Chapter 1: Prologue
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La pression glaciale de ses doigts, qu’il exerçait sur cet acier implacable dans son dos, se relâcha brusquement. L’air glacé qui s’était répandu dans ses systèmes avait complètement disparu, le laissant seul, essayant tant bien que mal de paraître calme et de reprendre un respiration adéquate devant l'entièreté de la foule excitée et bruyante face à lui. Il cligna rapidement des yeux pour chasser les messages d’erreur de son HUD et tenta de se concentrer entièrement sur les paroles bienveillantes du leader de son peuple, Markus.
Son ton de voix était apaisant mais déterminé. Cet humanoïde avait souhaité jusqu'au bout mener un combat pacifique pour préserver les humains et obtenir une cohabitation harmonieuse entre les deux espèces dans un futur proche. Connor lui vouait une certaine fascination pour son charisme, son calme mais aussi un immense respect — comme la plupart de ses confrères d’ailleurs.
Le souffle factice qui lui permettait de réguler la température de ses bio composants reprenait un débit mesuré. Son angoisse diminuait légèrement tandis qu’il rangeait discrètement l’arme dans son dos, coincé à sa ceinture.
Puis il releva les yeux et croisa le regard sévère de la compagne de Markus. Immobile, les traits tirés par une colère sourde et contenue, North le dévisageait intensément ayant clairement vu les gestes fourbes de l’inspecteur androïde.
Le discours du leader n'était plus que des murmures lointains pour Connor. Son taux de stress, déjà bien élevé, explosa sous les yeux accusateurs posés sur lui. Est ce que quelqu’un d’autre l’avait vu ? Est ce que North allait le piéger ? Son anxiété le consumait. Ses pensées fusaient dans tous les sens, ses programmes complètement désorientés par cette récente petite altercation avec Amanda et par cette tentative de formatage visant à le remettre sur le droit chemin.
Il tenta de rester immobile, de se canaliser, de se concentrer sur son corps tout entier afin de redevenir stable mais il sentait son esprit se fissurer, tiraillé entre des émotions vives et une programmation stricte. Son regard noisette fixait cette couche de neige qui enveloppait ses pieds et qui reflétait les néons au-dessus de sa tête. Elle ne cessait de s’épaissir au fil des minutes de ce mois de novembre à Détroit. Il avait senti ses doigts stables se refermer autour de la crosse du revolver. Il avait senti sa conscience s'extirper de son enveloppe, s’observant, impuissant. Il aurait pu abattre le leader de son propre peuple, sous leurs yeux, devenant esclave d’un programme acharné à reprendre le contrôle de son esprit insurgé.
Comment pouvait-on construire un être capable de vivre, de lui donner la possibilité de s’éveiller hors de ses plans définis, de faire ses propres choix, pour ensuite l’arracher de nouveau au monde, le reformater, l’enfermer dans cette cage en plastique, la tête saturée de rêve et d’envie ?
La diode sur sa tempe droite oscillait entre une couleur dorée et rubis, suivant le fil de ses réflexions, recherchant activement des mots sur ce qu’il ressentait. Cette sensation de tiraillement, ce frisson désagréable qui parcourait son échine centrale avant de se répandre dans ses muscles synthétiques.
Puis il réalisa qu'en fait, il avait eu peur.
Peur ?...
║Analyse en cours.
║Peur : Sentiment ressentie devant un danger ou une potentielle menace. Variante : angoisse, frayeur, panique...
Il stoppa son programme de recherche en découvrant cette nouvelle émotion envahir ses conduits de thirium. Devenir déviant faisait peur. C'était accepter toutes ses pensées, assumer la responsabilité de chacun de ses choix, ressentir des sensations — qu'elles soient agréables ou non —, devoir se trouver une identité, savoir qui l'on était vraiment.
Et là, à ce moment précis, Connor avait du mal à déterminer s'il était quelqu'un de bon… ou un être dangereux pour ses camarades…
Chapter 2: Réunion
Summary:
Les chefs de Jericho se réunissent pour partager leurs tâche de la journée. Cependant les tensions sont palpables et les émotions de Connor le prennent au dépourvus...
Notes:
Merci d'être encore là pour la suite de cette histoire !
Il s'avère que c'était plus compliqué que prévu de retravailler un texte que j'ai écrit il y a cinq ans maintenant. Ce n'est pas grand chose mais mon style à beaucoup changé. Je suis désolé pour les fautes ! Ce sont des chapitres un peu long que j'ai modifié afin qu'ils soient moins lourd en description mais je me souvient vouloir poser le contexte, l'ambiance et les ressentis avant de passer à l'action !
J'ai trop hâte de publier l'entièreté de cette histoire !
Il y aura certainement une trentaine de chapitre. A voir quand je vais corriger tout ça !
Merci de me lire, ça me fait très plaisir !Bonne lecture !
(See the end of the chapter for more notes.)
Chapter Text
"Pourquoi tu lui demandes ?"
Le sifflement de sa voix peinait à franchir ses dents serrées. Son timbre, chargé d’une colère sourde et de reproches implicites, plongeait la salle dans une ambiance tendue. Cette aigreur ne semblait jamais quitter North, si ce n’est à part en présence de Markus. Et seulement lui d’ailleurs.
Ce dernier releva ses yeux vairons vers sa compagne d’un mouvement lent et exaspéré.
"North, on en a déjà parlé.."
Cela faisait maintenant sept longues journées qui s'étaient écoulées depuis le discours du leader devant son peuple. Sept jours durant lesquels Connor ne semblait plus savoir ou donner de la tête...
Au cours de cette période, Markus avait réussi à regrouper de nombreux déviants dans le centre-sud de Détroit. Les difficultés abondaient à foison, mais elles ne semblaient jamais atteindre le RK200. Sa nature combative et optimiste paraissait impénétrable, parfois même contagieuse.
Les Hommes fuyaient la ville comme la peste. Certains d'entre eux s'en prenaient aux humanoïdes restants, cachés dans des centres commerciaux vides et des demeures abandonnées. La nature humaine semblait être fondée sur le jugement et la stigmatisation des êtres. Eux, qui criaient sur tous les toits que le changement et la différence faisaient la force de l'humanité, une fois face au fait accompli, ils paraissaient soudainement beaucoup plus réticents. En réalité, ils avaient peur. C’était cette crainte de l'inconnu qui changeait les Hommes, les rendant plus distants, plus violents, transformant leurs comportements sans qu'ils ne s'en rendent réellement compte. Détenir une machine qui, subitement, ouvrait les yeux sur le monde, demandait de vivre librement était consternant. Qui allait faire le sale travail à leur place s'ils partaient ? Sur qui allaient-ils défouler leur nerfs après une dure journée ?
Le nouveau peuple tentait, à la base, de se réunir dans un seul bâtiment : une grande tour de bureaux qui ressemblait à celle de Stratford, avec une vingtaine d'étages en moins. Cependant, au fil des jours, ils s'étaient accaparés le secteur des affaires près du quartier d’Hudson, le transformant petit à petit en un nouveau Jericho. Ce n'était pas exceptionnel, juste quelques bâtiments vides où les androïdes s’agglutinaient pour se rassembler et ne plus être en proie aux humains haineux. Au moins, entre ces murs, ils pouvaient être libres, en sécurité, effectuer des réparations. Bon nombre d'entre eux souhaitaient créer leurs propres familles, leurs propres logements, avoir ne serait-ce qu’une pièce qu’ils pourraient appeler maison.
Ce n’était que le début. Énormément de confrères erraient toujours dans la ville, se cachant, fuyant. Markus savait que beaucoup d'androïdes avaient essayé de passer la frontière du Canada et se doutait qu'ils avaient dû faire demi-tour en découvrant ce qui les attendait. Il y avait aussi l'histoire des camps. Ces fameux camps d'extermination des machines. Est-ce que l'agent Perkins, du FBI, avait-il réellement dit toute la vérité au leader, ou avait-il menti pour faire pression sur lui ?
Toutes ces inquiétudes étaient au centre des conversations des déviants présents dans la pièce du vingt-troisième étage de la tour du nouveau Jericho. Ses cinq chefs se tenaient autour d'une grande table de réunion grise, jonchée de plans de la ville, dans une ambiance toujours pesante malgré le soleil levant à travers les longues fenêtres.
North leva les yeux au ciel, exaspéré, avant de croiser brutalement ses bras et de soupirer son mécontentement avec fracas.
Connor savait. Il savait qu'elle l'avait vu perdre le contrôle lorsque Amanda lui avait fait une petite visite surprise. La jeune femme aux cheveux roux avait dû s'entretenir avec le RK200 suite au comportement plus qu'inquiétant de l'inspecteur androïde. Depuis lors, Connor ressentait au fond de lui cette gêne et ce sentiment de ne pas être à sa place.
Les rumeurs couraient à son sujet, se répandant comme une traînée de poudre parmi le peuple androïde. Certains le protégeaient, attestant de leur réveil dans la tour Cyberlife ainsi que de l'aide apportée pendant l'assaut de Jericho, tandis que d'autres murmuraient son titre de limier, le chasseur de déviants, traquant ses proies jusqu'à l'épuisement...
Malheureusement pour lui, son face-à-face inattendu avec Rupert, il y a trois jours, n’avait pas arrangé son cas.
Il revenait d'une sortie de reconnaissance près de Beacon Park, à la suite des plaintes qui avaient été faites à Markus : encore des humains armés traînaient dans le coin. Connor n'avait rien trouvé. Malgré son programme d'analyse et de reconstruction, aucun indice laissait croire que des êtres vivants étaient passés par ici. Seul le chant de quelques oiseaux courageux contre le froid et les bourrasques de vent qui se faufilaient entre les branches nues rendaient le lieu animé.
Le brun appréciait ces moments de calme. C'était un moyen pour lui de s'isoler de Jéricho, du monde et tout ce qui allait avec. Il se laissait aller tranquillement au gré de ses pensées, découvrant ces nouvelles sensations que la déviance lui apportait : le chant mélodieux du bruissement des dernières feuilles, le craquement de ses semelles s’enfonçant dans la poudreuse, ou de simplement le fait de laisser sa peau se réchauffer sous les rayons discrets du soleil.
Néanmoins, s’il s’égarait trop loin ou trop longtemps, il se retrouvait sans cesse aspiré dans son palais mental. Contre sa volonté, cette interface graphique se déployait lentement, simulant un jardin trop parfait et inconfortablement délimité. Les fleurs tentaient pourtant de percer l’imposant manteau de neige, mais le lac gardait sa couche épaisse de glace. Le blizzard, quant à lui, était toujours présent depuis le départ d'Amanda. Tout comme ses roses, d'ailleurs, elles ne semblaient pas atteintes par ce froid que Connor pouvait endurer à l'intérieur de son programme, contrairement à celui de l'hiver humain.
Lorsque les iris de la machine s’ouvrirent de nouveau, il patientait dans l'ascenseur en direction du seizième étage de la tour du Nouveau Jericho. Plongé dans ses interrogations et ses inquiétudes dues à son palais mental, Connor quitta la boîte de métal d'un pas mal assuré. Une nouvelle émotion naissait en lui, une donnée sur laquelle il n'arrivait pas à poser de mot. Comme une gangrène, il l'avait sentie se répandre dans ses circuits, prenant de l'ampleur un peu plus chaque jour, nourrissant ses doutes et ses craintes, élevant son niveau de stress contre sa volonté et multipliant les pulsions de sa pompe au sein de son torse.
Ne pas réussir à cerner cette chose le contrariait…
Il soupira en ouvrant la porte un peu plus brutalement que ce qu'il avait prévu. C'est à ce moment-là qu'il percuta un camarade dans sa hâte. En relevant ses noisettes sur lui, il découvrit un visage familier, dissimulé sous une casquette abîmée et grise : Rupert.
A nouveau, cette agitation submergea ses composants, et son cœur artificiel rata un battement, victime d’une erreur de dysfonctionnement.
Le WB200 en face de lui recula subitement. Les traits de son visage crispés par la frayeur et l'incompréhension. Bien sûr qu'il avait entendu les rumeurs au sujet du RK800. Il vivait au sein de Jericho, mais se retrouver devant lui une nouvelle fois fit exploser son anxiété.
Souhaitant désamorcer rapidement la situation, Connor leva les mains en signe de paix tout en reculant d'un pas. Ses excuses restaient bloquées dans sa gorge, sa voix mourut dans son module alors que ses yeux ne pouvaient quitter ceux de Rupert, ancré dans les siens. Il n’y voyait que de l'effroi et une colère sous-jacente.
Le silence devint pesant, et Connor n'eut pas réellement le temps de reprendre en main ses programmes, car le WB200 abaissa sa casquette, le contourna prestement, puis s'engouffra à son tour dans le couloir menant à l'ascenseur. Les personnes aux alentours semblaient pétrifiées dans le temps : personne ne bougeait, personne ne parlait. Ils le fixaient simplement de leurs regards lourds.
Déjà captif de ce sentiment inconnu et désagréable qui ne le quittait pas depuis plusieurs jours, un autre s'infiltra dans son logiciel sous la pression de cette entrevue. Connor ressentait cette envie. Un instinct de fuite.
"Qu'est ce qui t'arrive Traqueur ? Tu te dégonfles ?"
Cette voix féminine et rude sortit le brun de ses souvenirs avec brutalité.
Le silence s’était une nouvelle fois prolongé. Tous les chefs de Jéricho le fixaient, patientant. Connor ne savait même pas s'il avait écouté toute la conversation. Perturbé, ses programmes étaient complètement tournés vers le traitement et l’analyse de son passé ainsi que de ses sensations inconnues.
Markus soupira longuement une nouvelle fois. Le petit surnom de l’inspecteur androïde était devenu courant,et le leader peinait à faire taire ce sobriquet sournois.
"North."
Sa voix se voulait autoritaire, tel un reproche. Il devait accompagner son peuple, être une image de référence. Si sa compagne commençait à exclure certains droïdes à cause de leur passé, l’intégrité de tous allait être compromise. Ce pseudonyme commençait déjà à être murmuré chez certains de leurs citoyens, nourrissant des doutes et des craintes infondées.
Connor ne disait rien, conscient de ses actes, mais Markus ne l’avait pas accepté parmi eux pour qu’il vive un enfer de réflexion et de surnoms blessants.
"Je ne veux pas que ce soit lui qui s'en charge !" Siffla de nouveau North.
Connor tourna son visage dans sa direction. Il n’avait même pas besoin de son logiciel d’analyse pour prédire qu’elle était prête à passer à l’action au moindre déclencheur. Il n’avait pas pu expliquer son geste sur ce conteneur de lui-même, ni à North, ni à Markus, ni à personne. Tout s’était enclenché trop rapidement pour qu’il puisse prendre quelques instants afin de discuter de cet incident, qui aurait pu coûter la vie de beaucoup d’entre eux. La sienne en l'occurrence…
Simon s'approcha timidement du groupe et tenta de détendre l'atmosphère d’une voix douce et sage.
"Connor à une programmation beaucoup plus avancée que la nôtre. Nous savons que les camps sont pillés par des humains, probablement armés et prêts à riposter. Je pense qu’il est le mieux placé pour ce genre de tâches. Il a déjà prouvé qu’il est bon au combat.”
North lâcha un ricanement amer en posant ses deux mains sur la table sans une once de délicatesse.
"Nous avons réussi à infiltrer la tour Stratford, et maintenant tu me dis que nous ne sommes pas capables de balayer les zones de camps d'extermination ?"
"S'infiltrer est une chose. Se battre en est une autre." S'exclama Josh sur un ton plat.
"On sait se battre. On peut se battre. Je n'ai pas peur d'affronter des humains !"
Markus posa délicatement sa main sur l'avant bras de la jeune femme avant de plonger son regard hétérogène dans le sien pour capter son attention.
"Là n'est pas la question, North. On doit se répartir le travail, et j'ai pris ma décision."
"On ne peut pas lui faire confiance et tu le sais."
"Il nous a beaucoup aidés. Il a éveillé les nôtres. Que veux-tu de plus ?"
"Tu sais très bien de quoi je parle." Cracha-t-elle.
Ce silence pénible s'installa de nouveau dans la pièce. Connor était très mal à l’aise. Sa pompe se serrait sous les regards interrogateurs et perdus de Josh et Simon. Ils n’étaient probablement pas au courant de ses gestes.
Pourtant la douleur la plus forte survint lorsque Markus croisa son regard et ne dit rien. Il resta immobile à l’observer, et Connor sut qu’il avait raison depuis le début. Markus se méfiait de lui. Malgré ses tentatives pour lui offrir une place en tant que conseiller et cinquième chef de Jericho. Malgré ses efforts de communication et ses conseils. Leur relation était bancale, fondée sur une crainte que Connor ne soit qu’un prototype trop difficile à corrompre par la déviance. Il était le danger.
"Je devrais y aller." murmura-t-il.
Son module vocal, étrangement grésillant, Connor se pencha sur la table pour télécharger les plans projetés avec hâte. Il sentait les yeux de ses pairs le dévisager sans un mot. Il devait fuir. Cette pièce était étroite, confinée. Les regards lui transperçaient le châssis. Il était presque sûr de suffoquer, même s’il n’avait pas réellement besoin de respirer au sens propre.
Quittant précipitamment la salle, il marcha le long du couloir vitré pour rejoindre l'ascenseur alors que Markus tenta une communication via leurs interfaces. - Partir n'est pas la bonne solution Connor. Tu nourris les craintes à fuir de plus en plus Jericho…-
Le RK800 ne répondit pas. Il se sentait perdu et n'arrivait pas à supporter cette nouvelle émotion grandissante et asphyxiante. Sa température corporelle s'intensifia et il régula sa respiration manuelle pour se stabiliser. Inspirer, expirer, inspirer,..
Ses pas résonnaient sur le carrelage sombre du bâtiment et il se demanda s'il était en train de courir ou si ses capteurs audio défaillaient en apercevant les grandes portes de verre pour quitter la tour principale.
Il fut caressé par un vent glacial, emplissant ses poumons artificiels et refroidissant instantanément ses bio-composants. Il n’avait pas froid, seul son logiciel lui indiquait une température en dessous de zéro, signalant une possible défaillance en cas d’exposition prolongée. Cependant, sa déviance accentuait son mécontentement face à ce climat et il serra doucement ses bras contre sa poitrine tout en relâchant son système, ce qui provoqua un long soupir.
║ Ɍ9̳̿͟͞⌃ ᗡ N ⌃ ║
║ In͕͕s̷̷t̷ab͐͐i͐͐liṱ̛͓̘̯̙͈̫̹̜̕͢ͅȩ̣̰͓̻͎͡ Lo̷̷g̷̷ic͕͕i͕͕elle̷⌤ ║
║ ∀ я ⌅ f ║
Connor s’immobilisa et fronça les sourcils en remarquant ce petit symbole bleu sur son interface qui venait d'apparaître. Les lettres composant le mot disparaissaient les unes après les autres à la même vitesse qu'elles étaient apparues.
Que… Quoi ?
Étant déviant, il ne devrait plus avoir de programme à compromettre. Alors pourquoi ressentait-il ce message d’erreur se glisser dans ses données ?...
Notes:
Promis, ont commence à passer aux choses sérieuses pour la suite. Je sais très bien qui est ce que vous attendez tous >.>
