une bosse similaire de l'autre côté de ma bouche. Merde ne me dite pas que c’est ce que je pense… Putain la vie. Tu me fais une blague là ? Non ? Pas une blague ? Merde… Vas. Bien. Te. Faire. Foutre alors. J'avais acquis visiblement un nouvel atout. Comme presque toute les araignées j'avais maintenant de adorable crochet actuellement replier sur eux même pour le moment.
Et petit bonus quatre nouveau membre dans le dos semblable a des pattes articulé se finissant par trois griffes. Bon j’étais une araignée je le savais déjà mais voilà j’ai pas vraiment demander des pattes supplémentaires. Enfin j’arrivais a les contrôler sans problème visiblement donc un bon point sur les pattes. Et en plus j’arrivais à attraper des choses avec donc un deuxième bon point et finalement les griffes à l'air bout avait l'air vraiment mortelle dans leur reflet violet. Pas tellement a me plaindre en fait. Ça ouvrait pas mal de possibilités en matière de combat mine de rien et j'avais l'air foutrement badass avec ces merde. Autre « petit » changement notable était mes jambes qui se terminer maintenant par des pieds griffus qui me permettait de dire un adieux définitif aux chaussures en général.
Okay fallait bien l’avoué j'avais l'air vraiment classe. Autant qu'une fille araignée de six ans pouvait l’être j’imagine. En fait c’est définitivement quelque chose de génial, ouais les gens continueraient à me rejeter et à me faire du mal mais avec le temps j’avais appris à aimer être différente. J’étais bizarre, folle, selon le point de vue mais j’étais moi.
Dans mon ancien monde j’avais juste un corps frêle incapable de me porter et aucune ressource pour être pleinement moi-même. Rêvé d’être une tueuse c’est une chose mais ce voir offrir les armes nécessaires pour le devenir mon dieu qu’est ce que c’était jouissif. Ouais j’étais définitivement ravagé, la simple idée de faire couler du sang faisait battre mon cœur d’excitation. J'allais être enfin libre des entrave de mon ancienne vie, j'allais enfin pouvoir faire éclore ma folie dans une jolie fleur écarlate.
Je sais que beaucoup me trouverais monstrueuse ou ignoble et oui je l’étais. Je n'avais jamais été une fille forte pour commencer. Toute la douleur m'avais changé. J’étais faible dès le début, maintenant j’étais forte. Mon esprit avait été brisé méticuleusement morceaux après morceaux jusqu’à ne laissait qu'une masse informe et putride de folie. Je savais pertinemment que le meurtre était mal, que faire souffrir les autres était immorale et tordu mais je m'en fichait. J'en avais juste rien a foutre. J’ai trop longtemps était la victime maintenant je serais le bourreau.
Ma mère revint rapidement entouré d'un médecin et de deux policiers. Oh merde là je le sentais pas du tout. Kaa-chan me pris doucement les mains avec un air désolé. Je me reculait doucement au fond du lit. Je n’aimais pas du tout la situation. L'un des flics avait la main sur des menottes et me regardait avec dégoût. L'autre avait l’air terrifié, je ne put m’empêcher de sentir une bouffé de fierté devant sa peur et l’étrange envie de jouer avec lui. Je lui sourit doucement en faisant clignoter mes nouveaux crochets avec malice. Il pâli davantage en reculant d'un pas.
« - Yu-chan arrête ça. Ce n’est pas drôle. Le ton sévère de ma mère me fit baisser la tête avec honte malgré le petit sourire qui resta sur mes lèvres.
- Désolé kaa-chan. Désolé monsieur. Je feignit la soumission en m'inclinant légèrement vers l'homme.
- Yumi Humeko. Est-ce que tu te souviens de ce qui c’est passé hier après midi ? Le médecin me regarda en tenant un bloc note.
- Juste que des enfants me frappaient et m'insulter. Puis j’ai eu mal dans tout le corps et puis plus rien.
- Hum… Tu ne te souviens vraiment pas de ce qui c’est passé ?
- Non vraiment pas. Tout est devenu rouge et je me suis réveillé ici.
- Yumi… Je ne sais pas comment t’annoncer ça… Hier tu as tuer l'un des garçons et blessé gravement les deux autres.
- J’ai… J’ai quoi ? (Mon premier meurtres et je m'en souviens pas. Quel blague…)
- Je sais que c’est un choc. Mais ton alter est dangereux si tu n'ai pas éduquée correctement. C’est pour ça que ces hommes sont là. Ils vont t’emmener dans un centre de la commission des héros pour les enfants avec des alter dangereux.
- Quoi ?! Non vous ne pouvez pas ! Kaa-chan dit leur ! S'il te plaît ! Je commençais à paniquer. La commission des héros ? Ces bâtard seraient plus prêt à m’enfermer et à m'expérimenter qu’à m'aider à contrôler mon alter.
- Yu-chan je suis désolé mais c’est pour le mieux tu comprend ? Kaa-chan me regarda avec un air désolé en me prenant la main. »
Je la retirait d’un geste vif en sifflant dangereusement. Mon geste laissa deux marques écarlate sur sa peau là où mes griffes étaient passé. Kaa-chan haleta de douleur en me regardant avec incompréhension. Je sentais encore une fois que mon monde s'effondrait. Une lourde pierre au fond de mon estomacs, ma gorge était noué et des larmes me piquaient les yeux. J’étais encore une fois trahis. Pourquoi toujours moi ? Oui j’étais mauvaise mais uniquement parce que le monde m’avait fait devenir ainsi. Pourquoi tout le monde travaillait contre moi ? Pourquoi est-ce que j’étais seule ? Pourquoi ? Pourquoi ?!
Le premier policier s'approcha de moi en sortant ses menottes. Je me tournais vers lui vivement en grognant les crochets découvert. Il fit un mouvement de recule mais soutint mon regard noir. Merde ! Merde ! Merde ! Je ne pouvais pas m'enfuir. Je ne savais pas encore utilisé mon alter. C’est vraiment comme ça que ça se termine ? Enfermé dans un laboratoire a devenir un sujet d’expérience glorifié ? Putain la vie ! Tu voulais juste me blesser et me détruire encore une fois ?! La première fois t'as pas suffit ?
Je me suis effondré en sanglot nerveux dans mon lit d’hôpital. Je m'en foutais si les gens me voyais. J’étais déjà un monstre a leur yeux Qu’est-ce que ça changerais ? Dès que quelqu’un essayait de me toucher je sifflait dangereusement dans sa direction le faisant reculer. Je restait de longue minutes à laisser échapper mes sentiments, la trahison une fois de plus. Putain j’aurais du mieux savoir que faire confiance à nouveaux. Je savais que j'allais toujours me faire trahir a la fin. Qu’est-ce que j’avais espérer au juste ? La vie est cruelle. C’est une salope sans cœur qui jouera toujours avec moi. J’étais juste une poupée cassé qui lui servais de distraction. Elle jouer avec moi juste pour voir combien je pouvais prendre avant de me briser. Merde le monde… Merde moi…
Après que mes sanglots se stoppèrent je me suis laissé emmener sans rien dire. Le flic ne me mit pas les menottes en regardant mon regard vide. Je savais que j’avais perdu. Qu’est-ce que ça aller changer de me battre. Je n’étais pas forte. J’étais faible je n’avais jamais cessé d’être cette petite fille effrayé qui pouvait à peine se défendre.
Ils m'emmenèrent dans leur voiture. Je les ai suivis sans rien dire. Leur maigre tentative de faire la conversation moururent sous mon silence résigner. À quoi bon parler de toute façon qu’est-ce qui changerai… Le trajet fut long et inconfortable. Quand on s’arrêta devant un grand bâtiment blanc je levais mes yeux vide pour l'observer. Il était beau, dans un style moderne, presque accueillant si on ignorait ce qui m'y attendait. Quelques hommes en uniforme de sécurité attendait à l’extérieur de la voiture. Quand la porte du véhicule s'ouvrit je descendit sans dire un mot en baissant les yeux.
Pdv garde.
J’étais là à attendre dans le froid avec trois collègues l’arrivais de notre nouveaux pensionnaire. Une gamine de six ans déjà responsables d'un mort et de deux handicap à vie. Le dossier était clair, les dégâts sur les gamins étaient horrible. On aurait dit qu'une bête sauvage les avaient ravagé. Je déglutit difficilement, quel genre de gamine pourrait faire ça ? Je m'attendais vraiment à voir arriver une bête sauvage déchaîner maintenant…
Quand la voiture de police arriva je retint mon souffle. Pourquoi est-ce que j’avais perdu a pierre-papier-ciseaux ? Merde je voulais pas ouvrir la porte à ce monstre. Les vitres teinté m’empêchait de voir la bête. Je prit une profonde inspiration et tendit la main vers la porte. Seigneur sauvez moi. J'ouvris doucement la portière en priant tout les dieux qui me venaient en tête. Un léger bruissement venant du véhicule se fit entendre.
La première chose que j’ai remarquée c’était l’absence de menottes. Merde c’est incompétent l’avait laissé sans restrictions. Les fou étaient chanceux d’être encore en vie… La seconde chose fut ses yeux… Merde au-delà de leur nombre étrange et de leur apparence monstrueuse je m'en souviendrai toujours. Ses yeux étaient vide de toute vie… j’avais l’impression de regarder un cadavre qui bougeait. Je me souviendrai toujours de ce regard mort. Comment une fille aussi jeune pouvait elle avoir ce regard. Qu’est-ce qu'on nous as amené ? C’est pas une bête sauvage c’est juste une gamine ?!
Son corps était menue, elle était minuscule même pour quelqu’un de son âge je lui aurais donné trois ans maximum. Elle portait toujours une blouse d’hôpital qui dévoilait son apparence mutante. Son corps était sombre, sa peau pâle comme celle d'un cadavre et son armure externe pourpre aux reflets dangereux et hypnotique. Quatre membre supplémentaire étaient attaché dans son dos replié comme si elle portait un sac à dos. Son corps avait beau être intimidant son visage était tellement innocent. Ses cheveux violet tombaient en cascade jusqu’à ses épaules et ses traits fin laissé toujours voir la graisse de bébé de son visage. De profonde cernes souligné ses yeux comme si la gamine ne dormait jamais.
Je m’étais attendu à un monstre. Une bête humaine. Je me retrouvais avec une gamine au visage vide d’émotion et docile. Comment cette fille pouvait elle être responsable de l'incident du rapport ?! Il devait y avoir une erreur quelque part ! La gamine allait se faire bouffer par les autres ici.
La petite nous suivis sans dire un mot. Le seule indice qu'elle nous comprenait et nous entendait était un léger hochement de tête quand on lui parlais. Elle enfila rapidement l'uniforme qu'on lui fournit, numéros 0666. Merde moins approprié n'aurais pas exister. Elle nous suivies jusqu’à sa chambre et entra sans dire un mot avant de s’assoir sur son lit sans dire un mots. Qu’est-ce qu’on nous avait amené cette fois ? Cette gamine avait pas sa place ici… Pourquoi l'avoir envoyé en enfer ?
Chapter 5: Chapitre 4.
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Trois ans… Trois ans…. TROIS ANS !!! Trois putain d’années dans ce paradis qu’était mon enfer personnel. Tout les jours des tests sur mon corps relevant plus de la torture que de la science. Je ne leur avait jamais fait le plaisir de crier ou de pleurer attendant le confort relatif de ma cellule pour craqué et explosé en sanglot tout les soirs. Je pleurais pendant de longues heures avant de m’évanouir épuisé. Et me voilà un nouveau jour de lève et j’attends mon habituel repas quotidien. Une alarme stridente rompit le silence confortable du petit matin et je me levais en soupirant. L'heure du réveil, l'heure de manger.
« Contre le mur 0666. Toutes les mains posé dessus. »
Une voix bourru sortit des haut parleur côté de la porte. Je m’exécutais en silence posant mes six mains à plat contre le mur. La porte de ma cellule s'ouvrit dans un grincement sinistre alors que trois garde de sécurité rentraient armés de bâton électriques. Une scène à laquelle je m’étais habitué depuis trois ans. Un couinement animal résonna alors qu'ils déposaient un lapin encore vivant au sol. Mon fameux repas…
Les scientifiques avaient décidé de voir comment je réagissais si je chassais et me nourrissais exclusivement de « proies ». La bonne blague ça devait juste bien les faire marrer de me traiter comme un animal. J'avais résisté au débuts mais ils refusaient de me donner quelques chose d’autre à manger. Au bout d'une semaine de refus j’avais abandonné et rompus le cou de ma première proie… J'essayais toujours de rendre ça indolore et rapide. Puis je dépecer l'animal avec mes griffes avant de le dévorer jusqu’au os.
Pendant ce séjour je m’étais rendu comptes d'autre choses. Malgré le fais que mon cerveau était foutu et que je croyais pouvoir tuer sans état d’âme. C’était pas le cas. J’étais foutrement incapable de faire plus que blesser légèrement les gens. Je n'osais jamais leur faire réellement du mal. Quand je m'en étais rendu compte je m’étais moqué de moi. Moi et mes grand plan de devenir un vilain et de rejoindre la ligue. Merde j’étais incapable de la froideur que je voulais avoir. Bien sûr l’idée resté toujours aussi attirante en fait elle était devenu follement excitante mais je n'y arriver pas… Il y avait comme un blocage. Comme si inconsciemment je me refusais à devenir le monstre que les gens voyais en moi…
Cette prise de conscience c’était sûrement la chose la plus horrible, j’étais trop faible mentalement pour tuer. Putain je me détestais pour ça mais je ne pouvais pas m’empêcher d’être rassuré. Tu parle de contradiction… Ouais ma première vie a foutu mon cerveau et j’étais complètement instable mais merde. J’étais encore incapable de tuer les humains peut importe à quel point je les haïssaient ou a quel point je le voulais. J’étais juste une gosse effrayé et un peu folle. Pas une tueuse en puissance…
Autre découverte mon processus de pensée avait changé lui aussi. Malgré mon expérience je pensais encore comme une enfant dans ce nouveau corps. J’étais facilement impressionnable et sujette aux crise enfantine. En fait j'en faisais bien plus que dans ma première vie à cause de mes instinct plus fort. J’étais en gros une boule de nerf à moitié animale et enfantine… Un parfait mélange pour être encore plus traité comme un animal plutôt qu'un humain.
Le garde qui avait posé le lapin me lança un regard dégoutté à quel j’étais habitué et ramassa les restes de mon précédent « repas ». Les trois hommes quittèrent la cellule en silence avant que j’entende le son de verrouillage de la serrure électronique. Je m’approcha de l'animal silencieusement avant de le prendre délicatement dans mes bras. Je commençais à lui caresser doucement la fourrure pour l’apaiser avant de fermer les yeux en refusant de voir ce que je m’apprêtais a faire. Une de mes mains lui attrapa délicatement le cou avant de le briser dans un geste familier. Le craquement sinistre m'envoya un haut le cœur immonde alors qu'une larme silencieuse couler le long de ma joue.
Sans enthousiasme je commençais mon œuvre dépeçant ma proie délicatement. Le sang frais tacha le sol et les plaque de chitine recouvrant mes bras et mes jambes. Une fois le travail terminé je commençais à me nourrir. La chair était délicieuses et mes dents naturellement plus affûté tranchaient dedans comme dans du beurre. Je ne pus retenir des grognement et gémissement de plaisir en dévorant ma proie. Oui j’étais un chasseur, malgré mes réticence je pouvais tuer bien mais facilement que tout autre humain. Je finissait l’animal en quelques minutes rongeant les os pour extraire un maximum de viande.
Pdv. Garde
Putain de monstre. 0666 était comme tout les jours sur le sol de la cellule en train de dévorer son dernier repas. Comment une gamine pouvait elle avoir l'air aussi innocente et cachait en réalité un tel animal. Tout les jours elle faisait ça massacrant animal après animal pour se nourrir et avalant sa chair cru. Le spectacle était immonde mais nécessaire pour rappeler à tous que cette chose n’étais pas et ne serais jamais un humain. Elle était un animal, un animal sauvage et dangereux. Le dossier qu'on nous avait donné montré quelques photo de ses premières victimes. Le premier gamin avait été démembré et partiellement dévoré. Le second avait perdu un œil et était de recouvert de griffure sanglante et le dernier avait presque eu un bras arraché. À l’époque c’était un passant qui avait appelé l’hôpital en croyant que la gamine était aussi une victime vu qu'elle avait l'air de s’être évanoui et était recouverte de sang.
Bon dieu non. Elle était la responsable, une putain de bête sauvage. Elle était allé jusqu’à dévoré en partie un humain dans sa folie. Elle ne devait jamais être libre de ce centre. C’était mieux pour le monde entier.
Régulièrement elle tissait des sorte de toile au plafond et grimpait pour dormir dedans comme dans un hamac. On était obligé de les brûlé, son fils heureusement hautement inflammable. Elle ne parlait jamais se contentant de grogner et de sifflé la plupart du temps. Mais parfois elle se mettait à rire sans raison, elle riait jusqu’à en perdre le souffle comme une démente. Putain son rire était sûrement la chose la plus flippant et dérangé que j'ai jamais vu.
Heureusement aujourd’hui était un jour spécial. Le lapin qu'on lui avait donné était sous sédatif. Et 0666 commençais déjà à somnoler. Aujourd’hui les scientifiques voulaient voir si ses membres supplémentaires étaient capable de repousser après avoir était perdu. Ça promettait d’être intéressant. Surtout que j’avais moi aussi ma propre expérience à réaliser son corps de monstre….
Pdv. Yumi
Se réveillait après s’être fait sédaté c’est nul. Bouche pâteuse, membre mou, tête en vrac. Vous voyez l’idée mais se réveiller après s’être fait sédaté avec un homme adulte à moitié nu au dessus de toi je peux vous dire c’est un cauchemar ignoble. Je m’étais déjà fait violé dans ma première vie par mon ex mais au moins c’était pas un mec. Putain je me sentais trop faible merde. Merde. Merde !
Il étai à moitié nu en train de me caresser les cuisses ma peau grise non protégé par mon armure violette. J'avais envie de vomir en voyant la bosse qui déformée son jean. Des larmes coulaient sans s’arrêter le long de mes joues alors qu'un grognements sourd paniqué résonner dans ma poitrine encore plate et sans forme. Quel genre de pervers ferait ça à un enfant ?! Remarque il ne doit même pas considéré comme un enfant, plus comme une bête enragée mais quand même.
J’avais du mal a respirer la panique m’enserrait la gorge comme un serpent. J’étais totalement sans défense. Je ne pouvait rien faire. Des image immonde inondaient mon esprit. Alors que je cherchais frénétiquement un moyen de m'enfuir.
« Alors 0666, de retour du pays des rêve ? Pile à temps pour l’attraction principale. »
La voix dégoulinante de l'homme me fit frissonner de peur. Il lécha ses lèvres rêche en continuant à caresser distraitement ma peau. Un grognements sec fut ma seule réponse.
« Hé là. Calme toi l'animal. Je voulais te faire découvrir le vrai plaisir avant que la douleur commence. Mais si tu veux je pourrais rendre ça tout aussi douloureux. »
Comment ça la vrai douleur ? Qu’est-ce qu’ils pourraient me faire de pire que ça ? Qu’est-ce qui va m’arriver ? Remarquant mon airs paniqué l’homme sourit d'un air narquois.
« Oh ? Tu ne sais pas ? Aujourd’hui ils vont commencer a te couper les pattes pour voir comment ton corps réagis. N’est-ce pas excitant 0666 ? »
Quoi ? NON ! Tu ment ! Il ment c’est obligé ! Ils ne seraient pas assez tordu pour faire ça ! C’est un mensonge ! Crois tu vraiment à ça petite araignée ? Une sombre voix discordantes résonna dans mes oreilles.
Quoi ? Qui est là ? Répondez ! Pas la peine de crier je t'entends très bien Yumi Humeko. Ou devrais je dire «Lily Achford ». Qui est là ? Comment tu connais ce nom ? Moi ? Mais je suis toi Yumi-chan ~ Non ! Arrête de mentir ! Qui es-tu ? Ce n'est pas dans mon intérêt de mentir Yumi-chan. Je suis toi. Ou plutôt je suis tes ténèbres. Ta noirceur. Ma noirceur ? Mes ténèbres ? Tu sais. La part de toi que tu refuse de montrer au monde. Ta violence, ton égoïsme, tes désirs… Tout ce que tu maintien enfermé au fond de ton cœur. Je… Je vois… Tu es ça. Je ne suis pas un ça je suis toi. Qu’est-ce que tu veux de toute façon ? Je veux que tu m’accepte. Accepte ta noirceur. Accepte ta folie et tu seras libre. T'accepter ? Comment ? Tue le. Dévore le. Laisse le se noyer dans son sang. Mais je ne peux pas. Le sédatif… Tu ne peux pas ? Ou tu ne veux pas. Un sédatif aussi faible ne pourrait pas nous arrêter. Tue le et libère nous…
L’étrange voix disparut au fond de mon esprit aussi vite qu'elle était apparut. Je me sentit soudainement plus légère. Les effets du sédatif avaient disparut remplacé par la peur. Le garde était maintenant nu près à m'utiliser comme un jouet bon marché. L’idée me dégoûta au plus au point et une fureur nouvelle jaillit au fond de mon cœur. Un sifflement strident sortit de ma gorge.
« 0666 ! Tu es sur le point de découvrir le plaisir alors arrête tes vaines menaces ou je pourrais rendre l’expérience moins agréable. »
Je ne put réprimer un gloussement sombre. Le plaisir ? Oui le plaisir ! Je vais découvrir le plaisir dans ta chair tendre ! Je vais te dévoré ! Tu es ma…
« PROIE ! »
Pdv. Garde
Le corps de 0666 été comme toujours parfait. Sa peau pâle sans imperfections au-delà de la chitine violette qui recouvrait une bonne partie de son corps. Aujourd’hui c’était ma dernière chance de jouer avec la bête tant redoutait avant que l'on ne lui abime son corps de manière irrémédiable. Elle se réveillait doucement, parfait le sédatif était toujours dans son sang elle ne pourrait rien faire.
Quel dommage qu'un corps aussi beau sois celui d'une bête. Au moins personne n'entendra sa plainte. Je doute même qu'elle sache parler. Elle n’avait jamais prononcé un mot depuis son arrivée se contentant de grognements et de sifflement. Ses yeux s'ouvrirent et s'écarquillèrent rapidement quand elle se rendit compte qu'elle ne pouvait pas bouger.
Je me suis amusé à lui décrire ce qui allait lui arriver quand les scientifiques arriveraient dans une demie heure. Elle se mit a paniquer et à grogner comme une bête acculé. Je voulais éclater de rire devant son pitoyable spectacle bon qu’à effrayé les nouveaux. Soudainement elle s’arrêta de faire du bruit. Son regard était vide et elle avait l'air ailleurs. Les sédatifs devaient la faire planer. Je continuais de la préparer sans en tenir compte après tout ça ne changerais rien.
Je commença à me moquer d'elle alors qu'elle s’était mise a siffler de plus en plus fort. Ses yeux rouge démoniaque étaient à nouveaux clair et elle me fixer avec haine.
« 0666 ! Tu es sur le point de découvrir le plaisir alors arrête tes vaines menaces ou je pourrais rendre l’expérience moins agréable. » Je la narguais joyeusement et elle se mit a glousser comme une folle à lier. Le son était horrible et me fit frissonner et c’est alors qu'elle a fait quelques chose. Quelques chose que je la croyais incapable de faire. Dans une voix enfantine usée et inutilisé elle a parlé.
« PROIE »
Elle me sauta dessus en gloussant avant de me mordre au cou sans utiliser ses crochets. Je la repoussait vivement en grognant de douleur. Ma main droite se porta a mon cou pour y sentir un trou chaud et humide dégoulinant de sang. 0666 me regarda en gloussant un morceau de chair entre les dents. Heureusement mon alter me permettait d’ignorer la douleur sinon j’aurais vraiment souffert de la blessure.
« Tu es délicieux proie. » Son gloussement enfantin était digne des films d'horreur. La bête humaine se tassa prête à bondir. Sa petite silhouette était ridicule pourtant je ne pouvais m’empêcher de trembler de peur.
Elle se jeta à nouveau sur moi ses griffes laissant de profonde lacérations sur ma poitrine. Elle se mit a lécher le sang en ronronnant de plaisir. Je cherchais frénétiquement dans la pièce mon arme un bâton électrique qui devrait au moins me permettre de la repousser le temps de m'enfuir. Là ! Elle avait rouler sous la table. Je me suis jeter dessus désespéré. Ma main se referma sur le manche de cuir alors que je poussais un soupir de soulagement. Je me suis alors tourné vers 0666 en brandissant le bâton.
« - Là 0666. Les choses sont un peu plus équilibré non ? Voyons comment tu aimes ça !
- Ooooh j'ai peur petit repas ~ . Attention tu pourrais te faire mal avec ton petit jouet. Son gloussement enfantin était horrible dans la bouche de ce monstre.
- Ferme là monstre. Je préférais quand tu la fermais bien gentiment. »
Je me suis jeter sur elle la matraque électrique en avant. L'arc de tension se précipita dans son corps en un instant la faisant trembler de douleur. Une légère odeur de brûlé se rependant dans la pièce. Sûr de ma victoire je laissa un petit sourire satisfaits orner mon visage quand j'entendit la bête parler dans une voix sombre et teinté de folie.
« Plus fort… Papa. »
0666 se redressa comme si la douleur n’existait pas et maintient les bras sur le sol. Un sourire fou sur les lèvres elle se pencha vers moi pour me mordiller l'oreille avec passion.
« Tu as bien joué petite proie. Maintenant c’est mon tour ~ »
Chapter 6: Chapitre 5.
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Pdv. Garde
Quand on a entendu les hurlements c’était trop tard bien trop tard. En arrivant dans la salle d’opération le sang recouvraient les murs dans une peinture morbide. Au centre de la pièce se trouvait un cadavre démembré les entrailles à l'air. Le garde était nu une expression d’horreur figé sur le visage. Et j’avais déjà vu ça. Une fois, sur les photo du dossier de Yumi Humeko. Je connaissais la jeune fille. Une enfant timide et effrayé qui ne prononçait jamais un mot. J’étais là le jour où elle est arrivée. J'ai vu ses yeux vide et son air résigné. Comment cette petite fille avait put faire ça ? Et surtout où était elle ? La porte était verrouillé alors elle ne pouvait pas sortir par là. Des petites trace de pied griffus ensanglanté recouvrait tout les recoins de la pièce dans un schéma sans logique. J’échangeais un regard avec mon collègue. Le pauvre était terrifié, son teint était vert et il avait l'air de se retenir de vomir. Je ne pouvait pas le blâmer. Même moi j’étais horrifié, l'odeur lourde et ferreuse de la pièce me donnait envie de vomir.
Il hocha légèrement la tête alors que nous commencions l'inspection. Les minutes passèrent sans que nous ne trouvions un seul indice jusqu’à ce que je remarque une série d’empreinte discrète montant sur le mur dans un coin. Je releva la tête lentement la sueur coulant le long de mon dos. Les traces menaient à un coin ombragé au plafond. Je plissais les yeux pour voir un conduit d’aération éventré par des griffes juste assez large pour que la fille puisse s'y glisser. Et merde… On était vraiment dans la merde.
Pdv. Yumi.
M’échapper avait été simple mais j’avais du abandonné le meilleur repas que j'ai jamais eu pour cela. Les conduits étaient étroits mais j’étais minuscule. À neuf ans j’avais l'air d'en avoir encore six couplé à la mauvaise alimentation j’étais minuscule. Je m’étais faufiler dans les conduit jusqu’à une pièce de sécurité. Un garde était avachi sur son siège en somnolant. Devant lui un ordinateur encore allumé. Parfais.
Je me suis glisser sur le sol, atténuant le bruit de la chute pour ne faire aucun bruit. L'homme inconscients de ma présence fut une proie facile. Je lui arracha la gorge avec les dents le laissant se noyer dans son sang avec un gargouillis horrible. Sa chair avait bin goût mais je n’avait pas le temps. Je commençais à faire des recherches frénétiquement. Pas d'incident avec un vilain limace donc avant Izuku. Là une date. Merde parfait deux ans de plus que le garçon au cheveux vert. J’étais à peine plus âgé. Du même âge que Toga en fait. Aaah Toga, je l’aimais déjà dans ma première vie malgré qu'elle soit un personnage de fiction. Elle était tout ce que j'aimais, folle, meurtrière et si pleine de vie. Cette vie allait être bien plus amusante.
Dans ma première vie ma psy m’avait diagnostiquée une tendance à l'amour compulsif et aux comportements obsessionnel. En gros j’étais un exemple parfais de yandere. Et cette fois je pourrais rencontrer la fille qui avait toujours fait battre mon cœur. Cette fois elle était à moi. Peut importe combien mourront. J'aurais ma douce Toga, elle sera à moi.
Après avoir rassembler suffisamment de données sur l’époque j'ai cherché Giran, si quelqu’un pouvait me permettre de trouver la ligue ce serait lui. Après quelques minutes de recherche une alarme se mit à résonner dans tout le bâtiment. Ah ils devaient avoir trouvé mon jouet. Dommage, enfin j'avais une vague idée de où commençais mes recherches.
Je me suis glissé dans le conduit avant de me diriger dans le labyrinthe étroits pour trouver la sortie. En dessous de moi j’entendais des patrouilles courir dans tout les sens cherchant frénétiquement des traces de mon passage. Désolé me gars mais je ne me laisserais sûrement pas attrapé de si tôt. Mon amour m'attend ainsi qu'une multitude de délicieux repas.
Je dut bien passé une demi heure a erré au hasard dans les boyaux de métal jusqu’à ce qu'un mince filet d’air me parvienne. Je me suis laissé guider par l’air pur jusqu’à une grille qui laissait filtré la lumière du soleil. Je n’étais pas fan à l’idée de sortir en pleine lumière mais les mendiants ne peuvent pas vraiment se plaindre. J'ai déchiré la grille avec mes griffes avant de me glisser dehors.
Oh mon dieu. De l'air pur… Enfin aussi pur que possible dans ce monde de pollution. Ça faisait tellement longtemps que je n’avais pas sentit ça. J'en revient pas de me dire que la caresse du soleil sur ma peau m'avait manqué. Je me suis mit à rire. Pas un gloussement ou un rire maniaque. Non un vrai rire pur, de la joie débordante. J’étais libre de ma prison, enfin libre !
J'ai lentement calmé mon euphorie pour observer autour de moi. J’étais sur le toit du bâtiment. Descendre ne serait pas un problème grâce à mon alter qui me permettait de grimper aux murs et de sauté relativement haut mais je ne savais absolument pas où aller. Et mon corps était trop petit pour que je vole une voiture si encore les voiture fonctionnaient comme dans mon monde. Grâce à mes recherches je savais que nous étions à environ une heure de Mustafu en véhicule mais je ne savais vraiment pas par où aller.
Je me suis approcher du bord du toit pour observer les alentours. Le bâtiment était relativement isolé par rapport à la civilisation, seule une petite route serpentait dans la forêt vers ce qui semblait être un village. Je poussais un soupir avant de sauter en contrebas et de marcher le long de la route bétonné. Mes pieds griffus étaient protégé des petits caillou grâce à l’épaisse plaque chitineuse qui les recouvrait.
J’ai marché de longue minutes avant d'enfin arriver à ce petit village. Heureusement personne ne m’avait vu. Mon uniforme du camp et les tâches de sang n’étaient pas top pour la discrétion. Je me suis faufiler le plus discrètement possible dans les rues jusqu’à trouver une maison avec une fenêtre ouverte. Je me suis glissé dans l’ouverture pour trouver une chambre d’enfant. Probablement un garçon vu la décoration. Personne en vue. Bien.
J'ai fouillé les meuble pour trouver des vêtements à ma taille. Beaucoup de chose était trop grande mais j'ai fini pas trouver un sweat à capuche rouge et un pantalon noir troué et usé. Ça puait et c’était encore un peu trop grand pour moi mais c’était tout ce qui était mettable dans tout ça. Avec un sourire satisfait je me suis aventuré dans la maison la capuche sur le visage pour cacher ma bouche maculait de sang.
La maison était petite mais bien entretenu, il n'y avait l'air d'avoir personne j’étais donc tranquille pour faire mes recherche. J’ai fouillé la chambre principale jusqu’à trouvé un petit portefeuille remplie de billet. Je les prit rapidement et remis le portefeuille en place. Je n’avais aucune idée de comment l’argent fonctionnait ici mais je pourrais me débrouiller. Mon deuxième objectif fut rempli par un vieille ordinateur familial sans mot de passe. Bénis soyez vous gens pas assez prudent. J'ai cherché tout les trajet de bus qui reliait ce village à Mustafu et finis par trouver mon bonheur. Cet après-midi dans environ une heure un bus partait en direction de mon destin. Un sourire fou fit éclater mes dents tachait de sang au monde. Je serais bientôt à la maison.
Maintenant premier arrêt. Je me demande comment tu vas Kaa-chan…
Chapter 7: Chapitre 6.
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Tard le soir j’étais debout devant ma maison. Cette même vieille maison. Elle avait a peine changé. Tout étais exactement comme dans ses souvenirs. Yumi prit une profonde inspiration et avança dans l’allée. Elle appuya délicatement sur le bouton de la sonnette. Quelque bruit sourd se firent entendre à travers le bois alors qu'un « J'arrive » étouffé me parvient aux oreilles.
La porte s’ouvrit doucement révélant ma mère un peu plus âgé et définitivement plus fatigué. Elle regarda dans l'allée avec curiosité jusqu’à ce que je me racle la gorge pour attirer son attention. Elle sursauta et baissa les yeux vers moi.
« - Oh bonjour petit. Tu t'es perdu ? Ma capuche dissimulé toujours mon visage recouvert maintenant de sang séché.
- Oui… Je cherche Yumi Humeko j’ai entendu qu'elle habitait ici. Je feignit une voix innocente et ma gorge peu habitué à être utilisé depuis trois ans déforma efficacement ma voix.
- Oh, je suis désolé. Yumi n’habite plus ici depuis quelques temps déjà. Tu veux que je lui transmette un message ? Comment t’appelles-tu ?
- Moi ? Je suis 0666. Onigumo, l’araignée démon. Je lui sourit en retirant ma capuche dévoilant mon visage couvert de sang.
- Yu… Yumi ?! C’est toi ? Qu’est-ce que tu fais ici ? Le centre te cherche partout ils ont appelé tout à l’heure pour dire que tu avais disparut. Et qu’est-ce que tu as sur le visage ? L’avalanche de question de ma mère me fit sourire narquoisement.
- Ma ma… Oka-san tellement de questions…. Alors ils ne t'ont pas raconté toute l’histoire alors ? Ce n'est pas si étonnant… »
Je me suis avancé pour entrer dans la maison d’un air décontracté avant de m’assoir sur le canapé du salon. Aaah home sweet home… Cet endroit m'avait manqué mine de rien. Comme quoi… Dommage que je doive définitivement le quitté après ça.
Pdv. Karin Humeko.
Qui vient encore me déranger à cette heure ? J’étais déjà assez fatigué… Le centre de redressement de Yumi m’avait appelé en début d’après-midi pour me dire qu’elle avait disparu. Mon pauvre bébé. J’ai passé l’après-midi à attendre des nouvelles sans succès. Mon dieu ma pauvre chérie elle devait être terrorisé dehors…
Je me suis dépêché vers la porte pour tomber sur mon allée vide. Si c’était encore une plaisanterie j’allais vraiment craqué ! Un raclement de gorge me fit baisser les yeux vers une petite silhouette enveloppé dans un sweat-shirt rouge. La capuche relevé cachait le visage de ce qui devait être un enfant de 6 ou 7 ans. Ma colère fondit rapidement remplacé par de l’inquiétude. Le pauvre devait être terrorisé et perdu.
« - Oh bonjour petit. Tu t'es perdu ?
- Oui… Je cherche Yumi Humeko j’ai entendu qu'elle habitait ici. La voix du petit garçon était étrange comme enroué . Il était peut-être malade. La mention de Yumi me rendit mal à l’aise et triste. D’où le gamin connaissait il Yumi ?
- Oh, je suis désolé. Yumi n’habite plus ici depuis quelques temps déjà. Tu veux que je lui transmette un message ? Comment t’appelles-tu ? Je lui ai demandé gentiment en essayant de cacher la douleur dans ma voix.
- Moi ? Je suis 0666. Onigumo, l’araignée démon. L'enfant retira sa capuche et je pus enfin voir son visage. Un visage que je connaissais par cœur. Celui de ma fille recouvert d’étrange tâche de substance difficilement reconnaissable dans la pénombre.
- Yu… Yumi ?! C’est toi ? Qu’est-ce que tu fais ici ? Le centre te cherche partout ils ont appelé tout à l’heure pour dire que tu avais disparut. Et qu’est-ce que tu as sur le visage ? Je me suis mise à sortir toute les questions qui avait surgit dans mon esprit son lui laissait le temps de répondre. Elle me fit un étrange sourire qui dévoila ses dent acéré recouverte de la même substance que son visage.
- Ma ma… Oka-san tellement de questions…. Alors ils ne t'ont pas raconté toute l’histoire alors ? Ce n'est pas si étonnant… »
Ma fille entra dans la maison avec un sourire loin de l’expression timide que je lui connaissait. Elle s’installa nonchalamment sur le canapé du salon alors que je la suivait sans un mot. J'ai d'abord commencé par regardé ses vêtements. Clairement trop grand pour elle et usé. Sûrement emprunté à quelqu’un puis son visage. La graisse de bébé avait commencé à disparaître révélant des traits fin et un visage rond hérité du mien. Ses yeux rouge entouré de noir étaient aussi dérangeant que dans mon souvenir mais brillaient maintenant d'une lueur dangereuse que me donna envie de fuir.
Mon observation commença à se muer en horreur quand je me rendit compte que la substance qui tachait sale visage de ma fille était du sang séché. Mon dieu qu’est qui avait bien put lui arriver. J’étais morte d’inquiétude quand elle se tourna vers moi. Je me suis rendu compte que le sang n’avait pas l'air de provenir d'elle. Mon inquiétude s’est transformé en peur. Yumi sourit alors que je déglutissais difficilement.
« - Je sens ta peur Oka-san. Et quand bien même je trouve ça délicieux j'ai quelques question pour toi. Alors je t'en prit assis toi… Les mots qui sortirent de la bouche de ma fille me firent frémir. Que lui était il arrivé ?
- Yu-chan… Tu n'as pas répondu à ma question. Que fais tu ici et surtout est-ce que c’est du sang sur ton visage ? Ma voix tremblait alors que je sortait les mots difficilement.
- Oooh c’est vrai ! J'ai tué quelqu’un… Enfin deux hommes et c’est leur sang, enfin tu vois l’idée. La voix douce de ma fille devint l'espace d'un instant discordante et pleine de promesses sombre.
- Tué ?! Tu as tué quelqu’un ?! Ma fille a tué quelqu’un… tué quelqu’un…. Ce n'est pas possible je dois faire un cauchemar.
- Ooooh Oka-san ne panique pas le premier l'avait clairement mérité quand il a essayé de me violer et le second… Il était sur mon chemin ~ Le ton chantant de Yumi était en profond désaccord avec ses mots horribles.
- Il a essayé de te violer ? C’est pas possible je dois être en plein cauchemar… Je sentit une légère et vive douleur dans le bras quand je vis que l'un bras de Yumi avait tracé une légère entaille avec ses griffes.
- Là. Pas un cauchemar je suis réelle. Et j'ai vraiment besoin de réponse le plus tôt possible…. La voix de ma fille était froide et elle me regarda comme si ma vie n'avait aucune importance à ses yeux.
- Qu’est-ce que tu veux savoir Yu-chan ?
- Le nom du médecin qui a détecté mon alter et un moyen de le contacter. Et appelle moi 0666 ou Onigumo.
- Le médecin ? J'ai sa carte Yu… Onigumo-chan. J’obéis à sa demande en tremblant. Quoi qui soit arriver à ma fille elle était devenue dangereuse.
- Bien donne la moi. Ainsi que tout l'argent dont tu disposes pour l’instant. Le ton était venimeux et appelait à ne pas posé de questions. »
J'ai obéis en tremblant un peu. J'ai sortit ton mon argent et la carte froissé que le médecin m'avais donné et que je n’avais jamais pris le temps de jeter. Ma fille prit froidement l'argent et la carte et me regarda avant de me sourire la seule chose que sentit ensuite fut une immense douleur dans la gorge. J'ai voulu crier mais seul un gargouillis sanglant sortit de ma gorge. Je sentis mon sang commencer à m’étouffer lentement. Ma fille…. Non le démon qui avait prit sa forme me regarda en souriant. Elle se pencha vers moi et murmura a mon oreille alors que les ténèbres m'engloutissaient.
« Ça c’est le prix de la trahison Oka-san ~ »
Chapter 8: Chapitre 7.
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Rassembler des informations était ridiculeusement facile. Je n’avais eu qu’à m’introduire dans un poste de police la nuit pour trouver suffisamment d’informations sur Giran pour avoir une idée de sa localisation. Et me voilà en début de soirée dans un pub miteux qui servait de façade au réseau de l'homme que je cherchais. En fait le plus difficile fut de rentrer dans ce bar. Ah les joies de la jeunesse.
J'ai dut soudoyer le videur pour qu'il ne regarde pas ma pièce d’identité. Non pas que j'en ai une de toute façon. Après tout passé trois ans dans une prison glorifié était assez mauvais quand il s'agissait de montrer patte blanche. Rien qu'un peu d'argent ne pouvait acheter. Alors me voilà assise sur le tabouret d'un bar miteux en train de siroter joyeusement une limonade sous le regard méfiant de trois hommes qui jouaient au poker.
Le barman avait l'air d’hésiter à me faire sortir mais comme je ne posait pas de problème et que je buvais une limonade il me laissa tranquille. J’étais ici depuis bientôt une heure quand je repéra ce que je cherchais. Un homme bien habillé entra sans un mot et se dirigea vers la salle arrière. Je me suis redressé avant de sauter en bas du tabouret. Avant de sautiller joyeusement vers lui. Il me lança un regard noir et se rapprocha de moi en croyant m'intimider.
« - Gamine. Tu ferais mieux de partir ce bar n'est vraiment pas pour une petite chose fragile comme toi.
- Oooh comme j'ai peur ~ Désolé grand monsieur mais je suis là pour affaire.
- Pour affaire laisse moi rire gamine. Il sourit narquoisement et tenta de me dépasser. Je dis bien tenta.
- Oooh allez je suis sérieuse. Ce n’est pas parce que je suis petite qu'il ne faut pas me prendre au sérieux.
- C’est ça va jouer gamine. Il me repoussa et avança vers la pièce sans se retourner.
- Ce simple mot le fit s’arrêter. Il se tourna lentement vers moi sa main sur la poignée de ce que je devinais être un couteau.
- Qu’est-ce que tu as dis gamine ? Le ton sourd dans la voix de l'homme était teinté de menace.
- Je t'ai dit que j’étais ici pour affaire et pour te convaincre tient. Je lui tendit un dossier que je sortit de son sweat rouge. Je pense que ça devrait intéresser notre ami commun.
- Je vais voir gamine. Tu as intérêt a ce que ça en vaille le coup. Il prit prudemment le dossier et se dirigea vers la pièce arrière. »
Le dossier contenait toute les informations que la police avait sur le contrebandiers. Après tout, vu que je m’étais infiltré autant emporté un souvenir avec moi. Et j’étais sûre que ce geste de bonne volonté serait apprécié.
Quelques minutes plus tard le même homme revint avec un air interrogateur sur le visage. Il ne me regarda plus avec dédain ou agressivité mais avec une prudence saine. Bien mieux.
« - Suis moi. Monsieur veut écouter ta proposition. Le ton lourd était entaché de curiosité maintenant.
- Je te suis grand frère ~ Mes pitreries eurent l'air de l’l’amusé car il sourit doucement. »
Je me suis mis à sa suite sautillant avec insouciance le long du chemin. Depuis la salle arrière nous priment un escalier puis une série de couloir souterrain comme je les aime pour arriver finalement devant une porte d'acier blindé. L'homme qui me guider toqua à la porte avec un certain rythme. Oooh des codes secret, du morse je crois. Et la porte s'ouvrit dans un grincement.
À l’intérieur se trouvais une pièce parfaitement aménagée couverte de tapis et de fauteuils. Trois hommes se tenait autour d’une table. Deux d'entre eux était habillé comme celui qui m’avait guidé ici. À savoir un ensemble lâche mais coûteux de couleur noir. Le dernier par contre attira mon attention c’était lui. Giran, vilain de rang C mais surtout mon billet doré vers la ligue.
« - Quand on m'a dit qu'une enfant venait parler affaire je dois dire que j'ai été surpris. Surtout avec le dossier que tu m'as ramené, merci d’ailleurs.
- Pas de quoi vraiment Giran ~ mon ton joueur répondit à sa nonchalance calme.
- C’est vrai mais maintenant que je te vois je comprend mieux. Bonjour à toi 0666 ou plutôt Yumi. Le dernier mot fit tomber mon visage joueur instantanément.
- Ce nom est mort appelle moi Onigumo. Un frisson parcouru le dos de ses hommes de main devant le venin dans ma voix.
- Toute mes excuses je ne cherchais pas à t’offensé. Alors que puis-je pour toi petit démon. Son ton calme détendit l’atmosphère rapidement
- J'ai besoin que tu me trouve des informations. Ou plus précisément une entrevu.
- Et avec qui souhaiterais-tu une entrevue petit démon ?
- La ligue des vilains. Il haussa un sourcil en entendant le nom.
- Cette organisation m’est inconnue ça attise un peu plus ma curiosité.
- Ils n'ont pas encore fait parlé d'eux mais d'ici quelques années tout le monde les connaitra crois moi ~ Je lui sourit en dévoilant mes dents acéré.
- Quand bien même je ne peux pas te donner une entrevue avec eux si j’ignore comment les contacté. Il me regarda avec un air désolé et je ne put empêcher un gloussement de sortir.
- Oh ne t'en fait pas. Contacte ce médecin et demande à parler à sensei. Dis lui… Dis lui que je connais la faiblesse d’All Might et que je souhaite le rejoindre. Mon sourire se fit plus large quand je vit l'air choqué sur son visage quand je mentionné la faiblesse du héros numéro 1.
- Tu sais petite. Beaucoup de personnes seraient prête à donner un paquet d'argent pour cette information.
- Je sais mais même si il a une faiblesse elle reste difficilement exploitable pour ceux qui n'ont pas les moyens. Et je sais que tu es raisonnable Giran. Tu ne me doublera pas ~
- En effet. Il me sourit joyeusement alors que la tension de la pièce disparaissait.
- Alors pour ce qui est de ton règlement tient ça devrait suffire pour être l’intermédiaire pour cette entrevue. Et voici mon numéro. Après notre échange je changerais naturellement. J’attends avec impatience de tes nouvelles !!! »
Pdv. Giran
Il soupira en me regardant repartir en sautillant. Devant lui une enveloppe pleine de billet ce qui était largement assez pour ses services pour ce genre de demande. Et un post-it avec un numéro dessus. La gamine était intelligente. Sur le dos il y était marqué « je compte sur ta discrétion Giran » avec un petit cœur noir. Qu’est-ce que tu caches petite araignée ?
La fille était une gamine de neuf ans récemment évadée d'un « centre de redressement pour jeune avec des alter dangereux ». Un joli nom pour désigner une prison où la commission des héros s'adonner à des expériences sur des enfant et sélectionnés les plus prometteur pour les endoctriné à devenir des héros. Le numéro 0666 surnommé Onigumo, l’araignée démon avait laissé une jolie traînée de cadavre derrière elle. Et la petite n’avait encore que neuf ans, difficile à croire et pourtant vrai.
« - Vous sembliez la connaître patron. Qui s’était cette gamine ? Un de ses homme de main le regarda avec un interrogation.
- Tout d'abord dis moi. Qu’est-ce que tu sais des centre de redressement de la commission. L'homme grimaça en entendant la question.
- Des camps de la mort. Dirigé par ceux qui sont censé être des héros. Un enfer moderne pour des tas de gamin avec des capacités jugé trop dangereuse. Le dégoût dans le ton de l'homme était palpable.
- Et bien cette gamine est le « patient » numéro 0666 du centre le plus proche. Récemment évadé après avoir tué et partiellement dévoré deux garde de sécurité. Ses hommes pâlirent en entendant la nouvelle.
- Tu veux dire quoi par mangé ? Un de ses hommes posa la question le ton un peu vert.
- D’après les document qui parle d'elle que j'ai trouvé elle est capable de se nourrir de chair cru et à des changements du comportement faisant écho à ceux d'une araignée. Et dans son cas cela s’accompagne visiblement de cannibalisme. Le ton sombre de Giran en dit long pour ses hommes.
- Tu veux dire elle mange des…
- Oui elle mange des gens. »
Giran avait vu beaucoup de chose ignoble ou étrange au long de sa vie mais l'une des plus curieuse restera pour lui l'image de cette petite fille au sourire innocent capable d'un massacre qui ferais pâlir les plus endurcis des criminels. Les photos qu'il avait vu hanteraient ses pensées encore quelques mois avant que son horrible quotidien ne les efface pour quelques chose de plus frais.
Chapter 9: Chapitre 8.
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Giran fit vite. En quelques jours la rencontre était bouclé et je recevais les détails dans un message concis. Lieu, heure, condition.
Je devais venir non armé (comme j'en avais besoin), dans un bar du centre de Mustafu. Oui ce fameux bar. Il leur servait visiblement déjà de QG à l’époque.
Je rebondissait d’impatience dans l’appartement de ma dernière victime. C’est fou ce que les gens font confiances aux enfant de nos jours. Je m’étais rendu compte que je pouvais mangé de bien plus grande quantité que les enfants normaux. Enfin je m'en étais toujours douté mais le surplus était rapidement transformé en fil super résistant assez rapidement. Pour l’occasion je m’étais habillé dans un ensemble de soie qui imitait une jupe gothique. Mon corps mince était une plaie quand il s’agissait de trouver des vêtements à ma taille et pas trop coloré. Je dut donc me tisser moi-même mes vêtements pour avoir l'air au moins un peu mieux qu’avec les vieilles fringues que j’avais volé qui étaient deux tailles trop grand.
Aaaah j'allais rencontrer sensei… Et Mamagiri… Et Tenko nii-chan ! J’espère que sensei acceptera de m’adopter. Ça serais là meilleur chose du monde !
J’étais donc là à m’occuper tranquillement en attendant avec impatience l'heure de mon rendez-vous quand une question me vint à l'esprit. Pourquoi est-ce que a chaque fois qu'un personnage est isekaisé il ne parle à absolument personne de sa situation. Je veux dire oui il ne faudrait pas non plus le dire à tout le monde mais personne ? Vraiment ? Je pense au contraire que le dire a des personnes de confiance est une bonne idée. Ils pourraient aider dans certaine situation isekai habituel. Par exemple sensei est clair sur ses objectifs pour moi. Tuer All Might et protéger Tenko nii. Moi je veux une famille de méchant et Toga-sama. Nos objectifs concorde assez facilement. Donc pourquoi ne pas lui dire. Avec son intelligence et son esprit retords il verra facilement mon utilité.
Je trouve que c’est un plan valable. Premièrement surprendre Tenko nii et sensei en montrant que je sais certaine chose. Deuxièmement le convaincre de m'adopter ! Et lui raconter des détails de l’histoire et enfin préparer un plan pour atteindre tout nos objectifs en minimisant les pertes ! Un plan de génie ! Bon d’accord je vois plein de failles et de personnes qui pourrez pointez du doigts que rien ne pourrait se passer comme prévu. Peut-être que Tenko nii me tuera dès que lâcherais quelque informations. Peut-être que sensei se contentera de m'étudier et m'utiliser. Mais les gens ayez un peu foi dans les vilains. Ce sont peut-être des psychopathe meurtrier mais on est pas des animaux.
Arrivé à l'heure au rendez-vous fut chose faite. Giran m’attendais devant la porte du bar en fumant une cigarette. Je le saluait de la main avec un air joyeux et il me rendit mon regard avec un clin d’œil.
« - Alors 0666, prête pour ton entretien ?
- Née prête ! Onigumo paré à la négociation ! Ma joie rayonnait sur mon visage.
- Je n'arrive toujours pas a comprendre comment une fille comme toi peut être responsable d'une dizaine de mort depuis le début de la semaine…. Il soupira avec un air abattu.
- Onze ! Le corps sera sûrement trouvé bientôt. Enfin ses os ~ Je gloussa de manière maniaque en le regardant pâlir un peu.
- Laisse tomber. Je demande toujours comment tu as réussi a découvrir la faiblesse de All Might. Ça me dépasse.
- Une dame a ses manières. Allez je veux les rencontrer et surtout reste derrière et ne dis rien ~ Mon ton joyeux prit une teinte dangereuse à la fin faisant déglutir le contrebandier. »
J’ai poussé la porte avant de sautiller vers l’intérieur du bar avec impatience vite suivit par un Giran qui avait l'air fatigué.
Pdv. Kurogiri.
Comme chaque jour j’étais derrière le bar en train de nettoyer les verres de manière méthodique. L’activité me calmer étrangement. Et me permettait de rester libre pour surveiller le jeune Tomura qui jouer aux jeux vidéo dans le coin de la pièce. Les ordres du maître était de protéger son successeur. Par tout les moyens. J’étais un nomu conscient, une expérience qui n'avais que pour seul but de protéger cet enfant de onze ans un peu colérique avec un alter bien trop dangereux pour lui et son entourage.
La monotonie de cette vie c’était doucement installé avec le temps mais aujourd’hui était un jour spécial. Récemment le maître avait été contacté par un homme nommé Giran qui servait d’intermédiaire pour une personne nommé Onigumo qui prétendait connaître la faiblesse du héros numéro un.
Sensei avait été terriblement intrigué surtout quand ses recherches sur l’identité de Onigumo s’était avéré inutile. Cette personne était un fantôme, aucune trace d’elle ou de lui nulle part. Mais il avait demandé à les rencontrer et a les rejoindre. Une chose inattendu car la ligue des vilains n'existait pas encore officiellement. Le maître voulait attendre que son successeur grandisse avant de lancer ses plans. Leur du rendez-vous était arrivé et ils seraient là d'un instant à l’autre.
L'homme fait de fumée ne savais pas à quoi s’attendre mais il fut vraiment surpris quand la première personne qui entra fut une petite fille vêtue d'une robe de soie blanche qui sautillait joyeusement. Elle lui lança un sourire et monta sur un tabouret. Elle était suivi par le dénommé Giran qui servais d’intermédiaire pour la rencontre d’aujourd’hui.
La fille ne devais pas avoir plus de 7 ans d’après ses estimation mais l’apparence pouvait être trompeuse après tout. Elle s’s’affala sur le bar avant de le regarder avec fascination.
« - Mamagiri ? Je peux toucher ta fumée elle est trop cool ! Son ton joueur trancha rapidement la situation. Elle était confiante ou téméraire et surtout elle connaissait son nom.
- Nous verrons cela. Que puis je vous servir ? Mademoiselle … ?
- Onigumo ou 0666 si tu préfères. Et une limonade ! 0666…. Il avait déjà entendu ça quelque part mais il n’arrivait pas à le placer.
- Bien sûr Mademoiselle Onigumo.
- Laisse tomber le Mademoiselle. Appelle moi Gumo- chan Mamagiri ~ l'attitude de son interlocutrice était beaucoup trop décontracté et décalé pour la situation. Il soupira en se demandant si la jeune fille avait vraiment des informations intéressantes pour eux.
- Très bien Gumo-chan. J'ai cru comprendre que tu avais des informations pour moi. Je lui répondit en lui servant sa limonade qu'elle se mit a siroter négligemment.
- Oh pardon Mamagiri… Je ne peux partager cette information qu'avec sensei ou Tenko nii-chan… Rien contre toi promis. »
La pièce devint soudainement froidement silencieuse. Dans mon cerveau toute les alarmes étaient devenu rouge seul le maître, moi et le jeune Tomura connaissait ce nom. La situation pourrait devenir dangereuse assez rapidement. Le jeune maître avait abandonné son jeu pour regarder leur nouvel invité avec méfiance prêt à utiliser son alter pour éliminer la menace. Pourtant la jeune fille sembla inconsciente de la situation.
« - D’où connais tu ce nom ? Tomura avait l'air sur le point d’exploser.
- Pardon ne t’énerve pas nii-chan. Je ne l'es dit a personne c’était juste pour vous prouvez que je savais des choses. Je veux vraiment vous rejoindre promis ~
- Pour l’instant tu ne nous as rien dit. Et je pense que tu ne manquerai pas beaucoup aux gens si tu disparaissait. Le ton du jeune maître était froid.
- Oui en effet à personne. J'ai tué ma mère la semaine dernière donc je pense que personne ne vas m'attendre maintenant…
- Je…Je… Quoi ? Tomura sembla hésité devant la résignation de la fille et baissa les mains incrédule.
- C’est pour ça que je suis ici. Je veux vraiment vous rejoindre mais je dois d’abord parler à sensei. Ou devrais je dire All for One. Et oui je sais aussi pour One for All et toi. Elle regarda l’écran dans le coin de la pièce avec un sourire narquois.
- Envoie la moi. L’écran crépita et la voix du maître résonna dans les haut parleur.
- Bien maître… Cette fille était une énigme. Une énigme qui avait l'air d'en savoir bien plus qu'elle ne devrait.
- Oui ! Premier étape réussie ! Elle célébra dans une joie infantile et sauta sur seule prête à se faire transporter.
- Je vais vous envoyez au près du maître.
- Bien juste avant. Merci Giran de tes services mais je pense que je vais continuer seule maintenant. Tu peux partir. Et je n'oublie pas que je t'en dois une.
- Nan… On est quitte. Tu m'as payé et j'ai fait le boulot mais j’espère qu'on pourra refaire affaire. Je t’aime bien 0666. »
Le contrebandier vit un vague geste de la main et sortit du bar sans un mot. L’étrange jeune fille me regarda en souriant dévoilant des dent bien plus aiguisé que des dent normale.
« ALLEZ Mamagiri. Zap moi ! »
Je soupirais un peu devant son énergie débordante. Si le maître choisissait de la faire rester la vie risquerais d’être intéressante. Je former un portail sous ses pied et l'envoya au maître avant de retourner à mes verres.
Pdv. Yumi.
La brume violette se forma sous mes pieds et je sentis mon corps tomber dans les ténèbres. Un instant plus tard je me tenais dans une pièce sombre d'un laboratoire qui avait l’air inoccupé. Un léger son de respirateur artificielle fut la seule chose qui me permis de savoir qu'il était là. Je me suis tourné dans sa direction et fut soudainement écrasé par un sentiment de terreur absolu. Malgré ses blessures et le tissu cicatriciel qui recouvrait son visage son aura criait danger. Mes instinct me crier de fuir. L'homme devant moi pouvais me détruire en un instant. Je réprimé un tremblement et m'agenouilla respectueusement.
« - Je suis ravi d'enfin vous rencontrer sensei… Ma voix tremblait un peu malgré moi.
- Moi de même Onigumo ou devrais-je dire 0666. Tu as beaucoup fait parler de toi récemment. La voix profonde de l'homme centenaire fit se hérissé tout les poils de mon corps.
- Je suis heureuse que vous ayez entendu parlé de moi.
- Pourtant une chose m’échappe… Comment une enfant comme toi connaîtrais la faiblesse d'All Might. Et comment connais tu le nom de mon successeur.
- Je vais y venir. Mais tout d'abord je voudrais vous posez mes conditions. Je parlais en tremblant presque de lourde goutte de sueur parsemant mon front.
- Tu es bien brave. Qu’est-ce qui ne te dis pas que je pourrais te torturer jusqu’à obtenir ces informations. Son ton était joueur mais je savais qu'il était sérieux.
- Je sais que vous pourriez le faire. Mais je pense que mes conditions pourrait nous être bénéfique à tout les deux.
- Alors parle vite. Et j’espère pour toi être intéressé. Sa voix avait pris une teinte dangereuse.
- Adoptez moi. Mon ton ferme me surpris moi-même.
- Pardon ? Tu veux devenir ma fille ? A ma décharge ce n’est pas tout les jours que vous arriviez à surprendre un vilain avec plus de cent d’expérience. J’étais plutôt fière de moi.
- Je veux que vous m'adoptiez. Je ne veux pas devenir votre successeur comme Tenko nii. Je préférerais le soutenir et vous aidez à établir des plans. Ah et je me réserve le droit de prendre une fille qui finira par nous rejoindre.
- Je dois dire petite fille que tu m'intrigues. Si je comprends bien tu connais certains événements futurs. Pourtant ton alter n'a pas l'air lié à ça.
- Je vais y venir… Tout ce que je peux vous dire avant de venir à ça est la faiblesse d'All Might. Le monde se porterais bien mieux sans sa façade souriante insupportable. Je suis presque sûre que sensei sourit en entendant comment je parlais de vieil ennemi.
- Parle jeune fille et je réfléchirais à tes conditions.
- Durant votre combat vous l’avez blessé. Blessé assez gravement. Une partie de son poumon et de ses intestins a été complètement détruit. Il est mourant, il ne peut plus tenir sa forme musclé que quelque heure par jour et ce temps va continuer a diminuer lentement. Il est maintenant à la recherche d'un successeur.
- Je vois. Je me doutais que notre affrontements avait laissé des marques mais je n’avais aucun moyen de le confirmer. Si tu dis vrai alors mes plans vont êtres grandement simplifié.
- Je peux vous dire ce que je sais d'autre mais acceptez vous que je devienne votre fille et le bras droit de Tenko… Non Tomura nii-san ? Mon ventre se tordais de désir et d’impatience à sa réponse.
- Je pense en effet que tu ferais une belle addition à notre groupe et tu pourrais sûrement aidé le jeune Tomura a être plus réfléchi. J’accepte tes conditions. Bienvenue dans la ligue des vilains Onigumo Shigaraki.
- Oui !!!! »
Je me suis redressé pour bondir dans tout les sens sous le regard amusé de mon nouveau père. À la fin je me suis précipité pour le prendre dans mes bras. Il me laissa faire et commença même à me caresser les cheveux. Je me suis mise inconsciemment à ronronner de plaisir. Qui savais que les araignées ronronner ? Personne ! Et visiblement c’était le cas ! Je passais quelques minutes sous les caresses affectueuse de l'homme avant de me rappeler pourquoi j’étais là et de rougir violemment. Sur ma peau grise ça donné une légère teinte noir.
« - Je suis désolé pèr…. Sensei. Je me suis oublié. Un rire chaleureux me répondit.
- Appelle moi père. Après tout tu es ma fille maintenant et je suis ravie que tu ne sois pas assez effrayé par moi pour me toucher.
- Je ne serais jamais effrayé par vous ! D’accord votre aura est intimidant mais si je voulais devenir votre fille c’est parce que je vous admire !
- Une telle énergie… Maintenant ma fille, dis moi comment tu sais tout ça ?
- Père… Que savez vous de la réincarnation et des isekai ? ~ Mon ton joueur le fit sourire légèrement. »
Je passais ensuite de longue minutes à lui expliquer qui j’étais et ce que je savais de l'avenir de ce monde. Il parut scandalisé de connaître les détails horrible du monde du quel je venais. Et me pris même un instant dans ses bras quand je m’étais effondré en pleurs à la suite d'une anecdotes douloureuse. Je lui parlais de Toga, de mon amour pour elle depuis la première fois que je la vis alors qu’elle n’était qu'un personnage de fiction. De mon excitations à l’idée de la rencontrer en vrai un jour. Je lui ai dit que mes seuls vrai amis furent ceux des livres et des séries. Que ma première vie fut solitaire et douleur perpétuel. Il sembla touché quand je lui ai dit que j’étais heureuse qu'il est accepté d’être mon père. À la fin de la discussion beaucoup de larmes avez coulé, des rires avaient été échangé et je commençais à vraiment voir le plus grand méchant du Japon comme le père dont j’avais toujours rêvé.
« - Allez ma fille. Il est temps que tu rencontre réellement ton frère. Je dirais à Kurogiri que tu es maintenant au même niveau d’importance que Tomura.
- Merci père. Je suis vraiment heureuse. C’est la première fois depuis si longtemps… Il hocha la tête et appuya sur le bouton des haut parleur pour appeler Kurogiri.
- Tu vas me manquer père… Je lui fit un dernier câlin avant de sauter dans le portail qui venait de s'ouvrir. Non pas sans entendre quelque dernier mots.
- Toi aussi ma fille… »
La première chose que je fit en arrivant à nouveaux dans ce bar fut de sourire en montrant mes dents et de crier « Bonjour ravie de vous rencontrer ! Je me présente Onigumo Shigaraki ! » Un silence inconfortable me répondit. Mamagiri semblait choqué vu qu'il avait arrêté de frotter ses verres et Tomura nii me regarda comme si j’étais folle. Ce que j’étais remarque mais ce n’était pas une raison. Je gonflait les joues pour bouder comme une enfant en croisant les bras quand un rire franc sortit des haut parleur de la télé.
« - Hahaha. Comme viens de le dire ma nouvelle fille. Tomura je te présente ta petite sœur. Je viens de l'adopter. Elle sera ton bras droit à partir de maintenant. Kurogiri protège là comme tu protégerait Tomura.
- Bien maître. Ravi de vous rencontrer jeune maîtresse. L'homme fumée repris son activité sans sourcilier, mon dieu quel sang froid.
- Sensei ?! C’est une blague ? Elle ne peut pas être ma sœur ! Tomura cria. Protestant comme je m'y attendait de lui.
- Oooh allez nii-san. Je ne veux pas te voler père. Je veux juste être ta sœur. Je ponctuer mes mots en venant le serrer dans mes bras. Il se raidit rapidement levant les mains pour éviter de me toucher.
- Attention je suis dangereux ! Il avait l'air de paniqué légèrement.
- Je connais ton alter nii-san. Et je suis désolé de ce que tu as dû traverser. Moi non plus je n'ai plus personne à part père et toi. Maintenant tu m'as moi et père.
- Je… Je… Il balbutia alors que je le serais plus fort contre moi jusqu’à ce qu’il soupire doucement et se détende.
- Quel chambre voulez vous jeune maîtresse ? Notre moment de complicité fut interrompue par Mamagiri.
- Grenier ! Je prends le grenier ou la cave au choix. Je lui répondit en Il haussa un sourcil brumeux et hocha la tête.
- Le grenier est assez grand et aménageable. Mais il est relativement sombre.
- J'aime le noir. Ça sera parfait. Je lui sourit doucement avant de regarder nii-san.
- Qu’est-ce qu’il y a gamine ? Son ton était dur mais je pouvais sentir un peu d’affection sous jacente.
- Je peux jouer avec toi ? Il me regarda incrédule avant de me faire un grand sourire.
- Je pense qu'on pourrait finir par s'entendre finalement.
- Oooh et j'ai neuf en fait ! »
Je laissais derrière moi un homme fumée abasourdis et un grand frère bégayant alors que je sautillais joyeusement vers la console de jeux.
Chapter 10: Chapitre 9.
Chapter Text
J'adorais la vie. Pour la première fois depuis très longtemps j’étais heureuse. Tomura me faisant un peu penser a mon frère de ma première vie. Grognon, un peu colérique, égoïste mais aussi gentil, protecteur et foutrement adorable. Dans ma première vie j’étais la grande sœur mais cette fois les rôle étaient inversé. C’était moi qui était gâté et qui jouer avec adorable yeux de bébé araignée pour obtenir du temps avec mon nii-san adoré. On se ressemblait beaucoup, plus de famille, père violent, amour des jeux vidéo et des manga et goût pour le bizarre et le meurtre. Au-delà de l'apparence on était presque fait pour être une famille.
Au début les choses avaient été tendu, il était méfiant autour de moi. Il s'attendait toujours a ce que je finisse par le repousser. Il utilisa fréquemment son alter dans le but de me faire peur mais ma réaction fut un peu inverse. Je l'ai regardé avec des étoile dans les yeux et je lui ai dit « encore ». Il recommença et avec des cri de joie je lui ai apporté plein de chose a réduire en poussière. À la fin il souriait largement sous mes encouragement et faillit même réduire en poussière le bar. Mamagiri nous avait passé un savon et puni mais je ne changerais ça pour rien au monde.
On passait des heures à jouer et à regarder des anime. Puis l’après-midi on s’entraînait. Nii-san était doué très doué. Je me suis souvent retrouvé à essuyer le sol avec mon visage. Mais il avait une faiblesse fatal. Une faiblesse que j'ai utilisé à outrance et avec un plaisir sadique. Les chatouilles ! Au-delà de mon arme suprême j’étais plus doué que lui avec les couteaux. Et père m’avait même offert deux dague violette pour mon anniversaire quand j'ai eu dix ans. Je les ai tout de suite adoré, je me demande si Toga-sama les aimera aussi.
Pour résumer ma vie j’étais heureuse. Enfin et depuis longtemps j’attendais ça. Et je tuerais tout ceux qui viendrais se mettre pour perturber mon bonheur. Je les tuerais lentement et douloureusement jusqu’à ce qu'ils me supplie de les achever. Personne ne touche à ma famille.
Pdv. Tomura.
Gumo-chan était étrange. Je suis sûr que si je lui disais ça elle le prendrais comme un compliment. Je n’avais moi-même aucun problème avec ça mais je devais bien avouer que ma petite sœur était différente de la plupart des gens. Quand elle est arrivé un jour au bar je ne savais pas à quoi m'attendre. Quelqu’un avait découvert la faiblesse de All Might et voulait nous rejoindre. J’étais méfiant. Mais je m’étais attendu à tout sauf à une petite fille en jupe blanche qui devais avoir 7 ans. J'ai cru à une blague mais quand elle se mit à débiter des tas de choses que personne n’étais censé savoir j'ai eu peur. J’étais terrifié. Dans quel genre de piège on été tombé. Puis père l’avais appelé et quand elle est revenue quelques heures plus tard j'avais une sœur.
Au début je ne l'aimais pas. J’avais l’impression qu’elle voulais me voler sensei. Elle était toujours tellement joyeuse et de bonne humeur ça m’énervait. Mais en même temps elle me regardais comme si j’étais la chose la plus précieuse qu'elle est jamais vu et me disais toujours ce qu'il fallait quand j’allais mal. Elle me réconforter quand je faisais des cauchemars et n’arrêter jamais de venir me voir pour faire des choses. J'ai essayé de lui faire peur avec mon alter en lui montrant à quel points j’étais dangereux mais elle n'a jamais eu peur en fait elle me demandait régulièrement de l'utiliser avec des yeux brillant.
En plus elle était plutôt doué pour les jeux vidéos. J’avais l’habitude de jouer seul mais avoir quelqu’un pour jouer avec soi c’était plutôt cool aussi. Dans les faits je m’étais retrouvé avec une petite sœur hyperactive qui m’adorais et ça avais grandis sur moi. J’étais fier d’être son grand frère, cette petite boule d’énergie et de folie était à moi. C’était ma nouvelle famille et gare à quiconque lui ferais du mal.
J’avais bien vu que son sourire caché quelques chose. Parfois je l’entendais pleurer seule le soir quand elle croyais que tout le monde dormais. Sa voix devenait parfois vraiment dérangeante presque comme un sifflement tordu. Et ses menaces était toute les graphique les une que les autres. Mais elle restait ma petite sœur, une aussi déséquilibré que moi. Une qui me comprenais sans que je dise un mot.
Pdv. Kurogiri.
Ces dernières années ne furent pas de tout repos. Tomura était un enfant colérique et passionné. Un mélange parfais pour les crises à répétition mais j’avais appris à le gérer. En tant que Nomu je devais le servir mais rien n’empêcher un petit recadrage en cas de nécessité. Pourtant le nouvelle ajout à notre petite famille était bien différent. La petite Onigumo était un vrai diable par moment. Mais je ne pouvais pas lui en tenir rigueur. Son histoire était triste. Être traité comme un animal pendant plusieurs années laissé des marques. Même si j’étais un être artificiel le maître avait eu la décence de me respecter et me demander même mon avis parfois. La jeune fille a été traité comme une bête de foire. Elle avait perdu son enfance et se rattraper maintenant en se faisant gâter par le maître et Tomura. Elle ne dépassait cependant jamais les limites et montrer une grande maturité quand le sujet était sérieux.
C’était juste une enfant qui avait grandis trop vite. Une fille un peu perdu qui se jetais de toute ses forces dans ses émotions. Je dois dire que par moment elle était adorable. Elle ne me traitait jamais comme un élément du décor ou un outil mais comme une personne. Je pense que sous ses airs fou se cachait une petite fille triste qui ne voulais rien de plus que se faire aimé et je pouvais travaillé avec ça.
Bien sûr elle était sadique et relativement folle. Parfois elle préférais chassé ses propres « proies » plutôt que de manger la viande d'animaux que je lui fournissait. Mais avec nous elle limitait ses tendances animal pour devenir une boule d’énergie lumineuse. Elle passait son temps à me faire des farces cachant mes costumes dans des endroits normalement inaccessible et je m’étais trouvé à me prendre au jeu. Ces petites distractions était de petites bulles de bonheur dans mon quotidien.
Elle avait également une très bonne influence sur Tomura. Il restait une petite boule de colère mais à côté il était devenu plus responsable, plus réfléchis et surtout plus protecteur. Il n'élevais jamais la voix vers elle-même si elle se montrait parfois insupportable et insistante envers lui. Elle connaissait les limites et le laissait à chaque fois qu'il était sur le point d'exploser. La petite l'avait fait sortir de sa coquille. Il était bien plus proche d'un adolescent de son âge maintenant.
Les plafond de presque toute les pièce du bar étaient maintenant parsemé d’un réseau de toile complexe par lequel elle se déplaçait sans un bruit. Elle prenait un malin plaisir à se suspendre la tête en bas grâce à son fil pour nous surprendre et boudais quand elle n’obtenait pas la réaction qu'elle espérait. Elle devenu également bien plus doué en combat pouvant rivalisé avec Tomura sans utilisé ses membres supplémentaires. Et quand elle les utilisaient elle devenait une machine à tuer sans scrupules. Mais ses réel point fort était son intelligence et sa discrétion en faisant un génie tactique et de l’infiltration. Malheureusement elle était paresseuse et préférais dormir ou jouer que travailler quand je donnais des cours aux enfants. Néanmoins ses résultats restaient toujours excellent et bien au dessus de ce qu'on attendait d'une fille de son âge.
Onigumo m'appelait Mamagiri. Quand je lui ai demandé pourquoi elle a juste répondu que je m'occupait d'elle et de Tomura comme le ferais une mère. Cette réponse m'avais fais réfléchir. J’étais un nomu mais j'avais des sentiments et j’appréciais définitivement les deux enfants. C’était mes enfants à bien des égards. Alors j'ai accepté son analyse et ce nouveau rôle. Si quelqu’un devais protéger ces enfants je le ferais avec joie. Je n’étais peut être pas leur parent par le sang mais je les avaient élevés comme les miens et celui qui voudrait atteindre mes enfants devrait passés par moi avant.
Pdv. All For One.
Cette fille était une bonne chose. Quand elle est arrivé brandissant des connaissances qu'elle ne devait pas avoir comme une carte de visite je me suis méfié. Mais sa demande me surpris au-delà des mots.
J’étais vieux et je croyais avoir vu presque tout ce que ce monde avait à offrir mais elle réussis a me surprendre. Une fille venue d'une autre dimension réincarné dans un bébé de ce monde et qui emportait avec elle des connaissances de notre avenir. Je fut tenté de la prendre et de l’inspecteur en premier lieu mais cette envie disparut bien vite. La description qu'elle me fit de son monde me glaça d'effroi. Des bombes rasant des villes ? C’était bien trop dangereux. La corruption rampante, la pauvreté, la haine, le harcèlement. Ce monde était un véritable chaos en comparaison du notre. Oui le mal exister ici aussi mais les gens se lever la plupart du temps contre lui.
Son histoire était tragique comme celle du jeune Tomura et pourtant elle réussissait encore à sourire et aimé bien que d'une manière maniaque et tordu. Elle était une enfant avec un bagage émotionnelle bien trop lourd pour ses frêle épaules. Elle me partagea tout ce qu’elle savait sans limite. Elle ne cacha rien même si elle savait qui j’étais et ce que je pourrais lui faire. Sa confiance je décidais de la récompenser. Si elle voulait une famille je la lui offrirais. Elle serait ma fille, ma deuxième héritière. Elle préférait les ombres à la lumière, elle serait la face caché de la pièce qu’était le jeune Tomura.
Ses compétences ne cessèrent de m’impressionner, elle n’hésitait pas à tuer au contraire elle y prenait un plaisir sadique. Et ses compétence en infiltration était mêler à un esprit tactique rarement vu. Elle apprit également à pirater et se révéla très doué pour ça redirigeant notre argent et les signalement de nos activités illégal jusqu’à les faire disparaître.
Je lui avais offert deux couteaux pour son anniversaire il y a quelques années et je me souvient encore de son regard ce jour là. Aucune peur, aucune arrière pensée, aucune malice mais de l'amour pur. Je ne pensais pas voir un jour où ce genre de regard me serait adressé. Ce jour là je su que je ne regretterais pas de l'avoir accepté et qu'elle était ma fille. Après d'intense chamailleries elle réussi même à faire en sorte que Tomura m’appelle père plutôt que sensei ou maître. Ses pitreries furent un phare lumineux dans nos plans qui se mettrai en marche cette année.
Pdv. Giran.
Quand une petite fille de neuf vient te voir avec un dossier de police volé et demande à te voir tu le fais. Tu ne cherche pas, tu ne réfléchis pas, tu le fais. Ça je l’avais bien compris. Si en plus la petite fille en question paye bien et est poli alors mon pote tu as une pépite ne la lâche pas.
Onigumo Shigaraki, numéro 0666. Tueuse en série et vilain de classe S. Apparence inconnu toute photo d'elle ayant « mystérieusement » disparut peu de temps après sa disparition. Son nom de vilain l’Arachnée était connu par tout ceux du milieu souterrain. Une puissance sur laquelle comptais. Un monstre sadique cannibale. Un génie du piratage. Et surtout une fille adorable dont les grand yeux innocent était le masque parfait pour une sociopathe dangereuse. Bien sûr cette dernière partie personne ne le savait à part moi et sa famille.
Tout ceux qui enquêtaient sur elle disparaissaient avant de réapparaître dans des mise en scène macabre. Je ne savais pas ce qui l’avait empêché de me faire la même chose mais je remercierais volontiers tout les dieux connus pour cette grâce. Être vivant c’était suffisant pour moi je n’avais pas besoin de plus.
Alors quand apparut sur mon bureaux une enveloppe contenant suffisamment d'argent pour commandité les meurtres de la moitié des meilleur héros du classement avec la demande de créer une nouvelle identité pour Onigumo dans le but d’infiltrer UA je n'ai pas hésité. J'ai mis mes meilleures hommes sur le coup. Créant la vie d'une fille nommé Aiko Hirashi. Moyenne en presque tout point avec un alter nommé « fille araignée ». Pour quiconque creuserai dans son passé ne trouverais absolument rien de compromettant. Aux yeux de la loi Aiko était une étudiante moyenne et sans histoire dont le rêve était de devenir un pro héros. Je fut moi-même fier de mon travail ne trouvant aucune faille dans cette nouvelle identité. Et avant même que je ne puisse envoyer un message pour assurer que le travail était fait je reçu un « merci » avec des coordonnées pour y déposé les documents officiel.
Une chose était sûre. Je n'essayerais jamais de doublé cette fille je tenais bien trop à la vie pour me suicidé au purement et simplement.
Chapter 11: Chapitre 10.
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Le plan était simple. M’infiltrer à UA et entré dans la classe 1A. Je peux y arriver, je peux y arriver. Non ! Je peux pas ! Tu sais ce genre de problème ça touche un homme sur quatre… Oh et grande nouvelle j'ai maintenant une emmerdeuse sarcastique dans la tête. Et de toute façon de quoi tu parles ? Je suis même pas un homme ! Moi aussi je t'aime. Et je suis pas sarcastique. Tu es sarcastique. Je suis juste toi qui assume d’être la connasse aigris que tu as au fond du cœur. Ouais… Ouais…
Je sortais de ma réflexion pour m'effondrer dramatiquement sur le bar à côté de Tomura et Mamagiri.
« - Gumo-chan rassure toi. Tout vas bien se passé.
- Mais l’école Tomura nii… L’école ! Eurk… Je crachais le dernier mot avec venin recevant un sourire narquois de mon frère.
- C’est toi qui as insisté Gumo-chan assume !
- Ouais bah c’était pour échapper a ta sale gueule desséché Crusty ! Ma réplique le fit sourire encore plus largement.
- Bah tant pis pour toi la loli tu reviens ici tout les soirs. Je reniflais dédaigneusement pour toute réponse.
- Allez y jeune maîtresse vous risquez d’être en retard pour l'examen.
- Mamagiriiiiii sauve moi ! Je veux pas y allé !!!! Je pleuré en m’accrochant au costume de l’homme fumée.
- Dommage car vous irez quand même. Le ton était finale et sans appel je savais que j’avais perdu alors j’ai reniflé en essuyant des fausses larmes de mes yeux.
- Traître… Je boudais encore quand il haussa les épaules en ouvrant un portail sous mes pieds. »
Les ténèbres m’m’avalèrent en un instant et je me retrouvais dans une ruelle a proximité de UA. Je soupirais un bon coup avant de me redresser. Ma deuxième vie n’avait pas effacé mon dégoût pour l’école qui datait de la première. Les grosses sont des monstres et l’école était nulle rien n’avait changé de mon point de vue mais on moins cette fois j’irais pour autre choses que les « résultats scolaires ». Et accessoirement c’est plutôt toi le monstre ici. Oui ça aussi. Cette fois c’était moi le traître de UA alors j’avais qu’à voir cette expérience pathétique comme un jeu. Allez Gumo ! Tu peux le faire !
Je me suis élancé d'un pas décidé. Je rentrait entre les grilles quand j’ai sentit mon pied taper dans une dalle un peu surélevé. J’allais tomber quand je sentis une main me touchait alors que je commençais à flotter. Attendait je flotte ?! Oh oooooh…. JE FLOTTE !!!! C’est un petit pas pour l'homme et un grand pas pour l’araignée ! Ouais mais surtout ça veut dire ? Que c’est physiquement impossible et qu'on doit avoir prit de sacré champi ? Non ! Ça veut dire ! Merci Ochaco ! Tu es un cadeau bénis des dieux ! J'ai lentement tourné en flottant jusqu’à faire face à une fille adorable aux joues rose qui le fixait d'un air inquiet.
« - Salut. On dirait pas mais en général je flotte pas quand je rencontre les gens pour la première fois ~ je gloussais doucement en la regardant.
- Oh désolé je te relâche tout de suite ! Libération. Elle posa ses doigts recouvert de coussinets les un contre les autres et je sentit à nouveau la gravité sur mon corps.
- Oh merci. Ça aurais vraiment été la honte de tombé en arrivant ici. Après avoir atteint le sol en sécurité je me suis tourné vers elle avec un sourire.
- Oui ça aurais été signe de malchance si tu étais tombé là. Ochaco me sourit timidement.
- Oh j'en oublie mes manières Aiko. Aiko Hirashi ravie de te rencontrer. Je lui ai tendu la main avant de me souvenir de son apparence insectoïde.
- Ravie de te rencontrer Uraraka. Ochaco Uraraka. À ma grande surprise elle la prit sans me poser de questions embarrassante ou bizarre.
- Oh euh. Et bien on se verra tout a l’heure j’imagine… Un peu gêné je lui sourit et partit en faisant un signe de main. »
En m’éloignant je fut assaillit de pensées. Normalement c’était Izuku qui devait moquer de se tôler la gueule comme une merde pas moi. Ma présence avait déjà modifié cet élément de l’histoire ? Et si c’était moi qui me manquer de tombé à cet instant. Où étais Izuku ? Chez lui en train de se remettre de sa dernière sodomie par notre poméranien préféré ? Et tu sais quoi ? Non ? Ta gueule…
Je fut rapidement tiré de mes pensées quand quelqu’un me bouscula violemment dans l’épaule. Un blond à l'air énervé Poméranien Blond à l'air énervé me dépassa sans me prêter attention. Ça j’étais sûre que c’étais Bakugo. Je ne l'avais jamais aimé. C’était juste une brute glorifié à mes yeux. Un gamin avec un tel sentiment de ne pas être assez bien qu'il a détruit tout ceux autour de lui qui avaient une chance d’être meilleur. En gros l'essence même de tout ce que je détestais. Égoïsme, injustice et arrogance. Pour l’arrogance je trouve que tu n'as rien a lui envié. Du con on est la même personne ! Ouais justement qui à la tête assez grosse pour que deux lui puisse discuter ? Je sais pas une personne mentalement dérangé ? Peut être ou une fille à l'ego sur gonflé. Crois ce que tu veux voix dans ma tête-chan.
Je crachais mon venin métaphorique dans le dos du petit con pendant qu'il s’éloignait avant de me diriger vers la salle où aurais lieux les test écrits. Même si je n’étais pas issus de ce monde les cours de Mamagiri devaient avoir comblé toute lacune potentiel qui aurait put me poser problème. Ça et le fait que c’est un test niveau lycée et que tu as été à la fac même si tu as abandonné au milieu. Ouais ça aussi
Je me suis installé en silence en observant les autres candidats. Beaucoup de visage inconnu mais je repérer une fille à la peau rose et le scintillement d'Aoyama au premier rang. Mon dieu comment réussissait-il à briller même dans la vrai vie ?! Magie ? Effet de paillette a vingt balles sur un jeu vidéo que tu as déjà acheté ? Hé ! Cet effet le valait largement !
On nous distribua le test et tout le monde commença à griffonné en rythme. Aaah le doux son des stylo grattant le papier. Souvenir… Souvenir…. ATTENDS ! Tu es pas là pour rêvasser ! Stupide Gumo ! La ferme…
Je me suis penché sur le test et le remplis sans trop de difficulté. Le test était simple. Je me suis assuré d'y laisser quelques heure pour rester dans la moyenne haute et j'ai attendu la fin de l’épreuve. Quand l'examinateur ramassa tout les tests j’étais entrain de dessiné All Might dans des positions suggestives diverse avec le corps d'un mannequin. Il fronça les sourcils mais choisis de m'ignorer sans dire un mot. Tu aurais dû faire les courbes plus léché voyons ! Je suis d’accord avec lui c’est décevant… Mais il ! Non laisse tombé…
Tout le monde se dirigea ensuite vers un amphithéâtre digne d'une université de ce calibre. En bas sur l'estrade se tenais Present Mic. J’étais donc au bon endroit, parfais. Je me suis installé au fond de la pièce dans l'ombre et commença à fredonner. Une souris verte ~ Tout sauf ça ! Bouh… Aucun respect pour les classiques…
« BONJOUR À VOUS JEUNE AUDITEURS ! EST-CE QUE VOUS ÊTES CHAUD ?! »
La fameuse phrase du héros du son rencontra la même énergie que dans le canon. Je ne put réprimer un gloussement alors que Present Mic reprenait contenance après son bide.
Il expliqua les même chose que dans le canon. Blabla robot, blabla points, blabla trois différent robot. Jusqu’à ce que quelques chose de différent du canon se produise.
« - Monsieur vous avez dit qu'il y avait quatre sorte de robot pourtant vous n'en avez parlé que de trois. Si c’est une erreur, je suis déçu par l’académie numéro 1. Quand à toi arrête de fredonner tu déconcentre tout le monde. Si tu crois que c’est un jeu tu ferais mieux de rentrer chez toi ! » Tenya Ida, frère d’Ingenium avait fait sa déclaration. Pourtant la cible c’était moi. Pas Izuku qui aurait dû marmonner dans son coin. Non moi… Bordel mais où es-tu Izuku ? Encore une fois il se remet de sa dernière partie de jambe en l'air je t'es dit. Je préféré ignorer mon colocataire indésirable et ramener mon attention vers le présent.
Je me suis redressé laissant les considération sur mon rival en amour de côté. « Le professeur allait justement expliqué quel était le dernier robot et je suis désolé de t'avoir déconcentré à écouter un speech qu'un enfant de dix ans aurait put suivre ~ » Boum headshoot Bon bah laissons tomber la discrétion. Mais raaah Ida est un vrai con avec son « respect des règles » et sa « politesse ». Mec sérieux… Sors toi ce ballet du cul non ? Si c'est son fétiche tu sais tu devrais vraiment le laissé s’exprimer. Mais ferme là…. Je me suis effondré sur ma table en soupirant dramatiquement.
Ida se rassit en silence après ma petite explosion alors que quelqu’un ricanements se firent entendre. Present Mic nous ignora après un instant de réflexion et expliqua à tous le principe des pointeur zéro. Pas de point en le battant, donc un obstacle a éviter. Je n'en revenais que l’examen d’entrée soit aussi biaisé sur la force des participants. Et ça soulever sérieusement la question de comment Tooru avait elle réussi à passer ? Un passage sous le bureau ? Et comme elle est invisible aucune trace du crime ! Tu sais que tu es dégueulasse ? OUI ! Mais le problème c’est que je suis toi. Tu marque un point…
Je me suis retrouver devant l'immense porte arborant un B en compagnie de quelque candidat. Bien où es tu Izu-chan ? Merde aucun brocoli à l'horizon. Je sais bien qu'il avait tendance à se faire discret mais là c’était carrément fort. Remarquant Ochaco dans un coin qui était au bord de l'hyperventilation j'ai décidé une fois de plus de prendre sa place et d’aller la rassurer. Aucun hérisson bleu en vue ? Parfais !
Je me suis dirigé vers elle avec un sourire joyeux mais fut arrêté brusquement par une main sur mon épaule. Merde j'avais pas regardé derrière moi… Toujours vérifié les angles morts première leçon de conduite !
« - Qu’est-ce que tu crois faire ? Elle essaye de se concentrer. Tu n'essayerais pas de la troubler pour éliminer de la concurrence. Mon sang bouillit une fois de plus et une de mes pattes écarta Ida sans ménagement.
- Ne pose pas tes sale mains sur moi. Je suis déjà réservé pour la meilleur fille du monde ~ Et de plus je te trouve bien rapide pour assumer mes intentions. Je voulais allé la rassurer robocop. Je me suis détourné de lui et marcha en direction d'Ochaco.
- Oh salut Aiko. Désolé je ne t’avais pas vu. Ochaco rougit adorablement en prenant une profonde inspiration.
- Il n'y a pas de mal. Je voulais juste te souhaiter bonne chance. Je suis sûre que tu vas t'en sortir parfaitement. Je lui fit un sourire encourageant en lui tapotant l’épaule.
- Bonne chance à toi aussi ! Elle me rendit le sourire et hocha la tête. »
Allez Gumo. Maintenant que tu as arrêté de jouer à Deku concentre toi. Les immenses portes s’ouvrirent en grinçant. Je me suis aussitôt élancé mes jambes d’araignées me permettant de bondir à grande vitesse. Attrapé les tous ! LES ROBOTS !!! Sérieusement ?! Quoi ?! Tu croyais que j'allais gâché une si belle opportunité ?! J’abandonne….
Au loin j’entendais Present Mic qui disait aux autres de partir à la chasse aux points. J'avais au moins un peu d'avance.
Déjà devant moi je voyais un groupe de robot. Je déployais mes pattes et trancha l'acier qui se trouvait sur leur passage. Déjà trois robots à terre. J'évitais habilement les tirs de balles en caoutchouc en sautant au dessus de mes cibles. Mes griffes tranchèrent en un instant l’acier. Tout cet entraînement avec nii-san avait porté ses fruits. J'éliminais rapidement le reste des robot avant de m'élancer à la recherche de nouvelles proies.
Les minutes passaient et le compteur indiqué déjà que j’avais atteint 47 points. Un bon score mais pas encore assez… Je devais être sûre de rentrer dans la classe 1A. Depuis le toit sur lequel j’étais posté je sentit le sol se mettre à vibrer. Ah ça commence. Une gigantesque silhouette se dressa au fond de la zone. Le pointeur zéro. La pièce de résistance. Je mourrais d'envie de l'affronter mais je devais le laisser à Deku… De toute façon ça ne me rapporterais rien de le détruire. À part la gloire immense d’être celle qui a vaincu le pointeur zéro ! Eugh… Arrête de me déprimé…
Je continuais mon massacre de mon côté accumulant un maximum de ponts quand j'entendit un appel à l'aide familier. Ochaco ! On était pile au moment du début de la gloire de Izuku. Je me suis glissé à travers les bâtiments en ruine pour me rapprocher de la scène. Ma curiosité avait raison de moi. Je savais que je devais accumulé un max de point mais je mourrais d'envie de voir l'action en vrai. Bah de toute façon je pense que j’avais assez de points. Tu veux surtout voir un gros robot de près. Ça aussi oui.
Je suis arrivé devant la rue parsemé de gravats et repéra rapidement notre cher Uravity. Comme dans l'anime sa jambe était bloqué par un tas de béton.
Je me suis caché dans les ombres attendant de voir arriver Deku. Le pointeur zéro s’approchait de plus en plus. Waouh tu as vu la taille de ce trucs ?! Ouais… J'en reviens pas que Deku ait réussi à le démolir… Bon focus Gumo… Allez deku… Maintenant ? Non… Merde où est-ce que tu es stupide brocoli ? Ta copine a besoin d'aide là ! Montre toi.
Le robot n’était plus qu’à quelques mètres et toujours rien. Merde il aurait déjà du être là. Où est-ce que tu te caches ? Si tu viens pas vite je vais devoir intervenir ! Et merde ! Le poing d'acier était sur le point de s’abattre sur la fille quand je me suis mise sur le chemin. Mes quatre pattes rencontrant le bras géant pour l’arrêté.
Le choc secoua mon système et je vomis un peu de sang. Mes pieds s'enfoncèrent de quelques centimètres dans le sol et j’avais l’impression que mes pattes allaient éclaté d'une seconde à l'autre. Mais au moins j’avais arrêté le bras du titan. Parle pour toi de pas attiré l’attention Gumo idiote.
Le robot ramena le bras vers lui pour attaquer à nouveau mais heureusement pour moi il était lent. J'ai profité de cette courte fenêtre pour dégager la jambe d’Ochaco et la prendre dans mes bras. Avec un bond puissant je me suis éloigné à toute vitesse en direction des autres candidats. Rebondit Spoink !!!
Devant moi se tenait quelques candidats comptant entre autre notre Robocop hait.
« - Encore toi ! Qu’est-ce que tu as fais à cette pauvre fille ?! La voix de Ida s’éleva à nouveau. Merde pourquoi tout le monde continuer à croire que j’avais les pires intentions. Tu sais c’est généralement le cas… Je sais mais merde présomption d'innocence les gars…
- Je l'ai sauvé du con. Elle allait mourir par ce que vous étiez tous obnubilé par votre propre trou du cul. J'ai grincé méchamment en sifflant.
- Surveille ton langage ce n'est pas un comportement très héroïque ! Il parla en bougeant la main comme un robot. Ouais définitivement Robocop.
- Ouais ouais c’est ça… Je suis relevé avant de tombé à genoux et de toussé à nouveau une gorgé de sang.
- Tu… tu vas bien ? Ida eu au moins la décence de paraître inquiet mais je le repoussait.
- Ça va. Ochaco s'est évanoui par contre. Je vais devoir te la laissé. Je te fais confiance Robocop. Je suis redressé avec succès cette fois et me tourna en direction du robot.
- Attend ! Qu’est-ce que tu comptes faire au juste ? Le futur délégué me regarda avec un air inquiet.
- M’assurer que personne d'autre ne risque d’être tué. Je lui fit un clin d’œil et un sourire narquois avant de m’élancer vers mon destin. »
Dis surtout que tu crève d'envie d'affronter ce machin pour le frotté sur le visage de nii-san. Eugh… Moyen de cassé ma classe naturelle… De la classe ? Quelle classe ?! Je suis toi et nous savons tout les deux très bien que tu voulais juste avoir l'air cool. Allez ! Laisse moi ça ! On s'est réincarné dans un putain d’anime. C’est notre job d'essayer d'avoir du style ! Si tu le dis. Je trouve juste que tu en fais trop. C’était tellement surjoué ! Je te déteste… Moi aussi je t'aime ~
ALLEZ MAINTENANT C’EST L'HEURE DE SE FAIRE UN ROBOT GÉANT !!!!
Je me suis élancé vers l’avant avant de sauter pour prendre appuis sur un mur. Cible droit devant ! Difficile à manquer il est énorme ! T'as vu hein ! Putain je frissonne d’excitation à l’idée de le buter. À ton avis est-ce que les robots saignent ? Il n'y a qu'un moyen de le savoir mon cher moi. Ouais. Le découper en rondelle.
Chapter 12: Chapitre 11.
Chapter Text
Je me suis élancé en direction du titan d'acier. Le robot continuait à ravager les rue de la petite ville en ruine. Il était gigantesque. L'anime ne lui avait clairement pas rendu justice.
Je sautais de toit en toit pour m'approcher. Mon corps été douloureux et ma respiration laborieuse. C’est ce que tu gagnes à jouer aux héros… Je sais… Tu aurais dû la laisser mourir. Ça foirerait l'intrigue et tu le sais très bien ! Point pris. Tu aurais quand même dû trouvé un autre moyen que d'essayer d’arrêter un poing géant à mains nues. Hé ! J’ai pas réfléchi ! Désolé de pas savoir improvisé en trois secondes !
Je secouais la tête en soupirant, lassé de mon débat interne. Le robot n’était plus qu’à une dizaine de mètre et me tournait le dos. Mes yeux parcoururent son corps à la recherche de point faible exploitable. Rien de facilement atteignable sans me mettre en danger immédiat. Merde ces robots étaient bien conçu. Pourquoi ne les utilisaient-ils pas contre les vilains ?! Problème de moyens et d'image j'imagine. Je vois mal les gens faire confiance à une boîte de conserve mobile. Alors quoi ? Ils préfèrent le sourire crispé et flippant de notre cher héros numéro 1 ?! Hé ! Je suis d’accord avec toi moi. Les gens sont juste étranges. Sur ce point on est d’accord.
Je bondit distraitement sur le tête du robot avant de plonger mes pattes dans l'acier pour éviter de tomber. Le colosse agita ses bras et essaya de me décoller sans succès. Alala… Quel malheur pour lui d'avoir des bras articulé plutôt que flexible comme les humains. Je me suis mise à méthodiquement arracher de long pan de métal avec mes bras pour accéder à ses circuits. Absorbé par la tâche je ne vis pas que le pointeur zéro s’était baissé et foncé tête la première dans un petit immeuble.
Vous voyez quand vous faites un plat à la piscine ? Bah se prendre un immeuble en pleine face c’est dix fois pire. Je me suis retrouvé sous un tas de petit gravats du sang dégoulinant de diverse blessures et les plaques de armure naturelle fissuré. Un de mes bras avait prit un angle non naturelle et j'avais perdu de pattes. En gros je douillais grave. Une douleur sourde dans ma poitrine pulsait à intervalle régulier. Merde qui avait eu la brillante idée de mettre un tel monstre pour un examen d’entrée ? C’est toi qui a insisté pour l'affronter je te rappelle. Ouais je sais…
Je me suis levé en boitillant ma main encore valide s'appuyant sur le mur. Je sentais déjà mon alter réparé lentement les dégât mais j’étais mal. Le pointeur zéro était tourné vers moi près à frappé. Hé moi ? Ouais ? Je te laisse la place… Oh dieu merci je rêver d'envie de m’amuser. De rien. Essaye quand même de pas détruire notre corps. Je vais essayer mais je promet rien ~. Je fermais doucement les yeux me laissant envahir par l'autre.
Pdv. Pro Héros.
« - Mais éteignez ce robot enfin ! Un homme avec les yeux fatigué et de long cheveux noir s’écria en voyant le robot commencé à s’abaisser pour foncé dans le mur.
- J’essaye depuis tout a l'heure mais les commandes ne répondent plus ! Une chose ressemblant a un mélange entre une souris, un ours et un chien répondit avec un air paniqué.
- Assez ! Je descend pour l’aider ! Un voix grave sortit de la bouche d'un homme musclé et souriant quand le robot percuta un immeuble de plein fouet.
- Attend All Might… Regarde.
- Quoi Vlad ? La gamine va se faire massacrer si je ne me dépêche pas.
- Regarde je te dis ! Touts les enseignants se tournèrent vers l’écran de surveillance. La gamine semblait être brisé en morceaux mais une chose ne collait pas.
- Elle rit ?! L'homme fatigué demanda incertain de comprendre réellement ce qu'il voyait.
- Ouais elle rit… Les héros étaient tous abasourdi devant le spectacle de cette fille gravement blessé entrain de rire devant ce qui risquait de la tué.
- Peu importe je vais sauvé cette gamine ! All Might s’écria en se dirigeant vers la porte avant de se figer le visage pâle. »
Dans la pièce tout le monde retient son souffle. L'air était devenue aussi épais que du sirop et ils eurent tous l’impression d’être observé par un démon à cet instant. Ils regardèrent à nouveau l’écran pour apercevoir que ce sentiment horrible provenait en fait de l'intention de tuer de la petite fille face au robot géant. Nezu « la chose chien, souris, ours » prit ses notes fébrilement et tourna les pages jusqu’à tombé sur le profil de la fille en question.
« - Aiko Hirashi. 16 ans. Alter « fille araignée ». Note dans la moyenne. Famille normale…
- Un profil typique. Mais ça n'explique pas cette monstruosité. Aizawa l’homme fatigué fronça les sourcils.
- Je suis moi-même curieux de savoir comment une fille aussi banal peut produire une aura meurtrière aussi sombre. Nezu soupira en regardant à nouveau l’écran.
- Je la veux dans ma classe. Aizawa annonça catégorique.
- Elle sera en 1A alors. Surveille là Aizawa.
- De très prêt. Aizawa hocha la tête en regardant à nouveau l’écran ou la fille évitait les attaques du pointeur zéro en riant aux éclats. »
Pdv. Onigumo bis.
Aaah ça faisait longtemps que je ne m’étais pas sentit aussi vivante. L'autre moi m'avait laissé la place pour jouer avec le robot géant. Je fit craquer mes articulations douloureuse et remua les épaules testant les muscles. Hummmm… Bras cassé, deux pattes manquantes, trois côtes fracturé et des saignements internes…. Tu étais obligé de te prendre ce mur ? J'ai pas fais attention… Oui ça j'ai remarqué. Je fais attention moi ~. Eugh la ferme et finit ce boss. Enfin tu me rejoint sur le fait de voir la vie comme un jeu ? Non la ferme et détruit le. Oooh pauvre moi. Si triste. Je te déteste… Moi aussi je t’aime ~
Je sautillais sur place pour testé mon corps. Aaah qu’est-ce que ça fait du bien d’être libre. Je me suis mise à gloussé en prenant plaisir à ressentir tout ce qui m'entourais. Même la douleur était une expérience que j’étais heureuse de vivre pour la première fois.
Une secousse me ramena à la réalité. Ma proie avait commencé à se mettre en mouvement. Alors c’était à mon tour de me mettre à chasser. Un sourire sinistre se dessina sur mon visage alors que j’abaissais mon bassin prête à bondir pour éviter ses attaques.
Un poing géant s'abattit sur mon ancienne position alors que je tournoyais gracieusement en l’évitant. Oooh le grand garçon voulait jouer ? Nous allons jouer alors ! Dommage pour toi que je suis mauvaise perdante ~
Les attaques du pointeur zéro se multiplièrent sans jamais réussir à m'atteindre. Une jambe ? Je sautais au dessus. Un poing ? Une jolie pirouette. Une charge ? Il se prend dans ma toile et perd du temps à se libérer. J’étais le chasseur, il était la proie. Une proie désespéré et prise au piège. Je ne pouvais m’empêcher de rire face au sentiment de puissant qui m'envahissait.
J'avais lentement joué avec ma proie, lui arrachant des morceaux à chaque fois qu'une articulations était à porté. En à peine une minute il était déjà entrain de grincer et avait des difficultés à se déplacer. Je soupirais en regardant le chrono. Le temps était presque écoulé dommage… J’allais devoir finir de jouer. Je sautais avec un visage peiné directement vers la section du cou du colosse. Un coup de griffe bien placé plus tard la tête commençait à chuter vite suivis par le reste de la machine.
Ah… J'allais devoir rentrer. Après tout la mission était accomplie. T’inquiète pas je te laisserais sortir pour jouer cette semaine. Tu as pas intérêt à oublié. Je m'ennuie moi ~ Promis je te laisserais une soirée pour chasser. Marché conclut boss ! ~
Je me suis à nouveau laissé plonger dans les ténèbres alors que ce corps retournait à sa propriétaire.
Pdv. Onigumo.
Le retour au contrôles fut pour le moins désagréable… Mes blessures me faisaient souffrir deux fois plus après que mon colocataire se soit amusé. Enfin c’était toujours mieux qu'au centre. Les scientifiques étaient vraiment très doué pour faire des test de résistance à la douleur… Je m'endormais souvent en pleurant à l’époque. Raaah juste me souvenir de cette époque ça m’énerve. Tu sais c’est un miracle que tu sois pas devenue folle après ce genre de traitement. Oh suis-je bête tu l’étais déjà ! Exactement ! Hé ?! Pourquoi est-ce que je suis fière de ça ? Sûrement parce que toutes les meilleures personnes sont folles. Regarde Toga-sama par exemple. Oui… Cette fille est une vrai sociopathe quand j'y pense. Tu sais que tu l'aimes pour ça ~ À la folie !
Je ramenais une de mes pattes restante vers mon visage pour regardé l'huile qui dégoulinait sur le sol. Au moins ça répond à ma question. Les robots saignent. Dommage que ce soit moins appétissant que le sang humain…
Le test était terminé maintenant. Et j’étais sûre de me récupérer un paquet de points bonus avec mon sauvetage particulièrement héroïque. Si seulement tu pouvais en perdre pour ton arrogance… Tu dis ça comme si tu voulais me voir échoué ! Oups ~
Quand même il reste une question sans réponse. Où est ce foutu trouillard aux cheveux vert. Et pourquoi est-ce que je sens que je ne vais pas aimer la réponse…
Je me suis dirigé vers l’entrée de la zone B en réfléchissant à un moyen de savoir ce qu'il était advenu de mon cher rival et la seule piste qui me venais était Bakugo… Et honnêtement je n'avais vraiment pas envie d'interagir avec ce bâtard plus que nécessaire.
Un groupe de candidats était ressemblaient autour d'une vieille femme en tenue de héros. Elle posait ses lèvres sur chaque personne blessé et une aura verte guérissait chaque blessure à grande vitesse. À Recovery Girl la héros médecin. Même si son pouvoir était pratique je n’allais sûrement pas laisser cette femme poser les lèvres sur mon corps. Cette œuvre d’art était un temple réservé à ma blonde cannibale préféré.
Elle me vit arrivé et pâli en regardant l’état de mon corps. Je dois dire que je faisais peine à voir. Ma robe à corset était déchiré et trempé de sang. Mon bras droit pendait mollement sur ma hanche et si la peau avait été visible sous mon armure je suis sûre qu'il serait d'une belle teinte violacée. Mes deux pattes gauches avaient été arraché et même si elles commençaient à régénérer, merci dieu, elles étaient toujours assez moche à regarder en l’état. Et mon corps était couvert de contusion et de coupure diverse et variés. En gros j'avais l'air de sortir d'un champs de bataille. C’est ce que tu viens de faire idiote. Ah ouais bonne remarque. Donc je sortais clairement d'un champs de bataille.
« - Toi là. Viens ici tout de suite. Je vais te soigner. Recovery Girl m’appela vivement alors que j'essayais de la dépasser sans me faire trop remarquer.
- Non. Ne vous inquiétez pas. Tout vas très bien ! Je lui lançait un sourire rassurant qui fut gâché par ma démarche clodiloquante.
- Tu as vu dans quel état tu es ?! Tout les autres seraient en train de hurler d'agonie avec des blessures pareilles ! Son ton en colère était tellement en contraste avec son envie de m'aider que je me put m’empêcher de rire.
- Désolé vraiment… Je vais bien. Je peux me régénérer. Je réussis à lui répondre entre de rire douloureux à cause de mes côtes cassé.
- Et mon dieu qu’est-ce qui te fais rire comme ça ?!
- Je suis désolée… C’est juste… C’est juste que c'est la première fois que quelqu’un m'engueule pour me soigner. Je repris difficilement mon sérieux et mon souffle.
- J’espère bien que tu vas t'y habitué. Mais qu’est-ce que tu as fais pour te mettre dans cet état ?! Autour de nous de nombreux candidats avaient commencé à se rassembler et écoutaient le laïus de la vieille femme.
- J'ai… J'ai peut-être affronté un robot géant ? Ma réponse fut presque sifflé entre mes dents mais le héros médecin l’entendit visiblement car elle jura dans sa barbe.
- Peut-être ? C’est une question ou une affirmation ? Son regard noir me fit haussé les épaules. La foule était de plus en plus nombreuse et leur regard persistant sur mes blessures commençaient à me mettre mal à l’aise.
- Je vous assure que je vais bien. Et je vous promet que je viendrais vous voir si j'ai besoin de votre aide. Elle me fixa pendant un long moment voulant visiblement vérifier mon honnêteté avant de hoché la tête.
- Mais j’espère ne pas avoir à te faire utilisé mes services. Je hoché la tête frénétiquement avant de m'enfuir le plus vite possible loins de la foule de curieux. »
Ça c’est une promesse que tu ne tiendras jamais. Peut être mais elle ne m'aurais jamais laissé partir si je ne lui avais rien laissé. Et les regards de la foule commençaient vraiment à me faire paniqué. Tu sais c’est ironique. C’est toi la tueuse en série ultra recherché et eux ce ne sont que des proies. Tu ne devrais pas avoir peur d’eux. Je sais… Mais ça se contrôle pas tu les sais très bien. Oui. Je sais… Bon… Arrêtons les constats déprimant et prenons une douche. Je pues le sang, l'huile et la poussière.
Ma douche fut assez rapide. Malgré la douleur et mes blessures je réussis à me débarrasser de toute la crasse qui avait finis par recouvrir mon corps. Ces blessures laisserais des cicatrices mais ce ne serais sûrement pas la première fois. Les parties visible de mon corps étaient couverte de fine ou moins fines traces blanches qui tranchaient avec la couleur grise de ma peau. Ironiquement le réseau de cicatrice ressemblait vaguement à une toile d’araignée.
Après m’être lavé je pris mes vêtement de rechange et sortit dehors. Prochaine objectif trouver Bakugo et l’interrogé sur Deku. Oui trouvons le poméranien et interrogeons le ~ Tu sais je vois déjà quel genre d’interrogatoire tu veux lui faire passer. Et bien que l’idée de torturer ce tyran miniatures soit tentante je pensais plutôt utilisé un peu plus de… subtilité ? Tu n'es pas drôle Gumo-chan… Désolé mais on ne peut pas torturer tout ceux qui croisent notre chemin. Dis moi qui a dit ça que je le trouve et le torture. Moi ? Alors c’est pas valable. Tu t'es laissé défoncé par une boîte de conserve. En quoi ça a un rapport avec la conversation au juste ?! Aucun rapport. Je voulais juste de rappeler que j’avais dû sauver tes petites fesses ~ Tu es vraiment une conne… Oui mais je suis toi ~ Encore une fois. Tu marques un point…
Je fus une fois de plus tirée de mes pensée par quelqu’un qui me bouscula sans s’excuser. Et je ne connaissais qu'une seule personne avec un tel caractère ! Katsuki Bakugo.
« - Hé toi ! Le blond avec un regard de perdant ! Mon insulte ne passa pas inaperçue car il se contracta immédiatement avant de se tourner lentement vers moi avec un visage rageur. En gros son visage habituel.
- Qu’est-ce que tu as dis, extra ?
- J'ai une question à te poser poméranien chérie. Je pus voir les petite explosion sortir de ses mains alors qu'il avait l'air d’être sur point d’explosé.
- Répète ça un peu !
- Ooh désolé je ne voulais pas te froissé « kaachan »… Il pâlit considérablement quand je dis le dernier mot. Merde maintenant j’ai un mauvais pressentiment.
- Ne m’appelle pas comme ça… Son ton était dur mais il avait l'air d'avoir vu un fantôme. Honnêtement ça me faisait un peu de peine même à moi de le voir comme ça.
- D’accord mais répond à ma question.
- Qu’est-ce que tu veux ?
- Je cherche Izuku. Tu sais Deku. On est amis et on s’était promis de passer l'examen ensemble.
- Amis ? Le nerd n’avait aucun ami. « Avait ? » Merde qu’est-ce qui est arrivé à ce brocolis de mes deux ?
- Tu as pas répond à ma question. Où il est ? Je l'ai cherché toute la journée.
- Il est mort. Le froid de sa réponse me figea sur place. Mort ? C’est une blague ?
- Si c’es une blague ce n'est vraiment pas drôle… Allez dis moi. Je crois que j’implorais un peu à la fin de ma phrase. Parce que si c’était vrai c’était une catastrophe.
- Ce n'est pas une blague. Le nerd est mort. Il y a environ dix mois maintenant. Il me regarda avec un air de pitié. Bakugo de la pitié ? Je devais rêver.
- Il ne peut pas être mort ! Tu sais ce n’est pas drôle du tout. Je sais que tu ne l'aimais pas beaucoup mais tu as pas à dire à ses amis qu'il est mort ! Merde moque toi de moi Baku. Cris moi dessus que je suis idiote et inutile. Arrête de me regarder comme si j'allais me brisé en morceaux !
- Je suis désolé… Il est mort. C’est la vérité. Le ton du blond me glaça le sang. Ce n’était pas une blague ? Il est mort ? Mais si il est mort ça veut dire… Ça veut dire que… je l'ai tué ? J'ai tué Deku ? »
Je sentis deux bras puissant me prendre dans une étreinte et sursauta. Je n’aimais pas les contacts physiques en général mais celui là était étrangement réconfortant. Je serrais mon bras valide autour de la taille de mon « agresseur » et prit une profonde inspiration. Poussière, menthe et caramel ? La nitroglycérine à une odeur de caramel. Ça voulais dire que mon câlineur était Baku. Katsuki Bakugo me faisait un câlin ? Pourquoi ? Soudainement je remarquais que la poitrine dans laquelle mon visage était blottit était humide. Je porta ma main à la joue pour sentir de l’humidité. Je pleurais ? Pourquoi je pleurais ? Je n'ai pourtant aucune raison… J’ai juste tué un gamin innocent qui a souffert toute sa vie de la solitude à cause de sa différence. Oui un gamin comme moi qui a été trahis par ceux qui étaient proche de lui. Ah… Je me suis tué… J’ai tué un gamin qui étais exactement comme moi… Je suis devenu ce qui m'a créer. Je suis vraiment devenu la méchante de l’histoire…
Chapter 13: Chapitre 12.
Chapter Text
Arrivais au bar la première chose que je fis fut de prendre mon ordinateur portable. Il devait y avoir une erreur… Je ne pouvais pas avoir tué Deku. J’étais folle mais je me souvenais quand même de toute les personnes que j’avais tué… Tomura et Mamagiri étaient absent pour l’instant donc personne n’était là pour me poser des questions sur mes blessures et mon regard vide et hanté.
Mes recherches m’amenèrent sur un incident à Mustafu. La fuite d'un vilain limace qui avait causé la mort d'un étudiant du lycée d’Aldera. Aucun nom n’était cité mais je savais. Cet incident avait été réglé dans le canon. Et aucun mort n'avais été déploré. Izuku devait être sauvé par All Might puis sauvé à son tour Bakugo. Puis le vilain était arrêté et tout rentrais dans l'ordre. Alors pourquoi ? POURQUOI ?! Je n'ai rien fait ce jour là qui aurais put changé les choses. Je me reposer tranquillement après une chasse au bar… Où est-ce que tu étais All Might ?! Qu’est-ce que tu faisais de si important pour ne pas sauver ce gamin ?!
Une rage indescriptible commença à me ravager les entrailles. Une envie viscérale de détruire et de brûlé tout ce qui se trouverais sur mon chemin. All Might…. Une putain de blague au sourire crispé…. Comment osait-il ? Pourquoi ne pas l'avoir sauvé ? Pourquoi être aussi énervé ? Nous aurions finis par le tuer nous même. Mais c’est exactement ça le problème ! Il était à moi ! Je le voulais ! Le résultat reste le même tu sais. Non ! NON ! Il devait au moins goûté au bonheur avant de mourir. Il ne devait pas mourir comme ça. Pas sans avoir goûté à son rêve au moins une fois… Je ne comprend vraiment pas ce qui te dérange… Pourquoi le laissé goûté au bonheur si tu voulais le tuer ? Parce que… Pourquoi ? Dis le. Je sais ce que tu ressens. Dis le. PARCE QU’IL DEVAIT ÊTRE MEILLEUR QUE MOI ! Voilà…
Je me suis à nouveau effondré en larme tombant à genoux sur le sol. Mes bras replié autour de moi comme une protection alors que des sanglots pitoyable me secouaient. Continue dis le. Il était comme moi… Seul. Brisé. Il avait vu le pire de l'homme… Pourtant il est devenu un héros. EXACTEMENT ! Comment il a fait ?! Qu’est-ce qui le poussais à rester aussi bon ?! Tu voulais savoir. Mais pourquoi ? Tu n'aimes pas être un vilain ? Bien sûr que si j'aime ça. Mais le problèmes c’est que je ne sais pas si je devrais aimé ça. Où est le mal ? Je tue, je blesse, je dévore… Je suis un monstre. Peut-être. Peut-être pas. Mais c’est à toi de le découvrir…
Tomura nii choisit ce moment pour rentrer avec Mamagiri les bras plein de sac de courses. Ils discutaient joyeusement jusqu’à ce que Mamagiri me voit recroquevillé sur le sol dans un coin de la pièce.
« - Jeune maîtresse ?! Le ton inquiet de l'homme fumée fit se tournait Tomura dans ma direction.
- Gumo-chan ?! Qu’est-ce qui ce passe ? Et qu’est-ce qui est arrivé à tes pattes ?! Nii-san s'est précipité à mes côté mais ne me toucha pas de peur de me faire du mal avec son alter.
- Mes pattes ? Je lui demandais mollement les yeux flou avant de regardé vers les deux moignon qui commençaient lentement à se régénérer.
- Jeune maîtresse tout va bien ?
- Ooh… Oui ça va. J'avais oublié… Honnêtement je l’avais fais. La douleur était toujours là mais ma tête était tellement en vrac que je n'y avais pas prêté attention.
- Comment ça oublié ?! Tu as perdu deux pattes et tu es couverte de blessures. Comment peux-tu « oublié » ça ? Tomura nii était affolé me regardant comme si j'allais me brisé en morceaux si il me touchait. Ce qui pourrais arriver si c’était avec ses cinq doigts remarque.
- Tomura nii… Est-ce que je suis un monstre ? Ma voix n’était plus qu'un chuchotement quand je posais la question.
- Qu’est-ce que tu racontes ? Ce n'est pas le moment tu es blessé !
- Est-ce que je suis un monstre répond moi. Mon grand frère me fixa un instant avant de sourire.
- Non tu es ma petite sœur. Tu es ma Gumo-chan. Je sentis de nouvelle larmes poindre au coin de mes yeux alors que le nœud dans ma gorge se desserrait un peu.
- Vraiment ? Tu le pense vraiment ?
- Bien sûr. Tu es ma famille avec père. Tu es importante pour moi. Je me suis mise à pleurer en me jetant dans ses bras.
- Merci… Merci, merci, merci…. Il posa une main réconfortante sur mon dos en faisant attention à lever un doigt.
- C’est rien petite sœur. C’est rien. Je suis là. »
Les minutes passèrent lentement alors que mes pleurs cessèrent. Je ne lâcher pas Tomura nii appréciant la chaleur de son corps contre moi. C’était étrangement apaisant. Les minutes passèrent et je trouvais de plus en plus difficile de rester éveillé.
« - Nii-san ? Je suis fatigué…
- Alors dors Gumo-chan. Je suis là. La voix profonde de Tomura me répondit me faisant sourire légèrement.
- Je t'aime nii-san…
- Moi aussi… Je ne put vérité pas entendre ces derniers mots car je venais de m'endormir blottis dans les bras de mon frère. »
Pdv. Tomura.
La petite araignée avait finit par s’endormir dans mes bras. Je lui ai embrassé le front doucement avant de la déposer délicatement sur le sol.
« - Kurogiri. Ramène là dans son lit. Je lui ordonnait en m’asseyant lourdement sur un tabouret du bar.
- Bien maître. Kurogiri hocha la tête et ouvrit un portail juste sous Gumo-chan l'envoyant se reposer dans un endroit bien plus confortable.
- Et donne moi une bière…. Je soupirais lentement en me pinçant l’arête du nez. »
Merde… Quand je suis rentré des courses la dernière chose que je m’attendais à trouver était ma petite sœur lourdement blessé et sanglotant dans un coin. Qu’est-ce qui avait put se passer ? Putain elle avait même oublié avoir perdu deux pattes. On avait découvert au cours de nos entraînements qu'elles pouvaient repousser avec un peu de temps après que je lui en ai arraché une sans le vouloir un jour. Mais la douleur restait semblable à celle de perdre un membre. Je sais que Gumo-chan a un seuil de tolérance à la douleur très élevé mais pas au point d’oublier de s’être fait arraché deux membres ?! Qu’est-ce qui c’était passé enfin ? Les examens d’entrée n'auraient pas dut la mettre dans cet état. Elle était suffisamment forte pour quelques robots inutiles. Et cette question…. « Est-ce que je suis un monstre ? ». Pourquoi elle pensait ça ?! Oui elle mangeait des gens. Oui elle était sadique et n’hésitait pas à les torturer. Et bon dieux oui elle avait un sacré problème sur les bases de la décence humaine. Mais elle était encore loin d’être un monstre. Elle était aussi joueuse. Généreuse si elle le voulait. Gentille, protectrices et toujours pleine d’énergie….
Alors qu’est-ce qui lui était arrivé pour la mettre dans cet état ?! Elle avait toujours eu les yeux remplis de lumière. Parfois joueuse, parfois optimiste, parfois même sinistre mais jamais vide. Là j’aurais bien put regarder un cadavre. Ce n’était pas normal. Ce n’était pas bien…
Je réduisis sans le vouloir la bière que Kurogiri m'avait donné en cendre. Avec un soupir je balayé la poussière d'un revers de la main. Celui qui avait fait ça a ma petite sœur souffrirait.
« - Jeune maître ? Kurogiri m'appela doucement en me tendant l’ordinateur de Gumo-chan.
- Quoi ? Je soupirais avec lassitude.
- Vous devriez regarder ça. Ça pourrait avoir un rapport avec l’état de votre sœur.
- Montre moi. »
L’ordinateur montré une coupure d'un article de presses datant d'il y a dix mois. Un garçon avait été tué par un vilain dans sa fuite. Aucun nom n’était cité mais le lycée était mentionné. Aldera, c’était proche. Mais aucun de plan ou aucune de nos mission n'avais eu lieu dans ce coin à cette période. Alors quel était le rapport avec Gumo-chan ? Je devais le découvrir. Parce que Gumo-chan ne me dirais jamais la vérité. Elle esquivait toujours ou détourné les questions sérieuse avec de l'humour. Mais cette fois je devais savoir qui ou quoi avait détruit la petite boule d’énergie qui était ma sœur en un zombie de désespoir.
« - Kurogiri. Enquête sur le lycée Aldera et sur ce vilain et trouve le nom de l’étudiant mort et la localisation de ce vilain.
- Bien maître.
- Utilise le réseau de Giran si besoin et utilise autant d’argent que nécessaire. Je dois savoir ce qui c’est passé.
- Ça sera fait. L'homme fumée acquiesça rapidement.
- Bien… »
Qui que tu sois ou quoi qu'il se soit passé vous payerez pour avoir fais du mal à ma sœur.
Pdv. Onigumo.
Je me suis réveillé dans le confort de mon lit. Je bailla avant de me lever en étendant tout mes membres. Deux de mes pattes avaient commencé à repousser mais il faudrait au moins une semaine avant qu’elles ne retrouvent leur forme originelle. Je me déshabiller en vitesse après avoir sentit mes vêtements. Ma tenue de rechange puait la sueur et les larmes. J'ouvrit mon armoire pour y récupérer une petite robe avec un corset noire et violette. Son dos était nu comme tout mes vêtements pour permettre à mes pattes de se déplacer sans problème.
J’étais petite. Même a 19 ans j'avais l'air d'en avoir 14. J'avais toujours été petite et ça ne changerais jamais. Père avait dit que c’était à cause de mon alter. Mais ça ne me dérangeait pas. Après tout, tous ce qui est petit est mignon pas vrai ?
Ma chambre était décorait dans des teinte sombres. J'aime les ténèbres, ça me rassure. Je n'y peux rien. Sur les étagère de nombreux bibelot étaient entassé dans un chaos ordonné bien à moi. Sur mon lit des tas de peluches duveteuse que je câlinais tout les soirs. On peut être un méchant et aimé les choses mignonne. Les murs par contre était un plus raccord à mon style de vie. Des couteaux, des sabres et même un fusil de précision étaient accroché un peu partout. Des armes et des peluches une chambre parfaite à mes yeux.
Je pris ma paire de couteaux préféré et les glissa rapidement dans leur fourreaux accroché à mes cuisses juste sous ma jupe. Je n’avais pas put les utiliser pendant l’examen et je me sentais nue sans eux. Maintenant ils ne me quitteraient plus. J'ai coiffé mes long cheveux mauves pour qu'ils cachent sept des mes huit yeux comme d’habitude. Je pouvais voir à travers mes cheveux mais les autres ne le pourraient pas parfait.
Je suis descendu en sautillant joyeusement avant de m’arrêter brusquement. L’examen. Le combat. Deku… Je me suis mordu la lèvre en serrant les poings de rage. All Might avait échoué. Il avait laissé mourir Izuku trop occupé à faire je ne sais quoi. Il payerait pour ça je m'en assurerait.
La mort du brocolis posait par contre de sérieux problème. Le canon reposait littéralement sur lui. Merde tout allait de travers si il n’était pas là. Je devais trouver quelque chose… Tu sais très bien quoi faire. Non absolument aucune idée… Sa mort va foutre le bordel et tu le sais. Prend sa place. Et puis quoi ? Devenir un Héros ?! Non merci. Prend sa place en tant que vilain infiltré. C’était déjà le plan ça ne changera pas grand-chose. Sérieusement ?! Prendre sa place ? C’est ça ton plan ? Non c’est ton plan. Tu refuses juste l’idée car tu as peur. Je n'ai pas peur… Je ne supporte juste pas l’idée d’être une putain d’optimiste inconsciente. Reste toi-même alors. Mais rend toi indispensable. Et quand tu les trahira profite de leur regard incrédule et brisé. Hum… L’idée est intéressante. Mais tu es sûre que ça marchera ? À ton avis ? Ces héros crédule te mangeront dans la main. Tu pourrais même en détourné quelques uns du « droit » chemin. Hé ! L’idée est pas mal tu sais ? Bien sûr que je sais. Je suis toi. En effet. Je suis géniale ! Arrogante… Salope sarcastique ! Tu sais que tu t’insulte toi-même. Merde toi… Tu n'apprend jamais. Ouais ouais…
Je me suis dirigé vers la cuisine en soupirant. En ouvrant le frigo je pris une boîte marqué de mon nom. Merci Mamagiri ! De toute façon personne ne mangerais ça ici. La chair humaine ne les tentait pas trop bizarrement. Chose étrange parce que c’était délicieux. Mille fois mieux que n'importe qu'elle burger ou poulet frit. Et c’était tout pour moi. Je sortis un généreux morceau dégoulinant encore de sang avant de le dévorer à main nue. Pourquoi s’embêter avec la vaisselle quand je pouvais me servir de mes mains et de mes dents. Mamagiri me sermonnait toujours mais je n'y pouvais rien j'adorais faire ça.
Un bruit dans le couloir attira mon attention. Je me suis penché pour voir Tomura arrivait en tirant une énorme caisse.
« - Tu veux de l'aide ? Je lui ai demandé gentiment avec un sourire narquois.
- Gumo-chan ?! Merde tu m'as fais peur… Ouais si ça te dérange pas.
- Pas de problème nii-san. Je me suis approché après m’être laver les mains pour retirer tout le sang.
- Je dois amener ça dans la cuisine. Je me suis penché pour prendre le carton et le soulevait sans réel effort.
- C’est facile… Tu es vraiment faible nii-san. J'ai rit en le regardant boudait.
- Tu triche Gumo-chan on a pas tous ta force. Je l'ai suivis en souriant déposant le carton sur le plan de travail.
- Qu’est-ce que c’est ?
- Une machine à café. J'en ai assez du café instantané. Je le regardais avec un air vide en hochant la tête.
- Ça va Gumo-chan ? Tu as l’air… Ailleurs… Un soupçon d’inquiétude percé dans la voix de nii-san.
- Oh… Oui. Désolé je viens de rendre compte que je n'ai jamais bu de café.
- Quoi ?! Mais il faut que je te fasse découvrir ! Pas question que ma sœur soit inculte ! Son air outré me fit rire doucement.
- Peut être bientôt nii-san.
- Il y a intérêt. Je vais te faire découvrir un nouveau monde ! J'ai ri à nouveau devant son air passionné. »
Je finit de l'aider à installer la machine le reste de la journée. Apparemment la notice était en anglais et lui donné du fil a retordre. Je me suis bien gardé de lui dire que je parlais la langue préférant le regarder se débattre en souriant et en me moquant de lui à ses échecs.
Chapter 14: Chapitre 13.
Chapter Text
« - Gumo-chan ! Tu as reçu du courrier ! Tomura m'appela depuis l’entrée pendant que je jouais aux jeux vidéos.
- C'est quoi ?! Dis moi que c’est la paire de pistolet que j’ai commandé ! Je me suis précipité en rebondissant d’excitation.
- Non c’est…. ATTENDS ?! Des pistolets ? Tu as commandé des pistolets ?!
- Oui je les ai commandé à Giran. Mais dis moi qu’est-ce que c’est ?!
- Une lettre de UA. Tomura nii soupira en me tendant l’enveloppe alors que je poussais un cri de désespoir.
- Quoi ?! Mais je voulais mes armes… Je pleurnichais en boudant les bras croisé.
- Ouais bah tu as reçu ta réponse pour la candidature à UA c’est mieux. Tomura me gronda en haussant les épaules me tendant toujours l’enveloppe.
- Y a rien de mieux que les armes… Je pris la lettre en gonflant mes joues de manière enfantine. »
Tomura haussa les épaules avant d'aller s’affalait dans le canapé du salon. Ça faisait deux semaine que j'avais passé le test et j'avais pleinement récupéré. Mes pattes avaient repoussé et je débordais d’énergie. Je regardais l’enveloppe en rejoignant nii-san dans le canapé. À l’intérieur se trouvait un petit appareil électronique. Je savais ce qu'il allait faire mais j’étais toujours curieuse de savoir mes résultats finaux. Je croisait les doigts pour avoir battu le score de All Might. Je posais le petit appareil sur la table et appuya sur le bouton. Une petite projection holographique commença à se jouer.
« - JE SUIS LÀ ! EN HOLOGRAMME. La voix de All Might résonna alors que son visage souriant apparut nous faisant grimacer Tomura et moi. Je suis ici pour vous donnez les résultats de votre test d’admission à l’académie UA jeune Hirashi. Vous avez très bien réussi le test papier recueillant un score de 87/100 mes félicitations. La surprise vient de votre test physique qui a fait briller votre talent au grand jour. Vous avez recueillis un total de 62 points de vilain en détruisant les robots un score qui vous assure une entrée à UA. Cependant il y a plus dans l’héroïsme que de se battre contre les vilains et vous l'avez montré en sauvant la jeune Ochaco. Vous avez par ce fait obtenu 40 points d’héroïsme supplémentaires amenant votre score total à 102 points. Vous avez presque battu mon score de 109 points mes félicitations. Vous serez intégré à la classe 1A. Pour finir, bienvenue à mon académie de héros ! L’appareil explosa laissant une légère trace de brûlure sur la table.
- Eugh…. JE VOULAIS BATTRE SON SCORE C’EST PAS JUSTE !!!!! J’explosa de colère faisant sursauté nii-san.
- Calme toi putain. De toute façon tu as obtenu un score génial.
- Je sais…. Mais je voulais montrer que j’étais meilleur que lui…
- Arrête de bouder et viens on va s’amuser au karaoké pour fêter ça. Tomura soupira en se levant avant de me tendre la main.
- Vraiment ?! Mais tu déteste ça ! Tu dis que c’est trop bruyant ! Je fut surprise par sa proposition et le regarda avec excitation.
- Allez vient ne me fais pas regretter. Je lui ai sautez dessus en criant de joie et il soupira avant de partir en me portant. »
Nous passâmes devant Kurogiri qui nous regarda en souriant avant de nous dire de bien nous amuser. Après quelques heures au karaoké Tomura nii nous emmena au parc pour y passer le reste de la journée. Tout au long de la journée nous avons été arrêté de nombreuse fois par des personnes nous disant à quel point nous étions mignon ensemble en tant que frère et sœur bien entendu. Je pense que c’était sûrement l'une des meilleures journée que j'ai passé avec nii-san. Je crois même l'avoir vu deux ou trois fois.
Après quelques jours de repos vint le jour de ma rentrée de classe. Le premier jour de ma mission d’infiltration. Et ma première rencontre avec la classe 1A. Autant vous dire que j’étais stressé et que ma phobie scolaire s’affola à fond. J'avais mal au ventre pendant la courte marche qui sépara la ruelle dans laquelle Kurogiri m'avait déposé et l’entrée de l’académie. Je me suis dirigé sans trop de mal dans les couloir avant d'entendre une dispute que je connaissais bien. Arrivé devant la porte de la salle de classe mes soupçons furent confirmé. Oooh ça va être amusant je mise sur le poméranien !
« - Retire tes pieds de la table ! C’est irrespectueux pour le matériel de l’école et tes camarade ! La voix de Robocop me tapait déjà sur le système.
- Et qu'est que tu vas faire quatre s'yeux ?! Rien ? Alors ferme là ! Bakugo engueula le hérisson en le regardant avec dédain.
- Ta façon de parler ! Es-tu vraiment là pour devenir un Héros ? Point à Ida.
- D’où tu viens quatre s’yeux ?
- Je viens de l’académie de Somei mais je ne vois pas le rapport…
- Je le savais une académie de bourge. Tu es juste un bâtard riche ! Bakugo avait plutôt raison pour le coup.
- Je te ferais dire que je viens d'une prestigieuse famille de héros !!! Le ton montait rapidement alors je décidé d'intervenir.
- Les gars assez. Kaachan arrête de l'insulter il n'a rien fait pour l’instant. Bakugo eu l'air de se retenir de me sauter dessus quand j'ai utilisé son surnom mais ne l'a étrangement pas fais.
- Merci j’étais justem… Tenya commença mais je le coupais avec un regard noir.
- Tu es pas mieux. D'abord moi. Puis maintenant lui. Un héros ne devrait pas jugé les gens à la première impression. De plus toi qui parle de respect tu devrais éviter de faire une scène en public et de faire attendre ton professeur. Il parut gêné par ma remarque et baissa les yeux.
- Waouh c’était super masculin ! Un roux aux dent pointu que je devinais être Kirishima lança en me levant un pouce.
- Mais je dirais plus super féminin dans mon cas. Je lui sourit gentiment.
- Mes excuses. Tu as en effet étais super féminine !
- Maintenant tout le monde à sa place le professeur attend ! Je criais en laissant sortir un tout petit peu d’aura meurtrière.
- Mais il n'est même pas là… Un gnome aux cheveux en forme de boule que je savais être le pervers Mineta protesta.
- En fait je suis là depuis le début. L'homme chenilles se redressa alors que je souriez doucement en rejoignant ma place. »
Aizawa sortit de son sac de couchage jaune avec son éternel air fatigué. Et je ne put m’empêcher de saliver en pensant à lui comme une chenille dans ma toile. Je pense que sa chair serait sèche il est trop vieux… Les étudiants eurent l’air surpris en se demandant depuis combien de temps il était là. Aizawa me lança un regard étrange et soupira. Tu crois qu'il nous soupçonne ou quelque chose comme ça ? Aucune raison les documents de Giran était parfais je les ai vérifié moi-même.
« - De vous tous un seul a réussi à savoir que j’étais là. En tant que futur héros vous devriez être conscient de votre environnement. Il hocha la tête vers moi en me désignant.
- Honnêtement ce n’était pas compliqué. Qui laisse un sac de couchage jaune vif dans une salle de classe ? Je lui répondit avec un sourire.
- Pourtant aucun de tes camarades n'y a réfléchi. Bien joué.
- Attendez c’est vous notre prof ?! Je pensais que vous étiez une sorte de clochard. Mineta protesta en le regardant avec un air choqué.
- Je suis Shota Aizawa. Je serais votre professeur principal tout au long de vos études. Bienvenue dans la classe 1A. »
La porte s'ouvrit brusquement alors qu'Ochaco se précipitait à l’intérieur en haletant. Hum elle avait réussi à entrer à UA ? Normalement elle n'aurais pas du vu qu'elle était censé sauver deku pour avoir assez de points. Je devrais lui poser la question après. C’est vrai que c’est étrange, elle était évanoui la dernière fois que nous l'avons vu…
« - Je… Je suis… Désolé d’être…. En retard… Ochaco trébucha sur ses mots en s’inclinant bien bas.
- J’avais juste commencé. Tu as de la chance. Un peu plus et je t'expulsais. Aaah Shota toi et ton éternel manie de faire peur aux étudiants.
- Pardon ! Ça ne se reproduira plus… Ochaco avait pâli considérablement et se précipita vers un siège vide.
- Alors comme je disais. Je serais votre professeur principal. Maintenant suivaient moi tous sur le terrain de test.
- Nous ne faisons pas de cérémonie d’entrée ou quelque chose comme ça ? Yaoyozoru demanda en levant la main.
- Vous êtes de futur héros. Nous n’allons pas vous permettre de vous tournez les pouces. Si vous n’êtes pas content vous pouvez repartir. Maintenant tout le monde dehors en vitesse. Aizawa lui fit un sourire sadique particulièrement impressionnant. Note à moi-même lui demander de m’apprendre. »
Tout les élèves se levèrent en même temps pour suivre Aizawa. Quelques minutes plus tard nous nous sommes retrouvé sur le terrain d’entraînement.
« - Toi ! Quel était ton score de lancé de balle au lycée ? Aizawa demanda en regardant Bakugo.
- 62 mètres !
- Réessaye et tu peux utilisé ton alter. Un sourire sombre étira le visage de notre poméranien préféré.
- Ouais ! Vous allez voir extra ! »
Il s’avança et prit la balle que lui tendit sensei avec un sourire fou. Il se prépara et lança la balle dans une forte explosion en criant son fameux « MEUUUURT !!!! ». Près de 670 mètres plus loin il parut satisfait et nous lança un sourire narquois. On pourrait le dépasser avec juste notre force physique… Il est trop arrogant ! C’est juste Bakugo tu sais. Laisse tomber. Arrête de le défendre ! Je ne le défend pas ! On ne peut juste pas changé la nature des gens ! Hum… Ouais je sais… Il est juste insupportablement arrogant, ça me donne envie de lui dévorer les entrailles. Je sais moi aussi…
La démonstration de Bakugo fut ponctué par des bavardage joyeux qui me mirent d’encore plus mauvaise humeur.
« - On peut utiliser notre alter ?!
- Trop masculin !
- Ça a l’air amusant ! Oooh la merde allait commencer.
- Amusant vous dites ? Aizawa nous lança un sourire sadique dont j’étais terriblement envieuse.
- Et c’est partie… J’ai murmuré à voix basse en soupirant.
- Et bien nous allons voir si c’est si amusant. Vous êtes ici pour être des héros pas pour vous amusez ! Le dernier arrivé au classement sera expulsé !
- Mais ce n'est pas juste ! Quelqu’un protesta.
- Bienvenue dans la vrai vie. Le monde n'est pas juste. Tu pourrais te trouver face à plusieurs vilain en même temps. Devoir choisir entre deux vie à sauver ! Réveillez vous. La diatribe de notre professeur fit baisser la tête à presque tout le monde. »
Nous nous sommes déplacé en silence l’atmosphère joyeuse oublié. Remplacé par une froide détermination et une lourde concentration. Je ne put m’empêcher de glousser, j’adorais ce genre d’atmosphère ! J'avais la même avant de tuer ! Comme on dit home sweet home ! Aizawa me lança à nouveau un regard en me voyant sourire et secoua la tête avant de nous repartir en groupe par activité.
Les tests furent intéressants. Pour celui de force je me suis limité à 600 kilos même si je pouvais aisément monté jusqu’à près de quatre tonnes grâce à mon entraînement. Ce qui m'a mit en deuxième position derrière Shoji et ses 624 kilos. En vitesse je fis moins bien. Mes bonds me permettaient d’être rapide mais pas extraordinaire. Je suis arrivé quatrième avec 3,02 seconde pour les 50 mètres. En saut de hauteur je suis arrivé troisième derrière Ochaco et Sero. Et pour les pas latéraux je réussi à arrivé deuxième en prenant exemple de Mineta pour une fois. J'ai planté mes quatre pattes dans le sol et je suis laissé porter de droite à gauche à grande vitesse.
À la fin vint le test de la balle déjà passé par Bakugo. Quand vient mon tour j'ai sourit et prit la balle. Je me suis mise à cracher mon fil comme si je le vomissais recevant par la même quelques regard dégoûté. Grâce à mon fil j'ai créer une sorte de boulet attaché au bout d'une corde qui contenait la balle. Je me suis mise en position avant de prendre la corde avec toute mes pattes et de commençait à tourner sur moi-même. De plus en plus vite, de plus en plus vite… Jusqu’à ce que je ne sois plus qu'une masse flou de gris et violet puis j'ai lâché mon boulet le laissant volé dans les air. La première chose qu'on entendit fut le bruit du mur du son qui explosait faisant grimacer tout le monde et pâlir Jirou à cause de son audition amélioré. Le score de ma balle défila à toute vitesse avant d'afficher infini. On dirait que j'avais réussi à lui faire traverser l’atmosphère. C’est ce que j'appelle un homerun. Tu l'as dit cher ami !
Je me suis tournait vers mes « camarades » avec un sourire plein de dents. La moitié d'entre eux me regardait impressionné et l’autre moitié avait l'air terrifié. Aizawa se racla la gorge en haussant un sourcil.
«Bien… Les résultats de votre classement vont maintenant s’afficher. »
Tout les élèves se tournèrent vers le tableau pour voir les scores et je fut vraiment surprise quand je finis par me retrouver en première place. Je savez que j'aurais un bon score mais quand même le top trois m'aurais suffit ! Et bien toute mes félicitations pour avoir été discrète. Ta gueule !!!! Vraiment personne ne vas remarqué ton étalage. Ce n'est pas comme si les résultats rentraient dans les bases de données de la commission. Oh attend si c’est le cas ! Je sais…. J'ai foiré…. Ouais en beauté. Laisse moi à mon malheur…
Je baissais les yeux avec un air déprimé. Le reste de la journée se passa comme dans le canon Mineta arrivant dernier et suppliant de ne pas se faire expulsé et Aizawa disant à tout le monde que c’était un moyen de faire en sorte que tout le monde se donne à fond. Wow… Youpi… J’étais tellement morte après avoir littéralement mis une cible sur mon dos… Tu sais ça pourrais être utile. Comment ça ? Tu voulais te rendre indispensable. Tu l'ais. Ta trahison ne sera que plus douloureuse maintenant. Tu sais quoi ? Tu as raison ! Bien sûr que j’ai raison ! Ça va définitivement les détruire quand je me révélerais et que je détruirais leur espoir ! J'aime ta façon de pensée ! C’est toi qui m'as donné l’idée ! Exactement !!! Je suis tellement géniale ! Qui est arrogante maintenant ? Toujours toi vu que je suis toi. Eugh je te déteste tellement… Moi aussi je t'aime ~
De retour en classe tout le monde commença à se présenter. Quand vint mon tour je regardais mon numéro de bureau. Le 18 hein… Je suis vraiment devenu lui alors. Une version qu'il trouverait sûrement monstrueuse. Pas vrai Izuku ? Regarde bien de là où tu es. Je vais démolir cette endroits, cette classe et cette société. Regarde moi bien et profite de ce spectacle.
Je me suis levé et me tourna vers la classe après être arrivé au tableau.
« Ravie de vous rencontrer ! Je suis Aiko Hirashi. Siège 18. Mon alter s'appelle Fille araignée. Je peux basiquement faire tout ce qu'une araignée ferait. J'aime les peluches (et les armes et Toga-sama) et mes passions sont la cuisine (de personnes) et passé du temps avec ma famille. J’espère que nous nous entendrons bien ! ~ »
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